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Si je comprends bien le document que j'ai trouvé décrivant les interfaces RS422 et RS485 (https://www.ti.com/lit/an/slla070d/slla070d.pdf ), le dernier des deux est un interface multi récepteur/unique émetteur (half-duplex), communicant sur une unique paire différentielle, ils appellent "driver" un dispositif qui n'est qu'émetteur, "receiver" un dispositif qui n'est que récepteur et "transceiver" un dispositif qui peut être l'un ou l'autre suivant le moment, mais pas les deux en même temps. C'est donc le protocole de communication entre les deux (ou plus) dispositifs qui doit permettre d'assurer la condition qu'il n'y a qu'un seul émetteur à un moment donné. Si j'en crois les schémas vus dans cette doc, ça veut dire que tu dois également relier RX+ de la DB25 à A+ de l'adaptateur et RX- de la DB25 à B- de l'adaptateur. En espérant que le protocole se démerde correctement. Une partie de la doc est d'ailleurs consacré au cas où la condition ci-dessus n'est pas respectée (line contention) et si je comprends bien les signaux reçus sont plus ou moins imprévisibles dans ce cas, mais les normes électriques régissant la chose devraient assurer que rien ne pète.
Toujours selon ma compréhension du même document, RS422 n'est qu'une restriction de RS485 au cas d'un unique "driver" connecté à un unique "receiver" via une ligne à deux fils quoique ce soit le second qui a été introduit comme extension du premier. Mais je crois comprendre aussi que souvent on entend par liaison RS422 une paire de liaisons de ce type, une dans chaque sens. La radio semble avoir été prévue pour supporter ce type, puisqu'elle a 2 paires différentielles.
Si tu veux éliminer tous les doutes, tu n'as plus qu'à racheter un convertisseur à 4 paires (3euros sur aliexpress).
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Il me semble pourtant que dans le cas que décrit Denis, la solution la plus simple est de rajouter un condensateur entre la masse et le commun du commutateur.
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N'y a-t-il pas des problèmes, d'assurance et de réglementation entre autres, à transporter des personnes en dehors du conducteur dans un véhicule qui n'a pas été conçu pour ? Il y a semble-t-il une carte grise et elle devrait mentionner un nombre de personnes, je serais surpris qu'il soit différent de 1.
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J'adore le commentaire qui dit qu'il a fallu une "longue investigation" pour découvrir que le défaut de fonctionnement d'un port série était dû à un défaut d'un composant assurant l'adaptation des signaux au dit port série.
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Le 07/11/2021 à 23:15, Bob a dit :
Pourquoi 1, 2, 3... ? Ce n'est qu'un problème de convention. Ce n'est pas parce qu'en marine on a numéroté les canaux à partir de 1 qu'il faut toujours le faire.
Et si tu regardes la carte VAC, il est écrit A/A : 118.155 (sans mHz à la fin )Là je ne te comprends pas : on divise 25 kHz par 3 ça fait bien 8,33333333333 kHz. Pas utile de mettre plus de 2 décimales, puisque c'est "infini".
Le 07/11/2021 à 23:15, Bob a dit :Pourquoi 1, 2, 3... ? Ce n'est qu'un problème de convention. Ce n'est pas parce qu'en marine on a numéroté les canaux à partir de 1 qu'il faut toujours le faire.
Et si tu regardes la carte VAC, il est écrit A/A : 118.155 (sans mHz à la fin )Là je ne te comprends pas : on divise 25 kHz par 3 ça fait bien 8,33333333333 kHz. Pas utile de mettre plus de 2 décimales, puisque c'est "infini".
Bien sûr, ce n'est qu'une question de convention. Donc choisissons la plus débile possible .
Pour ce qui est du 8.33 tu peux ajouter autan de 3 que tu veux, ça ne fera jamais 25/3 puisqu'il en faudrait une infinité.
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Bienvenue parmi nous Joseph. Coïncidence : j'ai fait quelques vols en planeur à Hollister, je crois que c'était en 1999, uniquement comme passager, ma mauvaise compréhension de l'anglais parlé excluant toute autre forme.
