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Un Pilote Tué Dans Une Collision Entre Deux Planeu
Gilles Navas a répondu à un sujet dans www.planeur.net
Les solutions sont connues : de la vigilance, de l'entrainement, des lunettes appropriées, ne pas jouer avec ses calculateurs ou piloter avec son moving map, des revêtements fluo, utilisation d'une lampe à éclats, (déjà vu et utilisé sur Wa26 et H201) siège (ou plutôt coussin) ejectable (Glaser Dirks), et pour finir parachute structural, hélas lourd compliqué et cher. On peut aussi imaginer un transpondeur planeur couplé à un gonio, le tout désactivable en spirale. Enfin en partant tôt on peut voler dans les Alpes sans rencontrer d'autres planeurs à l'exception de nos homologues du Valais et de l'Engadine. - Attention aux vis de fixation de la planche de bord du Cirrus. Le tableau de bord est sensé assurer la rigidité en torsion de l'habitacle du fuselage. - -
Réaction Au Dernier Vol à Voile Magazine
Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Pierre dans www.planeur.net
A Denis, Les variables liée à l’optimisation et la sécurité des vols sont nombreuses. Lorsque l’on décide de raccrocher alors que le raisonnable inculqué serait de se poser, il faut non seulement avoir tous les atouts de son coté mais aussi être confiant dans la chose envisagée. Sinon autant dérouler les banalités enseignées, ce que j’applique généralement. Sauf que parfois, certaines situations peuvent se prêter à déroger aux principes enseignés. Le plus bas faisable en « sécurité » est lorsqu’il est possible de repartir en pente, c’est à dire à inclinaison nulle, pourvu que devant cela soit posable et roulable dans l’axe. Il n’y a pas vraiment de limite si l’écoulement est laminaire. Lorsque j’ai réalisé Grenoble Lyon en vol de pente entre 20.00 et 21.20, j’ai eu plusieurs minima inférieurs à une envergure, le plus bas en milieu de champ en phase d’arrondi le long d’une colinette naissante disons vers 5 mètres pour ne vexer personne ! (J’avais un peu de mal à te suivre quand nous rebondissions sur les bosses de la Sierra de Guadarrama, la tranche utilisable était plutôt étroite, le jour ou nous avons dégagé moi sur Fuentemilanos, et toi plus à l’W puis survécus1 heure trente avec quelques volatiles en attendant un début de convection utilisable.) Si l’on doit enrouler la limite inférieure en l’absence de gradient suradiabatique et de vent fort se situe aux environs de « cinquante » mètres, à proximité immédiate de sa zone posable. En dessous il faut être capable en dégauchissant d’ être en local d’un axe dégagé ou posable tous les 120 ou 180 °. Bien entendu quand on expérimente on a tendance à pousser le bouchon plus loin. Ce qui m’a valu de tenter un raccrochage en dernier virage en enroulant un thermique à la hauteur d ‘une haie d’arbres, survolée deux ou trois mètres à la verticale, sur la confluence de la Gartempe et de la Creuse à proximité de la Roche Posay, avec un vent favorable d’est qui alimentait cette haie d’arbres. Cela devait faire une vingtaine de mètres. Bien qu’en ayant réalisé quelques autres ce type de situation se présente de temps à autre en fin de convection ou lors de changement de masses d’air . D’ailleurs rétrospectivement quand je survole à nouveau la zone, j’ai un peu de mal à imaginer avoir pu remonté. Etait-ce dangereux ? En Cirrus (30 kg/m², 15mètres d’envergure) vu la sécurité passive de l’habitacle je pense que oui. Hormis ce « folklore » un point est primordial : antérieurement on apprenait sur des machines qui nécessitaient une maîtrise du pilotage et une certaine aisance en thermique. Aujourd’hui je vois une grande majorité de pilotes plus que limites sur ces aspects. Toutes les contributions ci-dessus ne les concernent donc bien évidemment pas ! Et pour Jérome tu dois substituer moustachu par débutant ! -
Réaction Au Dernier Vol à Voile Magazine
Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Pierre dans www.planeur.net
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Réaction Au Dernier Vol à Voile Magazine
Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Pierre dans www.planeur.net
