Robert Ehrlich

Idem oui ils ont changés maintenat c'est visit 8L free 84A et ça marche Non Il ne faut pas de blancs.

Sur cette question, un truc que j'ai appris de la coupe des voiles : si le tissu est synthétique, on peut le couper au fer à souder, muni d'une panne adéquate, de forme en gros extrémité de tournevis coudée (mais je l'ai fait aussi avec une forme sans coude, c'est moins pratique mais ça marche). Avantage : coupe bien plus nette, pas d'effilochage, ourlet pratiquement inutile, et la chute de tissu est tout aussi nette. Par contre c'est plus facile à deux : un qui tient une règle métallique plaquée sur le tissu, l'autre qui promène le fer à souder le long de la règle, pour les coupes droites seulement bien entendu, mais ce sont les plus nombreuses. Dessous il faut quelque chose qui ne craigne pas trop la chaleur du fer, une autre règle métallique plus large par exemple mais j'ai aussi utilisé une planche de contreplaqué, bien entendu elle est sacrifiée puisqu'elle sera décorée de belles lignes noires, mais sans plus.

Ce n'est pas une obligation, c'est une constatation : actuellement les seuls qui abandonnent l'aviation certifiée pour l'ULM sont ceux qui peuvent s'en payer un, ou 1/2 quand il se mettent à 2, il n'y a pas de groupement sur une flotte comparable à ce qui se fait dans les clubs de planeur. Faut-il que ça change et comment faire pour que ça change ? Je n'ai pas de réponse à la deuxième question, et dans ces conditions je suis donc également incapable de répondre à la première.

Mais ces estimations de prix sont basées sur le coût actuel du platine. Si les piles à hydrogène sortent du domaine du labo et deviennent un produit industriel, il n'y aura pas assez de platine sur terre pour satisfaire la demande, donc le cours du platine va exploser. C'est bien de bombes qu'il faut parler dans ce cas là, j'imagine le résultat en cas de perforation. De plus de tous les gaz l'hydrogène est celui qui diffuse le plus facilement à travers les surfaces poreuses et les 300 bars ne peuvent qu'aider, je crains qu'un minimum de fuites soit inévitable. Si l'hydrogène a été abandonné en aéronautique pour les ballons à gaz au profit de l'hélium pourtant nettement plus cher et 2 fois plus lourd je doute qu'on y revienne surtout à 300 bars Avantage si l'on veut, en fait ça met en lumière une propriété de l'hydrogène commme "combustible" comparé au pétrole : le pétrole est une source d'énergie, énergie solaire stockée il y a des millions d'années par les organismes vivants de ce temps, par contre l'hydrogène n'est qu'un qu'un intermédiare de stockage de cette énergie, comme une vulgaire batterie, il faut en fournir autant pour le produire qu'il en restituera, et même un peu plus, les rendements ne sont pas de 100%. On peut rêver de solaire et d'éolien, mais pour le moment, à l'exception de la France ou la source majoritaire est le nucléaire, ailleurs c'est le pérole et le charbon, et donc si à l'utilisation l'hydrogène ne produit que de l'eau, sa production aura sans doute produit du CO2.

Olivier a cependant raison dans le mesure où pour passer à l'ULM, il faut avoir le fric pour en acheter un, l'ULM étant un monde de privés. Comme je l'ai déja dit dans un autre sujet, je n'ai rien contre les privés, au contraire. Mais regardons les chiffres. Mon club compte en gros de 110 à 150 membres selon les années et l'époque de l'année. Si on devait passer à l'ULM et donc à l'achat individuel, je pense qu'une dizaine le feraient. Le calcul est vite fait, entre 100 et 140 personnes perdues pour l'activité aéronautique.

Je croyais qu'après la perte du Pégase vous aviez décidé de le garder.

Si ce n'est pas le skate board qui attire les jeunes, ce sera peut-être de savoir qu'on roule des patins

Ca ne m'étonne pas tellement. Si j'ai bien compris comment un GPS s'initialise, il déduit d'une position approximative les satellites qui sont vraisemblablement au dessus de l'horizon et il cherche à les capter. Les hangars masquent les satellites qui sont bas sur l'horizon, qui sont ceux qui contribuent le mieux à la précision horizontale, donc je suppose que le GPS insiste un peu avant de renoncer.