Quelques remarques à propos de ta question :
Chaque aérodrome peut avoir ses "consignes locales" concernant les échanges radio, elle devraient normalement figurer sur la carte VAC, mais ce n'est pas toujours le cas en pratique.
Une habitude courante est de terminer l'annonce de vent arrière par la mention "train sorti verrouillé" pour un planeur à train rentrant, "train fixe" sinon.
Comme le dit Bob, souvent on se borne à l'annonce de vent arrière. Il dit en cas de trafic réduit, moi j'aurais plutôt envie de dire que c'est surtout dans le cas de dégradation des conditions, quand tous les planeurs retombent et que chacun guette le moment où il pourra placer son annonce qu'il faut privilégier les annonces minimales. Dans cet ordre d'idées , supprimer tout ce qui va de soi :
Si l'aérodrome a une fréquence propre, inutile de dire son nom ;
S'il y a un coté de vent arrière standard (presque toujours indiqué sur la carte VAC), inutile de préciser le coté si c'est celui-là, en revanche toujours le faire dans le cas contraire.
S'il y a clairement une piste en service, on peut omettre sa mention, inversement si on est contraint de se poser en sens inverse, sa mention est indispensable.
Par ailleurs sur de nombreux terrains on pratique une annonce "en zone de perte d'altitude", cette zone étant précisée dans les consigne locales. On précise (si nécessaire selon les mêmes critères que pour l'annonce vent arrière) la piste, le coté, mais aussi l'altitude pour savoir qui est plus haut ou plus bas que qui.
Dernière remarque : rien à redire sur ton français.
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Si c'était vraiment des canaux, la plus basse fréquence dans l'espace de fréquence qui nous est dévolu serait le canal 1, plus haut de 8,33 en fréquence, ce serait le canal 2, etc. Là on a à faire à un truc hybride qui n'est ni vraiment fréquence (mais on ajoute quand même MHz derrière) ni vraiment canaux, juste un truc pour semer la confusion et se prendre la tête. En plus l'espacement en fréquence n'est pas vraiment de 8,33 kHz, mais de 25/3 de kHz.
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Dans cette vidéo il est mentionné une (possible) "compression" de l'air du au rétrécissement de la section disponible pour l'écoulement de l'air, d'environ 40% au passage de la plaine à l'altiplano. Ceci me semble incompatible avec un écoulement subsonique. C'est ma vision naïve, je suis ouvert à toute explication.
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En ce qui me concerne, je n'inscris mes heures que dans une seule colonne quand suis CdB, instructeur si j'exerce cette fonction, CdB sinon. Mais en bas de la colonne CdB, je fais le total des deux colonnes, puisque pour les deux je suis commandant de bord. Bien évidemment en bas de la colonne instructeur il n'y a que le total de cette colonne. Bon, en fait c'est plutôt Excel ou un de ses succédanés qui fait le calcul pour moi, selon la règle ci-dessus.
J'ai choisi de ne remplir qu'une case par ligne, d'abord par flemme, mais aussi pour éviter qu'un jour où ma plume aurait fourché et où je me retrouverais avec deux valeurs différentes dans les deux colonnes, de ne plus savoir quelle est la bonne.
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On ne remerciera jamais assez M...soft d'avoir autorisé les espaces dans les noms de fichiers (alors que ça flanque le bazar même dans leur DOS) :angry:
En passant, l'image est réapparue aujourd'hui, sans que j'aie changé quoi que ce soit dans les paramètres de Firefox (idem pour Opera)
Les espaces dans les noms de fichiers , ce n'est pas M..., c'est Apple dès les premiers Macintosh, M... n'a fait que copier. Il faut dire que pour ces gens, déjà à l'époque, les idées de syntaxe et de délimiteurs étaient vues comme de la préhistoire.
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????? P A T I N , ça fait 5 lettres comme P E L L E , il me semble... Il est vrai que je suis assez nul en maths...