Faut-il parler des cas limites ? La réponse est oui. C’est en se positionnant par rapport à ces derniers que l’on réalise la marge ou la non marge de nos décisions et actions en relation avec l’indissociable binôme entraînement et expérience. Il en est de même des accidents. Ne pas en parler c’est laisser croire que tout est à la portée de tous, et c’est aussi niveler par la base l’ensemble des individus. Franchissez donc le pas est faites donc comme la majorité des instructeurs et présidents : interdisez, c’est beaucoup plus simple à court terme, par contre sur le long terme,…, ne vous plaignez pas si le niveau d’ensemble baisse et si les pratiquants s’intéressent à d’autres disciplines. Cela me fait penser à la même question formulée et entendue à intervalle régulier : « Mais toi qu’est-ce que tu apportes au club ? » Cette seule question met en évidence l’incompréhension de notre discipline par certains pratiquants (et ils sont nombreux). A leurs yeux le fait d’avoir le courage de financer son planeur, d’en assurer la maintenance, de voler en exploitant pleinement la journée, est un fait banal et sans plus value. Ils oublient simplement que la personne en question est une référence et une locomotive grâce à laquelle, s’ils le souhaitaient, ils pourraient continuer à progresser. La dite progression ne pouvant plus être assurée par absence et défaut de personnes compétentes au-delà d’un certain niveau. Pour répondre à l’anonyme Delta Golf, les instructeurs sont des humains avec leurs plus ou moins grandes qualités. Certains connaissent simplement l’école de base, d’autres savent un peu circuiter, d’autres ont plus d’expérience sauf qu’ils sont minoritaires. J’ai été instructeur testeur professionnel, mais c’est loin d’être mon expérience personnelle la plus valorisante en vol à voile. -
Ben alors Philippe, tu n'as pas réalisé tes tests SHN ? ;-)
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Salut l’Fred, J’ai déjà essayé et est en ma possession les verres solaires avec des correction de 0.5 à 1 dioptrie (panachage myopie + astigmatisme): Zeiss marron très sombre Seregenti Vermeil (n’était plus en production en 1998) orange foncé, Essilor Orange Vuarnet Marron/Jaune Zeiss marron sombre Les nuances orangées offrent de bons contrastes et permettent de gagner 0.25 dioptrie (réfraction moins forte de l’orange dans le cristallin). Ils permettent de voir les nuances dans les verts, surtout pour différencier une zone humide d’une zone sèche. Par contre la luminosité est très élevée. Ceci dit j’ai volé avec en montagne pendant 5 ans. Les montures Vuarnet sont impropres au pilotage car elles sont trop fatigantes. Elles limitent le champ visuel dans le plan vertical et réclament en compensation plus de mouvement de la tête pour récupérer cette perte d’espace, pour avoir la même précision en pilotage qu’avec des montures Ray Ban « gouttes d’eau ». De plus l’épaisseur des branches est un angle mort qui est un véritable danger. Sinon les teintes Vuarnet sont convenables. J’utilise aujourd’hui les montures et les verres que j’utilisais antérieurement : Ray-Ban équipée de Zeiss marron + anti-reflet correction ~ 0.5 dioptrie me ramenant à une acuité de 14. Si tu trouves des verres matérialisant les pompes,… Gilles
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Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Pierre dans www.planeur.net
Lors d’une prise de terrain, on constate ce phénomène en dernier virage et peut être en étape de base pour une approche basse. Si on en arrive à raccrocher en étape de base, on se trouve dans ce genre de situation. Démonstration faîte lors de l’un de mes derniers vols en Octobre sur le terrain de Beynes (raccrochage à 2 ou 2,5 envergures d’après les témoins et 45 mètres/sol au logger.(Ne lisez pas mais en thermique ce n’est pas le plus bas que j’ai réalisé !)) Première difficulté : nous avons peu de temps pour réagir, puisque à une hauteur n’autorisant pas plus de 15 secondes de vol avant de se retrouver au contact du sol si l’on se décentre ou si le thermique faiblit. A chaque seconde se pose la question de poursuivre ou non. Deuxième difficulté : proche du sol le thermique est nerveux étroit et irrégulier, ce qui nécessite une inclinaison adaptée sans être trop importante. Troisième danger : on évolue dans la couche limite, attention au gradient de vent => risque de décrochage dans un gradient négatif. Quatrième difficulté : les mouvements relatifs de l’aile intérieure qui en fonction