C'est juste parce que c'est plus facile, tout en étant satisfaisant pour le domaine de vol pour lequel l'approximation parabolique a été calculée (dans pratiquement tous les cas pour des vitesses supérieures ou égales à la vitesse de finess max). Il est clair que pour d'autres vitesses cette approximation ne peut pas représenter la polaire réelle. Par exemple l'approximation parabolique donne une polaire symétrique autour de la vitesse de chute mini, ce n'est jamais le cas d'une polaire réelle, laquelle présente une tangente verticale à la vitesse de décrochage qu'on ne trouve jamais dans la parabole. Pour des vitesse élevées le taux de chute croit proportionnellement au cube de la vitesse alors que dans l'approximation parabolique il ne croit que proportionellement au carré, mais si l'approximation est bien choisie l'écart ne devient sensible qu'au dela de la VNE. De même cette approximation ne peut pas bien rendre compte des polaires ayant un coude prononcé, exemple Discus.

Il est clair qu'au passage d'un guide de porte, il y a quelqu'un juste à coté qui surveille et éventuellement soulage. En ce qui concerne les guides de porte chez nous, les roulettes sont suffisamment grandes pour que ça ne bloque pas. Pour ce qui est de la dénomination, je préfère la mienne à "planche à roulettes", et "planche à roulettes" à "skate board". Pour l'utilisation dans ce dernier mode, je crains que les roulettes orientables ne donnent quelques surprises, et c'est aussi un coup à se coincer le pied dans le trou.

http://robert.ehrlich.free.fr/images/roule-patin/r0010975.jpg http://robert.ehrlich.free.fr/images/roule-patin/r0010974.jpg Le chef ne voulait pas qu'on mette le BO aux fuselages qu'on rentre dans l'atelier ou qu'on en sort, c'est trop instable, disait-il. Alors il y a un pauvre gars qui se casse le dos plié en deux à porter la queue entre ses jambes :rolleyes: Comme il trainait un bout de contreplaqué et trois roulettes orientables dans un fond de hangar, j'ai eu l'idée de faire ce truc pour soulager le pauvre homme. Avec une boite de 12 vis de poelier achetée pour 1,60 euros au Casino à coté de chez moi et une vieille chute de moquette, voila le résultat. A l'usage ca peut aussi se mettre sous un bout d'aile pour remplacer un porteur d'aile absent. Mais ce qui me plait le plus, c'est le nom que j'ai trouvé pour la chose.

On peut toujours rêver, mais jusqu'a nouvel ordre et sauf découverte nouvelle dans ce domaine, les piles à hydrogène ont besoin d'électrode en platine, on aura beau industrialiser tout ce qu'on veut, ça ne multipliera pas la quantité de platine existant sur terre et il n'y en a pas assez pour motoriser ainsi tout ce qu'on voudrait, je gage que dans ce domaine les planeurs ne seront pas prioritaires.

Pour ceux qui n'auraient pas suivi le lien du premier message ou qui ne liraient pas l'allemand, les pods contiennent des "piles à combustible" (je mets des guillemets parce que cette dénomination consacrée désigne en fait des piles pour lesquelles le seul combustible possible est l'hydrogène, d'où la dénomination DLR-H2).

Anne DUCAROUGE DUPUY Bruno (+25 ans), Aéro-club de Romans Pourquoi Anne DUCAROUGE barrée ?

Ce n'était pas le but de la photo, mais après l'avoir vue, j'étais sûr que ça en amuserait certains.:lol:

Hélas, pour ce problème je n'ai pas de solution, pour le LS6, la position est déterminée par celle du levier de train. Moi qui suis petit et donc en position avancée, je suis encore plus gené que les autres par la position arrière, d'où mon impossibilité accrue de manipuler la fermeture éclair et la recherche d'un autre système. En attendant la réalisation, voici le résultat : Sacoche fermée : http://robert.ehrlich.free.fr/images/sacoche_fermee.jpg Sacoche ouverte : http://robert.ehrlich.free.fr/images/sacoche_ouverte.jpg

Je suis bien d'accord, le SparrowHawk est trop cher, en tout cas trop cher pour moi. Mais une version rallongée et/ou motorisée serait encore plus chère, alors ... Evidemment d'un point de vue commercial, qui est le tien, ce que je ne te reproche pas le moins du monde, comparé aux comparables, ça se défend. Mais concernant la cause du vol bon marché, on piétine toujours., voire même on recule. Ceci dit le SparrowHawk fera peut-être une carrière dans ce domaine comme planeur d'occasion quand il aura l'age qu'ont maintenant les LS1 D, ASW15, Libelle, avec l'avantage d'éviter la merde administrative qui va avec l'entretien des planeurs certifiés, et la clientèle de tous ceux qui se rabatent vers l'ultra-léger pour des raisons d'aptitude médicale ou similaires.

