Soaring Tiger

J'ai effectué plusieurs recherches sur Google : - notion de luminance le soleil à midi a une luminance de 1.6 milliards de cd/m2 un ciel couvert 2000 cd/m2 un ciel très sombre 1 mcd/m2 on peut trouver la luminance de divers corps exposés à la lumière solaire , comme la neige .... pour pouvoir distinguer facilement un objet , il faut un certain contraste par rapport à l'arrière-plan , soit plus clair , soit plus foncé, soit une couleur différente . Une lampe à éclat peut avoir une luminance supérieure à celle du soleil , mais sur une surface très réduite ( quelques mm2 ) - notion de pouvoir séparateur de l'oeil humain on admet que le pouvoir séparateur de l'oeil humain est d'une minute d'arc . A une distance de 3 km , cela représente 87 cm . Deux objets de même teinte , distants de moins de 87 cm sont perçus comme un seul . Un planeur vu de face sur un arrière plan de neige ne pourrait donc pas être distingué au-delà d'une certaine distance . Tout pourrait se passer comme si l'image que nous voyons était constituée d'un ensemble de pixels d'une minute d'arc . En revenant à la boule à miroir , chaque miroir est un carré d'environ 1 cm de côté . Pouvons-nous distinguer un objet de cette dimension à 3 km , même si sa pratiquement la même que si le miroir n'existait pas . - le pouvoir séparateur de l'oeil, donné ci-dessus , n'est valable que dans une seule direction , et pour une lumière verte . Etant donné ces considérations, le Flarm apparaît comme une merveille de sécurité . Il ne faudrait pas hésiter à dégager par la droite si une alerte de danger se présente en face , même avant d'avoir pu localiser l'autre planeur . Il y a sur Google de très nombreux articles sur la luminance et l'acuité visuelle , pour pouvoir en donner la liste. Bonnes recherches . Willy.

Un peu de physique pour expliquer la lampe à éclats. Un tube à éclats est défini par l'énergie qu'il peut dissiper lors d'un éclair , par exemple 1 joule . Si cette énergie est dissipée en une seconde, la puissance lumineuse émise est de 1 watt ( c'est très peu et quasi-invisible) Si cette énergie est dissipée en 1 milli seconde , la puissance émise est de 1000 Watts ( cela devient visible de loin ). Pour un éclair toutes les 4 secondes , l'appareil charge l'énergie pendant 4 secondes, et la dissipe en 1 milli seconde . Reprenons le cas de mon strobe à 0.18 Ampère sous 12 V . Il consomme 2.16 watts pendant 4 secondes, ce qui fait 8.64 joules . Ne tenons pas compte du rendement des convertisseurs électroniques . Si l'éclair dure 1 milli seconde , la puissance lumineuse émise pendant cette milliseconde est de 8640 Watts , dissipée quasi-uniformément dans toutes les directions . Le fait de placer un réflecteur va concentrer fortement cette puissance dans une direction déterminée . Est-ce utile de repérer un planeur que l'on suit à l'aide de strobes , alors que la vitesse relative est faible . Par contre celui qui vient en face doit être repéré de loin. Un réflecteur avec faisceau de sortie à 15 ° pourrait être suffisant . Le fait d'avoir une cellule solaire en plein soleil n'augmentera pas la puissance du flash , qui est fixé par le type du tube à éclats. Faites donc des essais avec des flashes d'appareils photo . Willy.

Pour une puissance lumineuse donnée , la consommation sera inversément proportionnelle à la fréquence des éclats lumineux . Un flash émettant un éclair toutes les 4 secondes consommera deux fois plus qu'un flash émettant toutes les 8 secondes . Avons-nous besoin de la même fréquence d'éclats que les avions de transport volant à 900 km/h ? Dans un autre domaine, est-il nécessaire d'avoir la même puissance lumineuse dans toutes les directions ? On peut imaginer une optique concentrant une grande partie de la puissance lumineuse vers l'avant dans un cône de 15° d'angle au sommet . La quantité de lumière émise vers l'avant sera 500 fois plus forte que dans la cas d'un strobe sans optique .. Est-il nécessaire d'avoir la même fréquence vers l'avant , latéralement et vers l'arrière ? Est-il plus important d'être vu en plein soleil, ou à l'ombre des nuages ?

J'ai ici un strobe ( non aviation ) dont la consommation est de 0.18 A sous 12 V, ce qui n'est pas exagéré . Les accus NiMh récents atteignent une capacité de 2600 mAh pour un poids d'environ 30 g . Une batterie de 10 accus , pour un poids de 300 g donnerait une autonomie de 14 heures . La sécurité pour un poids supplémentaire de 300 g .

Bonjour. Une petite remarque sur l'emploi du mot "voir" . Il s'agit ici d'un adverbe qui signifie "même" et qui s'écrit voire Bons vols.

Voici donc un record définitivement impossible à battre, sauf à installer une plate-forme au-dessus de l'Everest .

J'ai acheté du feutre 5 mm chez un marchand de tapis-plain . Encore un peu de patience pour les photos . Willy.

Dès que la version 2 B est apparue, le premier propriétaire de mon Nimbus2 a fait effectuer la modification , probablement pour une question de stabilité sur l'axe de tangage . Ayant connu un problème au décollage, j'ai été très content d'avoir une profondeur avec plan fixe.

D'accord . Je devrai aller à l'aérodome dans le courant de cette semaine , et je t'enverrai le maximum de renseignements. Willy.

Si tu as fait un plan , un schéma, des photos ss toutes les coutures, pourrais-tu les metttre en ligne ? Ce sera fait dans les prochains jours, mais, je vais passer pour un béotien , car je ne connais pas la procédure pour mettre ces photos en ligne . Pourriez-vous m'aider ? Willy.