de la hauteur et de la vitesse peuvent de positif vent arrière devenir négatif vent de face. Ce point mérite une attention particulière puisque pouvant induire en erreur une personne non avertie et lui faire croire qu’elle vole trop lentement ou trop vite. Une correction inadaptée pouvant aggraver un vol un peu lent ou/et dissymétrique. La suite est connue. Cinquième difficulté : le sol en dessous de la trajectoire doit être posable ! ! ! Pour rassurer les lecteurs soucieux de la sécurité les témoins présents et nombreux, ont compris la difficulté de la chose et ne sont pas du tout enclins à essayer. Un seul parmi la vingtaine présente y croyait. Ce n’était pas moi, mais j’ai quand même raccroché ! Le dernier vol d’Octobre j’avais essayé le LS6/18 du club et réalisé un circuit de 200 kms. Lors de ce vol j’ai du raccrocher à 300 mètres. Je n’étais pas à l’aise puisque ayant un peu oublié le comportement du LS6 après 10 ans de Ventus2a, et surtout ayant une instrumentation différente et certainement mal réglée. Tout ce discours pour ne pas dire ne faites jamais, puisque nos élèves le dos tourné feront ce qu’ils croient bon de faire. Mais sensibiliser aux difficultés spécifiques est très dissuasif. Un dernier point : j’ai horreur d’être bas, c’est tellement plus facile plus haut. (Ces propos n’engagent personne, pas même l’auteur !) :rolleyes: -
Je ne connait que le SE de l'Australie. En 1987, les championnats du monde furent organisés au départ de Benalla. Je trouve ce terrain top au sud. Nous spommes restés basés 3 semaines pendant les entrainements de l'équipe à Tocumwal (~80 kms plus au nord de Benalla). Tu y seras acceuilli par Ingo Renner et la zone est plus favorable. Un nouveau club dans le même secteur, Corowa est aussi bien placé. Narromine peut aussi être un bon choix aérologique. Gilles
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Nombre De Licenciés / Vieillissement De Nos Effect
Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Gilles Navas dans www.planeur.net
Je ne souhaitais pas répondre, mais si cela peut aider certains, ... Ce soir en rentrant de mon entraînement, je pensais aux différences entre mon club de natation l’ACBB (Masters) et au hasard un club de vol à voile, le CAB par exemple, car trop nombreux sont les clubs souffrants de maux similaires. Dans la section natation à l’ACBB, les licenciés sont classés suivant différentes catégories : - Apprentissage et perfectionnement, - 1°catégorie, - adultes et masters. Nous sommes pris en charge par un entraîneur, doué, qui participe aussi avec notre groupe aux championnats de France Masters. Notre emploi du temps comporte jusqu’à 6 entraînements hebdomadaires d’une heure à une heure trente. Pour ma part j’essaye d’en réaliser 3. Il s’investit avec une motivation que j’ai rarement rencontrée auprès de chaque nageur, pour que techniquement nous progressions. Tout y passe : appuis, glisse (et sensations rattachées), réduction de traînée, rythme, récupération, relaxation pour finir avec un peu de travail sur le mental, une superbe identité et cohésion de groupe. Au CAB, changement de décor, aucune prise en charge. L’entraîneur est inexistant. Au mieux je pourrais le comparer au gestionnaire du bassin, très doué pour assurer le bon fonctionnement de sa chaudière. Quelques instructeurs bénévoles viennent à l’occasion pour dispenser un minimum de formation. En 2003 j’ai donc proposé la création de 2 groupes de niveau par analogie avec la natation. apprentissage et initiation circuit regroupés sous le label début, perfectionnement et compétition regroupés sous le label confirmés. Le but est d’avoir un emploi du temps compatible en club des contraintes propres à chaque catégories. Un briefing confirmés 8.3 ou 9.00 permettant l’attribution d’une machine et sa préparation dans des conditions convenables pour certains « passionnés ». Un briefing débutant plus tardif vers 10.3, supposé satisfaire les aspirations plutôt « pratique loisir » de certains. Ceci est modulable en fonction de la saison. Cette organisation permet donc un passage de relais entre les plus expérimentés qui vont décoller en début de convection et les aspirants circuiteurs qui suivront étagés par groupes de niveaux au moment opportun dans des conditions de sécurité adaptées à leur expérience. Après différentes