Au passage, si j'en crois mon dictionnaire Anglais-Français, SparrowHawk se traduirait par moineau-faucon et DuckHawk par canard-faucon. Etranges hybrides !

Le branchement de la batterie ne donne pas forcément un contact franc, surtout si la main qui effectue le branchement est un peu hésitante. On a flingué des fusibles et même des radios en branchant la batterie radio non coupée sur des planeurs sans interrupteur général. Aussi tous les planeurs Flarmés ont été muni d'un interrupteur général s'il n'en avaient pas auparavant. Le fait qu'il soit responsable UEA est anecdotique dans ce cas, mais pas pour bien d'autres taches qui doivent quand même être faites, il y a un remplaçant mais il nous manque quand même une part essentielle dans la force de travail à l'atelier. C'est toi qui la cherches, la remarque "penser à allumer" n'était pas de moi.

Pourtant je lis sur la page http://www.windward-performance.com/specifications.php : Empty weight 155 lbs Aurais-tu confondu livres et kg ? D'apres "units", programme de conversion de tout en tout disponible sous Unix, ca fait 70,31 kg.

N'y a-t-il aucune possibilité de ce coté ? J'avais cru comprendre que le décollage à pied n'est plus exigé, par ailleurs question masse à vide, il rentre dans la catégorie planeur ultra-léger. Bon de toute façon même au cours actuel du dollar ce n'est pas dans mes possibilités financières.

Nos LS4 et LS6 ont d'origine sur le coté droit une sacoche en plastique fermée par une fermeture-éclair. Outre que ces sacoches sont fort vilaines et trop petites, vu leur age elles arrivent en fin de vie sur nos planeurs et j'ai reçu pour mission hivernale de leur faire des remplaçantes. Leur système de fermeture m'a toujours déplu : la fermeture-éclair est quasi impossible à manipuler en vol, donc, ou bien on décolle fermeture fermée et la sacoche ne sert à rien, ou bien on décolle fermeture ouverte et la fermeture ne sert à rien. J'ai donc fait les nouvelles avec un système différent. L'ouverture est une fente rectiligne sur le dessus dont les bords sont rigidifiés par deux baguettes de composite noyées dans l'ourlet de chaque coté. Ainsi la fente reste fermée, mais la souplesse des baguettes permet d'en écarter les bords facilement. J'ai trouvé la baguette au rayon profilés chez Castorama, c'est du rond composite de 3 mm de diamètre. Au début je voulais mettre de la corde à piano, mais depuis leur restructuration chez Casto, le rayon modélisme a disparu, j'en avais aussi chez moi, de la vraie de vraie, une corde qui a pété dans mon piano, mais stockée roulée, elle n'aurait pas repris une forme rectiligne. Si ça intéresse du monde, j'essaye de faire un photo-reportage de la réalisation de la dernière qui me reste à faire.

Mais quand je me suis inscrit le réglement était différent. Demande donc le remboursement de ton inscription ! Excellente idée . Ceci dit le fait est que je me vois exclu ainsi que quelques autres sans motif ni préavis.

Nous sommes les premiers à le regretter, mais le boulot que demande l'installation de ces appareils conjugué à l'accident et l'incapacité de travail consécutive de notre chef pilote et responsable d'UEA fait que la totalité du parc ne pourra pas être équipé cette saison. Quant à penser à les allumer ... dois-je te rappeler Fred que les FLARM n'ont pas d'interrupteur marche/arrêt et que donc la seule mise en marche de l'interrupteur général, par ailleurs nécessaire pour la radio, dont l'essai est fait avant chaque décollage, suffit à les faire fonctionner.

En allemand Segelflugzeug, en anglais sailplane, c'est littéralement "avion à voile".