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JNV

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Tout ce qui a été posté par JNV

  1. JNV

    Immatriculation Des Planeurs

    Trop tard Novembre 12, euh, Mike Echo! :lol: Mon avatar habituel étant momentanémént indisponible, j'ai cherché une petite image que je pourrais utiliser lorsque je prends la plume...La couleur est jolie, non?
  2. JNV

    Immatriculation Des Planeurs

    Je pensais que 1bnd nous parlerait de son Duo des cîmes F-CIME! Le duodenum n'était pas disponible... Le F-CNVV du CNVV prouve que si un F-CQ.. t'intéresse, Denis, c'est peut être négociable... Peut-ëtre le F-CQFD cité sur un autre forum...? :lol: Jean-Noël
  3. JNV

    Immatriculation Des Planeurs

    Cette section fut l'heureuse propriétaire de l'ASH25 F-CHIT Mais ce planeur a été endommagé lors d'un atterrissage. A l'époque nous avions racheté l'épave et elle fut réparée en club. Le F-CHIT est donc le deuxième 25 du club de Challes. C'est un peu la version anglo-saxone du coup du C800 :lol: La référence "IT" a, je crois, été reprise sur son remplaçant, un Nimbus 4 D
  4. JNV

    Immatriculation Des Planeurs

    Je ne sais pas s'il n'y en a toujours pas, mais c'est simple: Les immatriculations, à quelques exceptions près, sont attribuées dans un ordre +/- alphabétique/chronologique F-CA.., F-CB.., F-CC.. Les "séquences" actuelles sont dans les F-CI.., F-CJ.. S'il n'y a pas de F-CQ.., c'est simplement que nous n'y sommes pas encore! Exceptions: 1) Dans les années 80, toute une série de F-CA.. et F-CB.., qui avaient déjà servi sur de vieux planeurs réformés, ont été ré-attribuées, notamment aux planeurs de la STRALPES/STRA. (F-CB.. pour Christian Brondel) 2) Les F-CR.. sont réservées aux constructions amateur. 3) Il y a des "bien informés" qui arrivent à se faire attribuel des immat rigolotes (ASH25 F-CHAT à Chérence, Swift F-CIEL au CNVV, etc.) 4) Les constructeurs et importateurs ont généralement des séries réservées. C'est ainsi que, à Challes, sachant que ledit F-CHAT avait été attribué à un ASH25, nous avons demandé à son importateur de l'époque, Philippe Shroeder, d'essayer de nous avoir le F-CHAL quand nous avons acheté un des nôtres. Nous avons aussi le K21 F-CHBY (pour CHamBérY), mais ça saute moins aux yeux... :lol: 5) Ces derniers clins d'oeils sont un juste retour des choses: Dans les années héroïques, il y avait à Challes le C800 F-CACA...
  5. Merci André, mais il ne doit pas y avoir que ça: J'ai suivi ta procédure, me suis connecté, ai tenté un simple "Actualiser" -----> hop! Je n'étais plus connecté. Comme dab Jean-Noël (re-re-reconnecté pour signer)
  6. ...ou une case photo Heureusement qu'y y a la gallerie! http://netcoupe.phpnet.org/galerie/galleries/En_Vol/Alpes/07-2003_IMG_1909.jpg C'est bien ce que Fred aurait préféré que tu penses Bonnes (re-)lectures pour l'hiver Jean-Noël, ravi d'avoir été battu
  7. Un peu d'eau au moulin des déconnectés: Chez moi (cookies autorisés, pourtant), je ne suis jamais connecté automatiquement, bien qu'ayant accepté de l'être. De plus il suffit que je lise une autre page web en parallèle, sans fermer la fenêtre planeur.net pour me retrouver déconnecté. J'ai du coup écrit pas mal de messages de manière "anonyme", tout en les signant... Le pire, c'est que ce n'est pas systématique: Il m'arrive de venir juste lire, et donc ne pas prendre le temps de ma logguer, d'aller voir une autre page, de revenir^par "précédent" et là, ô miracle, d'être connecté... Au boulot, jusque là ça marchait mieux et j'étais automatiquement loggué. Je viens de me reloggué mais c'est la première fois que ça arrive. Un ménage trop appuyé dans les cookies, peut-être. à VOS problèmeS Jean-Noël
  8. Merci pour le renseignement. Si j'avais voulu participer au concours, peut-être l'aurais-je fait. Si c'est juste pour répondre à une question, ça attendra... Jean-Noël
  9. Jean-Marc, ton lien n'aboutit que sur l'accueil des groupes AOL où il faut montrer patte blanche (code)
  10. Pour DVJr-LS: Carrouf = appellation familière (et locale certainement en Savoie puisque ça ne semble pas avoir touché l'Alsace) pour certains hypermarchés dont nous tairons le nom pour ne pas faire de pub... http://www.ifrance.com/carrefources/img16.gif
  11. Pff! Ca, c'est s'il était mercenaire. Pour les réservistes, c'est beaucoup plus seyant (ne pas oublier la bicyclette): http://www.swisscastles.ch/Vaud/morges/photos/bicyclette.JPG
  12. JNV