variantes et propositions, aucune décision ne fut actée en l’espace d’une année. Merci président pour autant d’immobilisme. Nous sommes restés en 2003 avec un breifing à 10.30. Résultat quand je décollais les machines étaient encore dans le hangar. Comment voulez vous dans ces conditions créer un effet d’entraînement ? Certes certains jours j’y suis arrivé, mais avec la désagréable sensation de forcer un peu le responsable. Je rappelle que je possède mon propre planeur et échappe à toutes ces contraintes. Par contre ce n’est pas le cas du débutant qui après avoir pris en charge trop tardivement une machine va s’entendre dire en décollant : « tu ne te vache pas ! » (Je l’ai aussi hélas entendu en prenant un biplace !) Ceci dit voler au niveau auquel je le souhaite réclame un investissement personnel très (trop ?) élevé, peu compatible avec la gestion des problèmes humains d’une association. (Ce rôle est dévolu à un permanent). Je ne souhaite donc plus dépenser mon potentiel d’énergie à des personnes condamnées à une évolution rendue impossible ou trop longue, par défaut d’encadrement et d'organisation. Pour terminer, depuis longtemps je préfère l’aérologie, le cadre, l’ambiance et l’espace aérien des clubs de la région centre. En 1999 j’avais choisi le CAB car sélectionné aux championnats du monde avec Daniel Vincent Geunot en classe course et alors vice-président de Beynes. Bons vols Gilles (vice-président du CAB en 2003) -
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Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Pierre dans www.planeur.net
Pour Didier Bauchart : voici une trentaine d'années j'ai volé au départ de Grenoble avec Jean Louis Perrier. Ce fût un régal de pouvoir apprendre autant d'une personne aussi charismatique, entraînée et expérimentée. Gilles -
Nombre De Licenciés / Vieillissement De Nos Effect
Gilles Navas a posté un sujet dans www.planeur.net
Un certain nombre d’entre nous essayons de contribuer au développement du vol à voile. Ceci ne peut se concevoir qu’en mettant en avant les aspects humains les plus valorisant de notre discipline, au risque d’apparaître aux yeux de ceux qui s’accrochent à leurs habitudes – et peu m’importe leurs motivations, leurs excuses ou leurs incompétences – comme quelqu’un de dérangeant. Si notre discipline n’est pas florissante, nous en sommes tous responsable. Ne cherchez pas à vous cachez derrière la conjoncture ou les mœurs contemporaines. Après une année passée à s’occuper du CAB, voici quelques réflexions, certes banales mais si difficiles à mettre en œuvre lorsque certaines habitudes de notre discipline sont tombées en désuétudes. actions locales au sein de nos associations : - en re dynamisant les vélivoles dont le goût pour la discipline s’effrite et en entraînant les nouveaux lachés en circuit, - en essayant de faire prendre conscience à la large majorité qu’une journée vol à voile réussie nécessite à tous, quelque soit nos prétentions, d’être prêt avant le début de convection, - que toute journée est volable ou presque. (pour vous en convaincre un dicton de Fayence : tant qu’il ne pleut pas trop fort, cela est circuitable), - en accueillant tout pratiquant potentiel comme s’il s’agissait de notre intérêt personnel, - en participant aux tâches de maintenance afin de préserver une association vivante en arrière saison, - en encourageant le personnel salarié et les cadres de l’association à la mise en place d’actions propres à satisfaire les objectifs précédents.(intéressement aux résultats, partie salariale variable, requalification) Ou d’actions plus globales : - interventions médiatiques au buts divers et variés auprès de collectivités locales, d’administrations diverses, ou simplement de pratiquants potentiels, - publications de compte rendus de vol exceptionnels, records, (merci Jean Marie, Klaus, Denis,..) - entraînement délocalisé de l’équipe nationale afin de servir une cause locale, (Cf http://crvvbretagne.free.fr/championnats/P....2004/index.htm) et un grand merci à Philippe de Péchy et Eric Napoléon pour cette action, - parrainages divers et variés, - mécénat et sponsoring. … -
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Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Pierre dans www.planeur.net
Sorry. J'ai du être délogué. -