La fuite de cerveau est encore plus importante que ce que croyais. Il faut dire que quand j'ai écrit "hier", c'était en fait vers 3 heures du matin aujourd'hui durant une de mes trop nombreuses insomnies. Il faut croire qu'au début j'avais déjà une ou plusieurs lettres qui ne collaient pas. Ta nullité en math n'a rien à voir là-dedans, je surprends toujours les gens en leur disant que je suis fâché avec les chiffres justement parce que je suis (ou ai été) mathématicien. Hier j'ai d'ailleurs enfin trouvé une démonstration de la chose : sur un nombre donné je ne peux que me tromper, l'ensemble des nombres étant infini, la probabilité que je ne me trompe pas est nulle.
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Bon, puisqu'on me tend la perche, je dirais que pourquoi un parallélogramme ? Il s'agit en général d'un polygone de sustentation, il n'y a pas de raison que ce polygone soit un parallélogramme. Et pas de raison non plus que ce soit plus stable quand c'est un parallélogramme. Dans la version initiale, si j'avais eu 4 roulettes et que je les avais mises aux 4 coins de la planche, ça n'aurait été qu'à peine plus stable et bien moins que la version actuelle.
Pilouch, si je t'ai déçu, j'espère au moins que le message de déterrage t'a fait sourire.
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Le principal avantage de ne mettre que trois roulettes plutôt que quatre, c'est que quand trois roulettes et non pas quatre trainent dans un coin du hangar, ça permet de réaliser la chose immédiatement
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Entre temps, j'ai trouvé que ce roule-patin était lui aussi un peu instable, parce que les deux roues voisines étaient trop rapprochées. Je les ai enlevées, j'ai fixé une planche perpendiculaire en utilisant les trous de fixations des roues de façon à avoir une forme en T et j'ai remis les roues aux extrémités de cette nouvelle planche.
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Je déterre ce sujet, histoire de vous raconter un truc qui vous égayera peut-être un peu en ces temps moroses de pandémie.
Il y a quelques années, il y avait dans le club un Américain prénommé Gary. Un jour je lui montre le roule-patin et je lui dis que ce qui me plait le plus, c'est le nom que j'ai trouvé pour la chose. Comme il me regarde d'un air interrogatif, je lui dis : "Gary; tu sais ce que ça veut dire, rouler un patin ?". Il me répond avec son inimitable accent (mais j'essaie quand même) : "No, je say ce que say roulay une pelle, mais ..". Et je réponds : "Ben Gary, rouler un patin, c'est exactement la même chose".
Hier, je me lance dans les mots-croisés d'un vieux numéro du journal Le Monde auquel je suis abonné, Il y a pour un mot en 5 lettres une définition : roulé amoureusement. Evidemment je pense à "patin", mais ça ne colle pas pour le nombre de lettres.
O rage, ô desespoir, ô viellesse ennemie et cerveau qui fuit. Je revois la scène avec Gary. Putain, c'était quoi déjà, l'autre mot qu'il avait au lieu de patin ! Quand il ne me manquait plus qu'une lettre, c'est quand même revenu .
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Sur la grande photo, nous voyons le décollage du train principal d'un K23 bien avant le patin de queue, est ce normal ou à éviter ?
Du temps où on treuillait à Beynes, il me semble que pour un K21 ou K23, la règle était : avant d'annoncer "prêt pour le décollage", manche et compensateur en butée avant. Dès que le treuil met les gaz, l'accélération fait basculer le planeur vers l'arrière jusqu'au contact du patin avec le sol. Garder le manche en butée avant jusqu'à ce que soit atteinte une vitesse qui permette au patin de quitter le sol, ensuite seulement provoquer le décollage par une action douce du manche vers l'arrière. Si on suit cette procédure, le train principal ne peut pas quitter le sol avant le patin sauf accélération très (trop) brutale. La règle était d'ailleurs la même pour un planeur ayant une autre disposition de train (patin au sol à l'arrêt), si ce n'est qu'il n'y a pas de basculement vers l'arrière.