    Nimbus2

    Oui, c'est une super base de données, mais aussi un sacré boulot! Tu as pu tout récupérer, maintenant? Jean-Noël
  13. JNV

    Nimbus2

    Par contre, à la maison, sur un 17", on voit tout bien
  14. Et avec son équipement... http://www.swisscastles.ch/Vaud/morges/photos/arbalete.JPG
  15. JNV

    Nimbus2

    C'est même pas fait exprès... Bon, vous allez être déçus, ça ne casse pas trois pattes à un canard: il était une fois, jadis, une classe libre où le podium était très disputé. Vers la fin, la première place était occupée par un ASW17, et la seconde par un Nimbus 2, séparés par peu de points. Le départ fut donc très tactique, et l'épreuve très difficile. Pensant enfin mener, le pilote du Nimbus s'annonça triomphalement en arrivée au pont de Manosque. A ce moment là, une voix lança sur la fréquence ce "Trop tard, Novembre 12", sur un ton théâtral que je vous laisse imaginer. C'était le pilote de l'ASW17, déjà posé discrètement depuis un moment. Ca allait égayer quelques temps les soirées vélivoles, et servir, hors du contexte, à quelques occasions... Bon, comme les acteurs passent de temps en temps sur ces forums, c'est avec plaisir que je lirais les éventuelles corrections de cette petite histoire, n'en ayant profité qu'en seconde main... Jean-Noël
  16. JNV

    Nimbus2

    La "gloire" savoyarde lors de ce concours n'a rien à voir avec l'anecdote. C'est juste qu'il y avait au moins une équipe de dépannage pour en profiter. Moi, sur un petit écran 15", j'ai bien accès au site de Régis, mais les années sont aux 3/4 cachées dans une marge gauche que l'on devine
  17. JNV

    Nimbus2

    1976 a laissé d'impérissables souvenirs en plaine. En montagne elle fut bonne mais je ne sais pas si elle était "glorieuse"? Rien à voir avec 2003 en tous cas... Non, la "gloire" était dans les classements
  18. JNV

    Nimbus2

    Bon, vérification faite auprès d'un (plus) ancien (j'étais petit à l'époque), ce n'était pas N10 mais N12. Attention donc pour qui s'amuserait à fouiller les archives de Régis http://regis.kuntz.free.fr Et c'était plus vélivole que tes hypothèses alambiquées Ca concerne une glorieuse année
  19. JNV

    Nimbus2

    Pour DV: Soyons bons! L'anecdote avait en fait été ramenée du concours de Vinon par nos représentants... Le côté obscur de la Force y avait frappé...
  20. JNV

    Nouvelles Photos

    Euh, Lionel, c'est plus une éclosion de pop-ups, ça,c'est carrément le bouquet final d'un 14 juillet...
  21. JNV