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Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Pierre dans www.planeur.net
Toujours le même comportement d’instructeur irresponsable, … Je parle de cette caste qui ne reprennent pas leurs élèves alors que ces derniers ont été lachés récemment. Exemple vécu l’an dernier pour avoir repris une personne en instruction de ma propre initiative et réalisé 8 heures de perfectionnement en local : - vos élèves ne savent pas centrer leurs ascendances, - vos élèves ont peur d’incliner lorsque cela est nécessaire, - vos élèves manquent d’aisance lorsque un autre planeur évolue à proximité d’eux, - vos élèves ne savent pas ce qu’est une autorotation, - vos élèves ne maîtrisent à fortiori pas le choix de sortie de vrille sur un secteur donné, - vos élèves ne savent pas négocier un vol aux grands angles, - vos élèves ne savent pas récupérer un décrochage en perdant la hauteur minimale, - vos élèves ne savent pas que proche du sol le mouvement relatif de l’aile intérieure est inversé, - … mais peut être est-ce vous qui manquez d’entraînement,…, alors ne soyez pas surpris si de temps à autre,… Et pour le cas de Jean Marie, le moins que l’on puisse dire pour avoir beaucoup volé en onde j’aime bien avoir une bille aiguille dans ces conditions. Il n’est pas besoin de voler en IMC, il suffit tout simplement de givrer la verrière en début ou fin de journée. Certains auraient aimé en avoir une,… Il n’est pas si loin le temps ou le SFA apprenait à réaliser des gains d’altitude en nuage. En Suisse sauf changement les zones dédiées au vol de nuage existent. Dans les pays de l’Est on vous apprend à réaliser des vols en jouant sur la précession du compas,…Je ne préconise et n’incite en rien, je ne sais pas utiliser la précession du compas,… Pour conclure je remercie Alain Poulet et mon père pour m’avoir inculqué ce minimum qui permet de progresser en sécurité. Mais continuer à interdire et réglementer, c’est plus facile que d’apprendre. Par contre posez vous la question de savoir pourquoi autant de vélivoles abandonnent la discipline ? - Question dédiée à mon ancien club - Gilles -
Réaction Au Dernier Vol à Voile Magazine
Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Pierre dans www.planeur.net
La réglementation ne relève hélas pas encore du domaine adaptatif. Elle est une protection juridique envers l’auteur du texte et son administration de tutelle. Elle est trop souvent une excuse à notre incompétence. Gilles -
Je propose l'instauration du triangle FAI, en renvoyant la contribution sur les tarifs à celle relative au choix des clubs en région parisienne. Celà fait 2 points de virage. Régis si c'est FAI m'alloues-tu 1.75 de coeff ? Il fait beau à Vinon ? Fred : signification du petit point sur la lettre 1° colonne ? Bon week end à tous
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Fred, et les messages comme prévu, t'en fait quoi ? Quant à ceux qui ont qu'une espérance de vie inférieure à une heure, tu les considère vachés ? :rolleyes:
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Robert, Ta formation d’instructeur aura peut être servie à en solliciter d’autres, ce qui est une excellente chose pour le CAB, de même que mes contributions précédentes auront au moins eu le mérite de contribuer à revoir à la baisse le montant de vos cotisations et de vos forfaits. Au passage je te soumets quelques idées qui pourraient permettre au CAB de prendre conscience, puis de se donner les moyens d’exploiter le potentiel que représente la proximité de l’agglomération Parisienne : Recrutement : samedi et dimanche le téléphone sonne en continu pour des « VI ». Un biplace pourrait être alloué à temps plein pour satisfaire ce besoin. Formation de base : le 1/50 statistique qui vont s’inscrire par la suite nécessite une organisation capable d’absorber et former un flux élevé d’élèves. (ceci nécessite aussi la création d’une formation théorique) Formation circuit : afin d’éviter le goulot d’étranglement constaté parmi les candidats au brevet D, une école campagne est à créer. (si possible avec des instructeurs ayant encore l’habitude de circuiter). Ceci permettrait d’enrayer le turn over des membres, trop élevé, suite à une absence de dynamisme pour encadrer et motiver les aspirants circuiteurs. Mais si vous continuez avec un « numérus closus non officiel », vous ne formerez pas suffisamment de pilotes pour compenser les départs. Un modèle économique très viable consiste à scinder l’UEA du CAB, ce qui permet de satisfaire de nombreuses contraintes économiques, sportives et humaines. Rapproche toi et fais-toi aider de François Louis Henry ton nouveau vice-président. Transmet lui aussi mes salutations. (Toutes ces ipoints, que j’ai largement détaillées lors de CA, n’ont hélas pas pu être initiées en 2003.) :rolleyes:
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Mondial Club 2004 + Wavecamp 2004
Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Nils dans Championnats & Rencontres vélivoles
Nils ? S'agit-il de Nils Hansen ? :rolleyes: Gilles -
Sportifs De Haut Niveau
Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Thierry dans Championnats & Rencontres vélivoles
Lionel mon dernier réveil à quelques centimètres du sol avant de faire un trois points sur le carelage puis de prendre sur la tronche un matelas suivi d'un pieu métallique remonte à 1975, à Challes, lorsque les dortoirs étaient coté atelier !!! :rolleyes: -
Euroglide 2004....
Gilles Navas a répondu à un(e) sujet de Lionel dans Championnats & Rencontres vélivoles
Ma dernière transeuropéenne remonte à 1979 ! Allez on se planifie Angers-Ouarzazate le plus à l'est politiquement réalisable) puis un point en Sicile en revenant par Gibraltar, à moins que la Turquie ne vous tente avec un retour par les monts de l'Oural, puique nous y sommes. Là celà change des vols locaux avec retour au bercail après 1000 bornes ! Non ? -
Bonjour Robert, Tu évoques un problème très délicat, mais qui dans nombre d’association est la cause de la baisse de l'activité : la dynamique vol. Celle-ci doit être portée par les personnes les plus présentes sur un terrain. L’an dernier j’étais ce moteur pour le CAB, mais j’ai toujours subit comme toi le pessimisme affiché et le peu d’envie de voler de notre responsable. Que diable un peu d’enthousiasme ! ! ! Tu fais allusion à notre persévérance, certes mais que je sache vous tous n’êtes pas sensé vous subtiliser aux tâches qui incombent à un salarié, surtout quand vous allez devoir agir contre son avis ! Lionel excellait en la matière, mais hélas nous n’avons pas su le garder en redistribuant judicieusement les fonctions des uns et des autres et en leur assignant des objectifs annuels clairs dotés d’un intéressement sur le chiffre d’affaire de l’association. Vous devez donc maintenant composer avec une personne dont le pôle d’excellence est orientée vers la maintenance. Si je suis le seul à promouvoir l’activité et à proposer une politique de formation et d’accompagnement, qui reste à l’état d’idées non transformées en actions par notre président on continuera à régresser. De plus être pris pour cible par la majorité engoncée dans son immobilisme n’ajoute en rien à l’envie de s’investir dans une tâche de conseil et de vice-président. Nombre de membres du CAB n’ont pas encore réalisés que leurs heures étaient peut-être comptées face à l’enclave de Beynes dans la TMA de Paris et face au risque politique lié à la proche session du terrain des bases au département. Il serait préférable d’être en position de force face aux collectivités, et ceci passe forcément par des mesures très énergiques à prendre en terme d’accueil, de formation théorique d’instruction au pilotage et de vol sur la campagne. Pour le reste je te renvoi aux contributions qui ont circulées sur la liste de diffusion du club, tu pourras y lire quelques louanges sur Christine et d’autres bénévoles dont tu fais parti et je t ‘en remercie. Si nous avions ne serait-ce que 3 Roberts qui comme toi s’investissent dans le dur labeur d’instructeur Beynes serait probablement autre. Je suis certain que tu pourrais organiser des cours théoriques captivants. Ta vision des choses et ta façon de les présenter sont hors norme, de plus j’ai toujours aimé la vision et l’optimisme des chercheurs de L’INRIA. J’ai présenté un ami vélivole débutant, laché et formé à Buno entre Octobre 1997 et Février 1998, aux deux responsables vols de Beynes et Bailleau. D’un coté cela a donné un grommellement suivi d’un long silence. Puis mon ami en sortant s’est entendu dire « Tu peux fermer la porte ? ». De l’autre cela s’est traduit par « Tu veux voler ? ...