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Cette histoire d'ailes souples me laisse froid. Je n'ai jamais remarqué de différence avec d'autres réputées plus raides. Il faut dire que je n'ai pas non plus prêté attention à la chose. Par contre ce que je ressens bien, sans avoir besoin de me concentrer là-dessus c'est l'effet du très faible dièdre, qui oblige à bien travailler des pieds pour garder la symétrie, alors qu'un LS4 par exemple fait très bien ça tout seul. Mais il est vrai que le Pégase est un mal aimé chez nous; le président veut vendre nos deux Pégase 90 parce qu'ils ne volent pas assez. Il faut dire qu'il y a là un cercle vicieux, ils se retrouvent toujours au fond du hangar et tout le monde préfère évidemment voler sur ceux qui sont devant plutôt que de les sortir juste pour pouvoir sortir un Pégase. Il n'en demeure pas moins que c'est sur un Pégase que j'ai fait mon plus long circuit cette année (https://netcoupe.net/Download/DownloadIGC.aspx?FileID=17591). Pas bien grand pour un jour fumant, parti tard, donc il n'y en avait plus d'autre devant... et donc je n'avais pas d'autre choix, mais je ne regrette pas.
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La chose la plus dissymétrique dans le planeur, c'est le pilote, qui ne tient le manche que d'une seule main, en principe la droite, et qui n'a pas la même force aux deux pieds. Il est fort probable qu'il n'a pas dans les deux cas des positions de ces deux commandes symétriques l'une de l'autre. De même ses réactions aux efforts aérodynamiques ne sont pas symétriques.
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... mais savez-vous qu'il coute très peut d'énergie pour électrolyser des hydrocarbures et piéger in situ le co2 (dans les puits de pétrole ou de gaz abandonnés)
J'aimerais bien quelques précisions à ce sujet. D'après ce que j'ai compris dans ce que j'ai appris quand j'étais à l'école (c'est vieux, il est vrai), l'électrolyse consiste à séparer les ions positifs et négatifs présents dans un liquide en y faisant circuler un courant électrique. A ma connaissance, il n'y pas d'ions dans les hydrocarbures. Il semble qu'il n'y a pas que pour le planeur qu'il me faut un stage de remise à niveau
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Aujourd'hui, de retour d'un petit circuit, je tente de le mettre sur la netcoupe depuis l'ordinateur du club. Surprise :
"Votre login ou password est incorrect. Veuillez recommencer" me répond-on.
Bien entendu, mon login/password n'est pas enregistré sur l'ordinateur du club, mais il me semble m'en souvenir, peut-être à l'échange près de deux groupes de caractères dans le mot de passe, mais les deux donnent le même résultat.
En désespoir de cause je clique sur J'ai oublié mon login et/ou mon password, on me demande de m'identifier en choisissant mon nom dans la longue liste qui m'est présentée et en sélectionnant ma date de naissance. Ces renseignements que je fournis semblent corrects, puisque j'ai droit à une réponse du style "votre mot de passe va vous être envoyé par mail à l'adresse que vous avez donné ..."Quelques heures plus tard, de retour chez moi où login/password sont enregistrés sur mon ordinateur perso, je vérifie qu'il s'agit bien d'une des deux possibilités que j'ai essayé au club. Et dans mon mail, rien qui concerne la réponse à ma demande.
Suis-je définitivement banni de la netcoupe ?
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Peut être une explication plus rationnelle pour la corée du Sud , le dépistage a été massif et les dépistés positifs isolés sous surveillance
Trop facile chez eux, ils n'ont pas de pénurie de tests, le pays est parmi les principaux fabricants mondiaux de la chose.
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Contrairement à ce que je pensais, l'écoute des bruits aérodynamiques n'est pas altérée (pour ma part)
Et qu'en est-il de l'écoute de la radio ?
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J'optimise le choix du deuxième point de façon à minimiser l'erreur quadratique moyenne calculée sur un certain nombre de points de la polaire.
