Robert Ehrlich

Quelle est la signification de la colonne "Place" ?

Et en prime chez Farnell on peut télécharger le certificat de conformité, ce qui répond à ma question précédente.

C'est dans les environs, mais pas pile, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle la plupart des planeurs ballastables ont aussi un ballast de queue pour pouvoir corriger, en gros en général les ballasts d'aile sont en avant du longeron alors que le centre de gravité se situerait plutôt au niveau de ce longeron ou un peu en arrière. Il y a en général dans le manuel de vol une table et/ou un graphique qui indique les combinaisons recommandées ou interdites de remplissage ailes et queue, compte tenu de la charge utile par ailleurs (pilote, équipement).

Son principal effet est de modifier la portance ou déportance de la profondeur nécessaire pour obtenir l'équilibre de vol, et donc la trainée induite résultant de cette (dé)portance. Voir ici et là pour une discussion plus détaillée.

Mais comment peut-on prouver que l'écrou acheté au Casto du coin est conforme à une telle norme ?

A Pont sur Yonne, il en ont un si j'en crois leur site web, ainsi qu'un pilote qui vole à la fois là et à Beynes.

C'est de la "toponymie mixte" :wacko: Tous les vélivoles à ma connaissance appellent ces montagnes Authon et Auribeau. La dénomination "officielle" sur les cartes IGN est : montagne de Mélan (pour Authon) et crête de Géruen (pour Auribeau). En fait Authon et Auribeau sont deux villages situés à proximité de ces deux crêtes et aucun n'est franchement plus proche de l'une que de l'autre, mais bon, tradition fait loi dans ce cas.

Ce qui se dit ici rejoint fortement ce que j'ai dit là, sauf que personne n'a mentionné ce que je disais vers la fin, l'importance de l'évolution diurne fort différente entre terre et mer, qui fait que les ascendances raisonnables sur mer ne peuvent probablement se rencontrer que lors d'advection d'air froid sur de l'eau chaude. Lors de mon voyage vers l'Equateur j'ai pu admirer une vaste zone marine surmontée de cumulus. J'ai bien entendu eu envie de me faire une idée de la hauteur des bases. Pour cela j'ai appliqué le sac à vomi aimablement fourni par Iberia (n'impotte quelle feuille de papier aurait fait l'affaire, mais c'est tout ce que j'avais) sur le hublot de telle sorte que son coin inférieur se profile au niveau de l'ombre du cumulus sur la mer et le coté vertical sur ce cumulus, puis j'ai fait sur ce coté un trait au crayon au niveau de la base du cumulus et un autre au niveau de l'horizon. Le rapports des distances horizon-ombre / cumumlus-ombre s'est trouvé être à peu près 6. En estimant l'altitude de vol à 10000 m, ça ferait des bases à 1600 m si le soleil était à la verticale. Comme on était encore bien loin de l'Equateur, ce n'était pas le cas, je pense qu'il faut réduire cette hauteur de 20 à 30%, ce qui donnerait des bases entre 1200 et 1400 m en gros. La répartition n'était pas hexagonale, mais assez régulière tout de même. Il y avait des trous bleus de temps en temps, au vu de la vitesse de vol estimée et du temps mis à les traverser, ils pouvaient faire une trentaine de kilomètres. Avec une bonne finesse ça devrait être jouable, le vrai problème restant toujours la vache marine.

Il y a une licence de pilote professionel de planeur outre Atlantique ou bien c'est comme chez nous? Oui, il y a une licence de pilote professionel de planeur outre Atlantique, eux ils disent "commercial", il y a des opérateurs privés qui vendent du planeur (heures de vol, baptèmes, formation, etc.) pour gagner leur croute, et pour emmener un passager payant dans ces conditions, il faut avoir cette licence.

Si, si, j'ai répondu :wacko: ici et là

C'est probablement vrai, en tout cas je n'ai aucune expérience de pilotage ni de l'un, ni de l'autre, ni d'aucun autre puisque je ne suis pas pilote avion. Mais ça ne semble pas logique. Ce qui compte en descente, c'est le taux de chute, ce qui limite c'est le refroidissement lié à la vitesse propre et au régime moteur. A vitesse propre égale, l'avion le moins fin devrait être celui qui chute le plus. Qu'est-ce qui empêche le Pawnee d'aller aussi vite que les autres en piquant davantage ? Refroidissement trop important ? VNE ? que ce soit l'un, l'autre ou autre chose encore, l'infériorité n'est alors pas due à la trainée plus importante mais à cette limitation.