Tout le matériel , à l'exception des roues ballons , du feutre pour le support d'aile et des rivets pops , est du matériel de récupération dont je disposais. Tubes d'acier de 30 mm , 25 mm et 20 mm , épaisseur 2 mm ( coulissants ) Outillages : petit poste à souder à l'arc, disqueuse , foreuse , clés, pinces. Temps : beaucoup d'heures de tâtonnements pour la mise au point du prototype, au départ de photos trouvées sur le net . Une fois que c'est au point , une dizaine d'heures. Je vais essayer quand même d'en faire des plans et des photos , avec certaines astuces , et de faire un dossier que je pourrai envoyer aux intéressés.

Bonjour, En visitant le site http://www.wingdolly.reach.net j'ai pu fabriquer à peu de frais un système de montage seul qui prend peu de place dans ma petite remorque Peifer contenant déjà le Nimbus2 ( il ne reste vraiment plus beaucoup de place libre ). Le luxe suprême est de remplacer la manivelle par un moteur 12 volts commandé par un mini-émetteur radio . Voir également le système de réglage latéral , avec possibilté de commande électrique à distance . Plusieurs pilotes de notre club ont déjà fabriqué ce système ( non motorisé ), dont un pilote de plus de 80 ans qui monte seul son ASW15 . Bon courage . Willy.

Nootens/della Faille Les planeurs Marabout 1962 Je possède cet uvrage que je suis en train de scanner . Avis aux amateurs, par mail . Willy.

Il faut se méfier des chargeurs "pas chers" . Le moins cher consiste en un transfo et 3 diodes , sans aucune régulation . Prendre par exemple un chargeur auto et trois diodes pour éviter une circulation de courant entre batteries . La durée de vie des batteries risque d'être très courte . Pour les bons bricoleurs, on trouve dans les revues électroniques , et même sur le net , des schémas de chargeurs très valables . A vos fers à souder .

la référence suivante : http://www.volavoile.net/index.php?showtopic=2180 n'est pas un Austria SH-1 ( qui est un standard avec bouts d'aile semi-circulaires ) , mais un SHK ( classe libre 18 mètres )

Il y a quelques années , un Harrier a essayé le vol en marche arrière à quelques mètres du sol. Le pilote a sans doute perdu de vue l'effet inversé de la gouverne de profondeur . Le nez s'est enfoncé. Par réflexe, il a tiré le manche en arrière avec le résultat que vous devinez : demi-looping inversé au ras du sol, et crash sur le dos . Je crois que le pilote s'est éjecté juste à temps .

L'idéal est de forer une série de petits trous à l'endroit de la casse . C'est comme le PQ , qui ne casse jamais où il y a des petits trous

C'est bien beau cette marge de 100 m . Nous avons une limitation en semaine à FL45 . l'aérodrome est situé à une altitude de 550 mètres . Nous ne pourrions donc dépasser une hauteur de 800 m. Vive la sécurité .

C'est plutôt la classe des ULM ( Ultra Lourd Motorisé ).

Batteries au plomb en parallèle. A proscrire . Si les deux batteries ne sont pas identiques au niveau des tensions à vide ( niveaux de charge ) et en charge ( résistances internes , dues par exemple à des niveaux de sulfatation différents, dûs par exemple à l'âge et/ou au nombre de cycles charge-décharge ) , il va y avoir circulation d'un courant entre les batteries . Ce courant peut être intense et provoquer le claquage des fusibles principaux , et s'il n'y a pas de protection à ce niveau, la destruction d'une batterie . Pour éviter la coupure du logger lors de la commutation des batteries , on pourrait peut-être utliser un gros condensateur électrolytique aux bornes du circuit logger , ou une batterie tampon ( par exemple des CR 2032, NiMh ou mini batterie photo 12 V ) avec diode de protection .

Pour ceux qui aiment : http://www.robcorradi.com/shootinstarz/

Une seule solution : demander conseil à un courtier sérieux qui doit prendre la peine de vous écouter et de chercher la solution à vos problèmes . On pense trop souvent à éliminer cet intermédiaire coûteux et inutile ( aux dires des compagnies travaillant en direct ) , et à ne voir que le prix . L'ennui, c'est seulement lors d'un sinistre qu'on peut se rendre compte de la qualité de l'intermédiaire . Willy. Courtier en Assurances Belgique.

Peinture Julien Granit. Le propriétaire précédent de mon Nimbus a utilisé cette peinture pour la décoration intérieure . Après 2 années, c'est une vraie m..... - les paillettes se détachent - apparition de taches brunes un désastre .

Nous avons eu une réunion récemment avec le délégué d'Aviabel . Il est possible de tout couvrir , même les actes de malveillance comme il s'en est produit à Puimoisson .

En réalité , l'échauffement se produit surtout aux connections électriques : un mauvais contact est un accroissement de la résistance électrique. Celle-ci produit un échauffement qui accélère l'oxydation , augmentant encore la résistance du contact , augmentant encore l'échauffement , etc ... Il est rare de voir un échauffement du câble lui-même , sauf en cas de court-circuit où le courant débité par une petite batterie au plomb peut atteindre facilement 900 Ampères . D'où l'intérêt de gros fusibles le plus près possible de la batterie. J'ai personnellement installé le système suivant : - liaisons directes des batteries au tableau de bord par câbles blindés . - 1 fusible magnétique réarmable sur chaque circuit - inverseur : la batterie libre est rechargée automatiquement par le panneau solaire.