Ruse ! Si je te suis bien, parmi un certains nombre d'autres points, tu essaies successivement chacun comme 3ème point pour avoir une polaire polaire qui passe exactement par ce point avec la bonne finesse max, tu calcules l'erreur quadratique moyenne que ça donne sur les points restants et tu choisis la polaire qui a donné la plus petite erreur quadratique moyenne.
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Une autre façon de déterminer la polaire parabolique est d'utiliser la méthode "Cambridge" : le point de finesse maxi en imposant la tangente à la parabole, et un autre point, qui peut être déterminé par une méthode de moindres carrés (Cambridge recommandait le point à Vz=-2m/s).
C'est la méthode que j'utilise pour générer les polaires des planeurs de Condor pour XCSoar
Etant donné qu'il y a 3 paramètres A, B et C à déterminer, 3 conditions fournissant 3 équations vont en général les déterminer, sauf exception (système linéaire à déterminant nul). Donc pas besoin de moindres carrés, la donnée de Vx, Vz au point de finesse max et en un autre point donne ces 3 conditions (ça passe par chacun des points de coordonnées Vx,Vz donnés et de plus au premier la pente de la tangente est Vx/vz), donc la parabole est parfaitement déterminée par ces 3 conditions et passe exactement par les deux points et sa tangente au premier passe par l'origine.
Les moindres carrés ne se justifient que dans le cas d'un système surdéterminé (plus d'équations que d'inconnues, qu'on ne peut en général pas satisfaire toutes) ce qui est le cas si on donne plus de 3 points (ou autres conditions).
Comparaison antennes de compensations - mesures en vol.
dans Instruments - Accessoires
Posté(e) · Modifié par Robert Ehrlich
ajout
Il y a bien longtemps, en 1996 ou 1997, je volais sur ASK23. Ce planeur, comme l'ASK21, possède une antenne de compensation montée sur le dos du fuselage, à vue de nez à mi-distance entre le bord de fuite de l'aile et les prises statiques pour ce qui est de la position longitudinale. Elle sort du fuselage perpendiculairement à sa surface et se termine par une extrémité légèrement coudée vers l'avant, l'angle est du même ordre de grandeur l'angle que fait le bout d'une antenne de dérive avec la perpendiculaire à la tige longue. Autrement dit, comme pour l'antenne de dérive, la partie où se trouvent les trous de prise de pression fait un angle faible avec la perpendiculaire à la direction (supposée) du vent relatif. Or, au cours de mes vols sur l'un de nos 3 ASK23, il m'a semblé que la compensation était quelque peu défaillante, chaque ressource me promettait une ascendance fabuleuse qui n'était en général pas au rendez-vous. J'ai fait part de cette impression à Eric Chaslin, notre chef-pilote de l'époque et roi de la mécanique et de l'entretien des planeurs. Il a regardé le planeur et à constaté que le bout de l'antenne était plié vers l'arrière et non vers l'avant comme sur les autres planeurs. Armé de deux pinces, il vite rétabli la situation standard, et la compensation est redevenue acceptable.
J'en conclus que l'angle joue bien un rôle, et que l'important est que cet angle dirige l'extrémité de la tige vers l'amont de l'écoulement par rapport à l'endroit ou se trouvent les trous de prise de pression. Pour une antenne de dérive, qu'on la monte coudée vers le haut ou le bas, cette condition est toujours satisfaite, ce qui expliquerait qu'aucun des deux montages n'ait jusqu'ici montré d'avantage sur l'autre. D'ailleurs sur notre dernier Duo, nous avons une antenne "de course" qui fait aussi pitot et qui a deux petits tubes de prise de pression symétriques, presque perpendiculaires au tube principal, les deux font un léger angle vers l'avant.
Après consultation du document de la NASA cité plus haut par M. Scherrer, l'importance de l'angle "vers l'avant" se confirme et explique bien ma mésaventure en ASK23, voir figure 6 page 36 dans ce document : pour l'angle symétrique du bon vers l'arrière, le coefficient de compensation tombe à la moitié de ce qu'il devrait être.