C'est-y pas plus joli comme ça : Planeur ANGL ALL ALL corrigé ANG corrigé Nimbus 4 118 128 123,08 124,21 ASH25 114 124 119,23 120 Ventus 2c,cx (18m) 110 120 115,38 115,79 LS6c (18m) 107 118 113,46 112,63 LS6c (17.5m) 106 118 113,46 111,58 Ventus c (17.6m) 106 116 111,54 111,58 Discus 2c (18m) 106 114 109,62 111,58 ASW28-18 (18m) 106 114 109,62 111,58 LS8-18 (18m) 106 114 109,62 111,58 Ventus 2c,cx (15m) 104 114 109,62 109,47 Ventus a,b (16.6m) 104 114 109,62 109,47 Duo Discus 102 110 105,77 107,37 Ventus a,b,c (15m) 101 112 107,69 106,32 Mosquito a,b 98 108 103,85 103,16 ASW24 97 108 103,85 102,11 LS4 96 106 101,92 101,05 Pegasus 95 104 100 100 ASW19a,b 93 100 96,15 97,89 LS1f 91 100 96,15 95,79 LS1 (0,c,d) 88 98 94,23 92,63 Astir Jeans 86 94 90,38 90,53 K-6cr 76 86 82,69 80

Effectivement, il s'agissait d'un stage programmé dès le début d'année. Par contre pour l'ITP j'avais demandé Juillet 2003 également prévu en début d'année et ça a été annulé, il faut dire que je restais le seul, il y en avait un autre au départ qui a annulé. Je ne voudrais pas qu'on prenne mes remarques comme une critique contre l'organisation de ces stages, bien au contraire, mais ça en dit long sur le recul du nombre d'instructeurs formés. Dans une salle au CNVV il y a des photos des stages d'autrefois, c'était vraiment autre chose.

Il faut sans doute être programmateur pour comprendre le sens de cette phrase, moi en tout cas je ne comprends pas. D'ailleurs je n'ai jamais compris ce que voulaient dire les gens qui parlent d'"exporter".

Comme pour n'importe quel autre texte, on rajoute quelque chose en le tapant bêtement sur le clavier. Ceci dit suivant le type de fichier d'espace il y a des règles de syntaxe à respecter. Par exemple en format OpenAir une ligne de commentaire doit commencer par le caractère *, par # en format Tim Newport Peace, si ce n'est pas du commentaire en ce sens précis, c'est à dire quelque chose qui n'a aucune influence sur la description des zones, il y a d'autres règles, je renvoie aux descriptions des différents formats disponibles sur le net ( http://www.winpilot.com/UsersGuide/UserAirspace.asp, http://soaringweb.org/TP/sua.html) Moi non plus je ne suis pas programmateur, juste programmeur et encore, mais il n'y pas besoin de l'être pour modifier un fichier texte, il suffit de savoir taper sur un clavier, et il semble que tu saches le faire puisque tu causes dans ce forum Ceci dit pour ce que tu veux faire il me semble que point n'est besoin de SeeYou ou je ne sais quoi d'autre, je dois être capable d'écrire le programme qui fabrique les ordres à envoyer au traceur à partir du fichier d'espace aérien, si on me donne toutes les billes (codes de commande du traceur, calibration, projection utilisée, règle pour positionner les libellés comme les fréquences, noms de zones, classes, etc). Mais comme je n'ai pas de traceur je ne pourrais pas le tester et comme le programme sans bug n'est qu'une vue de l'esprit ...

Davantage. L'expérience montrant qu'avec une carte on se retrouve toujours sur la pliure, il faut un recouvrement généreux si on ne veut pas être embêté, disons d'une demi page verticalement et horizontalement, donc chaque quart de page figure dans 3 pages, donc il faut minumun 3 cartes. De plus le princial intérêt des copies couleur ou des scans, c'est de pouvoir y reporter plus ou moins automatiquement les zones, les fréquences, tout ce qui différencie une carte préparée d'un carte brute et de ne pas avoir à tout refaire quand il y a un changement ... et de pouvoir en faire profiter les copains.