    Nimbus2

    La moins éloignée, tu veux dire ?
  22. JNV

    "carnets De Vol"

    Et alors, Laurent, quel sectarisme (même si c'était dit en souriant)!Philippe est le webmestre du dite http://www.aerostories.org/~aerobiblio/index.php où est présenté le livre de J.P.Otelli. C'est la moindre des choses de le mettre au courant du "détournement" de sa présentation. Non?
  23. Euh, il fallait lire "Je sortais mon train"...mais le lapsus est amusant! :rolleyes:
  24. JNV

    Nimbus2

    Indice pour DV: Novembre 10 était bien un Nimbus 2 (c'est quand même le sujet à la base!) :rolleyes:
  25. :rolleyes: Ca y est, j'ai retrouvé la traduction, parue en 1990 dans la petite revue « Albert » du club de Challes, d’un article « The water option » de Dillon E.Jackson publié par « Soaring »: « Quand il n’y a pas d’autre choix, un planeur humide est préférable à un planeur cassé » Le terrain en-dessous de nous n’étais pas idéal. Nous survolions un pays marécageux avec des champs trop petits. Je me remontais le moral en consultant ma carte : je pouvais encore atteindre Campbell avec mes 1000 mètres. Si nous pouvions grimper un peu, nous pourrions nous diriger vers les aérodromes situés le long de la route n°2, pour plus de sécurité. Notre idée était de se diriger vers Tolt Reservoir tout en gardant un œil sur les conditions météo et notre position pour, au besoin, retourner vers Campbell, si les ascendances se dégradaient. A quelques kilomètres S/SW de Tolt Reservoir, il y a deux petits lacs. Sur la carte, on en voit un juste à côté de la route. Peu de temps après, je prenais un thermique sur le lac. Zoulou Roméo spiralait quelques km en arrière dans une bonne pompe. Dans mon ascendance, j’oscillais entre 1000 et 1100m pendant que Larry annonçait 1400 et avançait au NW de ma position pour prendre à nouveau un bon thermique. Je continuais à me battre dans mon ascendance pour atteindre 1300m et pouvoir ainsi rejoindre Larry avec une bonne marge. Pourquoi est-ce que je restais ici où je n’arrivais pas à obtenir un thermique régulier ? Je persistais parce que j’étais persuadé que c’était ma technique et non la qualité de la pompe qui était en cause. J’aurais dû me méfier. J’avais plus de 50h sur Cirrus. J’aurais dû avoir assez confiance en moi pour, à la fin, suspecter que c’était le thermique, et non le pilote, qui montrait un manque certain de forme. Mais non. J’étais sûr que j’étais en train de me faire avoir. Quand je tentais de m’éloigner, où que ce soit, la gamelle était là, m’attendant. Après avoir lutté pour prendre 50m dans une pompe hésitante et faible, je les perdais en un seul virage. Après plusieurs minutes à ce régime, je commençais à me sentir mal à l’aise. J’étais bloqué. Il ne semblait pas y avoir de meilleures ascendances à proximité. Il y avait bien les deux thermiques de Larry, s’ils existaient toujours… En dessous, j’avais des clairières (non, non), une route (possible, pas de poteaux téléphoniques, des arbres sur les deux côtés) et un joli petit lac. Bien sûr, j’étais influencé par les livres qui disent de ne pas quitter une ascendance connue particulièrement lorsqu’on est bas. Il ne semblait pas possible d’atteindre Campbell. Si je me dirigeais vers les pentes des Cascades et que je n’arrivais pas à grimper, j’aurais là aussi des problèmes pour me poser (Allez, viens, petit thermique, monte-moi !). Pas d’autre issue. Au lieu de cela, la pompe disparaissait et se transformais en dégueulante. Je m’échappais avec frénésie. Je me dirigeais vers le Sud pour sortir de ce guêpier et voir à quoi ressemblait la route de Campbell. Les arbres commençaient à monter. Je fis demi-tour et observai quelques clairières. 