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Robert pour avoir eu un bureau en bord de mer pendant 7 ans, j'ai observé des nuages convectifs sur l'eau au large de Cannes. La convection devait être générée par une discontinuité dans la masse d'air ou par une zone de convergence. Par contre j'aurais aimé avoir des détails sur le vol aller retour Buno Guernesey Buno. ~160 kms sur l'eau en aller retour avec un plafond de l'ordre de 1200 pour les photos que j'ai pu voir à Buno. Gilles
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Tant qu'à être plus précis : tarification + 25 ans BYO : incluant 4 forfaits, début, détente, classique et complet heures de vol illimitées détente : machine haut de gamme du forfait : LS1f 785 Euros classique : machine haut de gamme du forfait : LS4 1100 Euros complet : machine haut de gamme LS6 et Nimbus 3D 1420 Euros. absence de frais de participation. (compter plus de 750 Euros de participation pour Beynes) Les -25 ans retrancher 30% à ces tarifs. Ce qui est très sympathique est de pouvoir autoriser l'accès du vol à voile à chaque personne en fonction de son budget. Puisse certains administrateurs s'en inspirer pour le plus grand bien de tous au lieu de pantoufler. Il est nul besoin d'avoir des machines récentes pour faire des 500 kms !! Pour répondre à Jérôme : je ferais moins de kilomètres en volant à Bailleau puisque sur place un hébergement digne de ce nom existe. Ce n'est pas le cas de Beynes. Au lieu de faire un aller-retour Samedi et Dimanche Paris Beynes soit 160 kms, je ne ferais plus que 140 kms en un seul aller retour. De plus le restaurant est ouvert matin midi et soir, (menu 8,5 euros) Pour Robert : pour pouvoir faire du treuil de façon régulière faudrait-il encore avoir le courage de ses idées pour faire comprendre l'utilité de la chose au salarié de notre association. En 2003 en tant que vice-président je n'y suis hélas pas arrivé. Si je n'avais pas été le seul à tenir ce discours, auprès de l'intéressé, peut être les choses auraient elles été différentes pour vous. Autre chose non anodine : - à Bailleau on est bien acceuilli et on y parle de vol à voile, - un sondage météo est réalisé en saison chaque jour volable. Mais à chacun ses critères ses habitudes et son envie de voler. Si notre discipline à tendance à regresser ne rejetez pas la faute sur l'environnement, mais rechercher dans votre club les améliorations possibles,... En dehors de cette "querelle Beynaise" il va de soi que d'autres associations ont certainement des richesses à offrir à tous leurs membres. A vous de les saisir. Gilles
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Salut Robert, salut à tous. Pour avoir réalisé ce parcours récemment je viens d'opter pour Bailleau. Robert un point qui ne me concerne pas mais auquel tu devrais être sensible : à Bailleau tu as un forfait illimité pour 783 Euros De plus il n'y a pas de participation aux frais de fonctionnement. C'est donc ~30% du prix proposé à Beynes. Gilles
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Un simple complément. La coupe fédérale devrait être remplacée par un système unique en 2005. La Netcoupe par exemple pouvant être l'un de ces outils. Mais si certains préfèrent l'OLC qui a une ancienneté supérieure,... Gilles