Intéressant. On y lit : De 100 à 280 km/h, ça fait une différence de 180 km/h, soit 50 m/s. Pour accélérer de 50 m/s en 11 secondes, il faut une accélération minumum (si elle est constante, si elle ne l'est pas elle devra être supérieure au moins par moments) de 4,5 m/s², soit 0,46 g. Avec une trainée nulle, la pente minimum pour obtenir une telle accélération est de 28,5° ! Sur la même pente, une Porsche Turbo qui une poussée au lieu de la trainée fait certainement mieux ! Ceci dit ce récit fait plaisir à lire.

Curieux, lors de mon stage ITV en Juillet 2005 nous n'étions que 2, ça n'a pas empêché le stage d'avoir lieu.

Si je comprends bien la (nouvelle) réglementation, le planeur n'est pas concerné par la règle "semi-circulaire", puisqu'il n'est jamais en palier, mais néanmoins il est tenu d'exprimer sa position en QNH ou niveau de vol suivant son altitude. Le texte ne dit pas (ou je n'ai pas vu qu'il dit) que l'altimètre doit être calé de façon correspondante, ni dans quelle unité l'altitude doit être donnée.

Le lien le plus direct (image toute seule sans rien autour) : http://img443.imageshack.us/img443/2814/mcfrontiernb1sq0.jpg

Non, c'est le terme qu'utilisent les parapentiste français pour dire ça. Autant que je sache, soaring en anglais veut dire plané, to soar = planer, avec une nuance "montante" qui le distingue de "to glide", mais quand les anglophones parlent de vol de pente, il précisent "ridge soaring". Et il y avait dans ma lointaine jeunesse un projet de véhicule spatial effectuant sa rentrée atamosphérique en ricochets baptisé "dyna-soar". La traduction française la plus juste de "soaring" est dans doute "vol à voile" bien que le terme en français ne soit pas très heureux. A part le fait qu'il veuillent absolument utiliser des mots anglais à contre-sens pour désigner des choses qui ont un nom en français depuis longtemps, je n'ai rien contre les parapentistes, bien au contraire, d'ailleurs presque tous mes amis équatoriens sont parapentistes, et pour cause ...

Des gens qui se concentrent sur la conception et la production de planeurs performants et pas chers plutôt que sur le marketing, moi je trouve ça très convaincant. Le marketing au bout du compte c'est l'acheteur qui le paye.

Question projection les cartes IGN utilisent une projection Lambert, je ne sais pas ce qu'utilise SeeYou, ni les autres, si les auteurs des logiciels sont aussi flemmards que moi ils utilisent une projection Mercator, c'est plus simple. Pour ce qui est de modifier les fichiers des espaces aériens, ce sont des fichiers texte, donc n'importe quel éditeur de texte rudimentaire fait l'affaire, WordPad, SimpleText, ed, etc... Même une fois résolu le problème de projection, il reste un problème de calage sur le traceur, c'est le problème inverse de celui que résoud par exemple CouTraCi pour utiliser une carte scannée en demandant de rentrer les coordonnées (longitude/latitude) de certains points identifiés sur l'image scannée. Il faudra pouvoir donner la longitude/latitude de points identifiés sur le traceur, les 4 coins par exemple, et avoir un logiciel qui sait faire avec. Plutôt que de tracer sur la carte, moi j'aurais envie de la scanner par morceaux de taille A4 avec beaucoup de recouvrement et d'imprimer ensuite ces morceaux avec la surcharge espaces aériens pour en faire un cahier, c'est plus manipulable en vol qu'une carte à déplier/replier, ça évite de recourir à un traceur grand format et de racheter une carte chaque fois qu'il y a un changement d'espace aérien, il suffit de remplacer les feuilles qui ont changé dans le cahier.

A Beynes on le LS6 F-CIAO (immat obtenue sur demande).

Pour ce qui est de la chronologie, Linux est le dernier avatar du système Unix, je me souviens d'avoir fait ma première session Unix en 1979 aux USA lors d'une visite a mon oncle chercheur aux Bell Labs à cette époque, depuis son domicile en connexion téléphonique sur un ordinateur des Bell Labs, en utilisant un terminal à papier thermique Texas Silent, j'ai encore le papier quelque part. Pour un Unixien le véritable nom de DIeu est Ken Thomson, créateur du système et pilote privé par ailleurs. Une des raisons pour lesquelles Linux plante plutôt moins que les autres, c'est les Linuxiens, vu que c'est un système dons les sources sont publiques, quand il plante, parmi les Linuxiens à qui ça arrive, il y en a en général au moins un qui va regarder dans les sources pourquoi, qui trouve, publie sa correction qui est ensuite diffusée.