800m et cela chutait de plus en plus. « Larry, je pense que je vais y avoir droit. Je vais essayer la route » « Non, Dillon, remonte ! Pas la route ! » Essayer de remonter était de l’histoire ancienne. Je continuais de chuter Il est réconfortant de savoir que ce que nous avons lu nous reviens en mémoire lorsque nous sommes en difficulté. « Je dois me poser » annonçais-je à ZR. D’autres échanges radio à ce sujet, et dont vous imaginez la teneur, eurent lieu. Je sortais mon tarin et préparais mon atterrissage. Il y avait des camions garés le long de la route, travers le milieu du lac. Je viendrais du SE, remonterais la route, passerais sur les camions et atterrirais là où la route était dégagée et droite. Ceci impliquerait une approche longue de 1km sur la route en suivant une trajectoire en S jusqu’à la portion de route rectiligne. (Attention, trop haut !) Un 360. Maintenant, j’étais presque bon. Au ras des arbres, je remontais la route. Pas de lignes électriques, mais il fallait quand même 15 mètres. Je sais que les champs sont préférables aux routes et que la plupart des routes sont bordées de câbles, poteaux signalisateurs, etc. Mais je n’avais jamais pensé à mesurer leur largeur. Au moins jusqu’à maintenant. J’avais passé beaucoup de temps, lors de voyages en voiture, à observer des champs, les analysant pour des vaches éventuelles. J’aurais dû passer aussi quelque temps à examiner la largeur des diverses routes que j’empruntais. Maintenant, j’étais au pied du mur. Quelle était la largeur de ma route ? Le temps s’accélérait. Je ne prétends pas avoir eu l’éclair de génie en abandonnant l’idée de me poser sur la route. En fait, elle était trop étroite ! Je virais serré sur la droite, passais une haie et me retrouvais sur le lac ; un autre virage serré à gauche et j’amorçais ma finale, train rentré. A ce stade, je me concentrais pour me poser le plus près possible de la berge. Woosh ! J’y étais. Le Cirrus stoppa beaucoup plus rapidement que je ne m’y attendais, mais j’étais OK. Le planeur commença immédiatement à couler. L’eau bouillonnait déjà dans l’habitacle. Je me battais avec mes sangles et la verrière car j’avais peur d’être complètement submergé avant de pouvoir sortir. Mais l’eau s’arrêta au milieu de ma poitrine. J’ouvrais la verrière et échangeais quelques mots avec des pêcheurs à une dizaine de mètres sur la berge. « Ca va ? » « Oui » « C’est normal, votre amerrissage ? » « Pas exactement » « J’aurais du avoir mon appareil photo » « Revenez la semaine prochaine, je recommencerai ». Le Cirrus flottait. Pour être sûr qu’il ne coulerait pas, on le remorqua jusqu’à la berge. Mes sauveteurs repartirent pêcher mais un autre groupe arriva et m’aida à démonter le planeur. Nous sortîmes les ailes et la profondeur de l’eau. Le fuselage fût tiré jusqu’au bord. Larry nous survolais, surveillant les mouvements sur le lac. Après confirmation que j’étais sauf, il retourna (prudemment) vers Issaquah. Il revint avec l’équipe de dépannage, et nous installâmes l’oiseau mouillé dans sa remorque. Sur la route du retour, on rechercha d’autres zones posables. Il n’y en avait aucune pendant des km. Si j’avais essayé tout autre endroit, le planeur eut été endommagé et moi-même sûrement blessé. L’amerrissage avait sauvé l’appareil et le pilote. Je sais que j’ai fait plusieurs erreurs de jugement et de tactique. Je laisse au lecteur le soin de relever mes erreurs. Croyez-moi, je l’ai fait ! Ces évènements doivent être connus parce que ça peut vous arriver. Si vous vous trouvez trop bas dans une région imposable, recherchez des lacs ou des étangs. Ne négligez pas l’option lac.
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