FRICOU

Merci pour l'apport qu'aura constituée la Netcoupe en termes d'animation sportive de notre communauté, d'émulation interclubs, d'apport et de partage de connaissances sur l'aérologie utilisable, les trajectoires pratiquées et la facilité offerte de suivi en ligne des "meilleurs d'entre nous". Par ailleurs, nous avons eu l'occasion d'échanger cet été avec Frédéric Launer et Frédéric Fuchs dans le cadre d'une petite étude utilisant la "mine de données" que représente la base des fichiers de vol. Je veux témoigner ici de la qualité de cet échange, de sa fluidité, de l'attention portée à notre demande et de la rapidité avec laquelle elle a été traitée. Merci donc à vous deux.

Il existe des indicateurs de vitesse enclenchée pour les motos (un capteur alimenté, des aimants, un afficheur). Pas bien cher, peut être à adapter au "levier de vitesse" planeur. Exemples : https://www.forumcbr125.com/viewtopic.php?t=2955 ou https://fr.aliexpress.com/item/1005003685718797.html?src=google

et merci.

Merci aux auteurs de ce travail. Suggestion pour faciliter l'exploitation club par club ou par zones géographiques : rajouter un champ "code OACI de l'aérodrome de départ" dans une colonne adjacente aux colonnes mentionnant les coordonnées de décollage.

Ayant un peu "trempé" dans le sujet à titre pro, voici un petit topo qui t'aidera j'espère à clarifier la question. C'est un peu long mais à peu près juste (aux cas particuliers près ... et évolution réglementaires récentes que j'ai perdu de vue). Trois questions à bien distinguer au plan administratif (référence législative et réglementaire en France, le code de la route) : les conditions de réception, les conditions d'immatriculation, les conditions de circulation. Grosso modo, voilà ce qu'il en est. 1 - La réception souvent appelée aussi "homologation" : c'est l'acte administratif par lequel l'autorité compétente (en France les DREAL en région, le centre national de réception de Véhicules à Montléry pour les opérations complexes) constate et valide la conformité du véhicule aux normes qui lui sont applicables (freinage, signalisation, éclairage, poids et dimensions, bruit, absorption des chocs, comportement dynamique ...). Le ministère compétent à ce stade est le ministère des transports. Cette réception peut être nationale ou européenne. Elle peut être prononcé pour un prototype ou pour un véhicule isolé, on parle alors de réception par type (pour les véhicules destinés à être produits en série) ou de réception à titre isolé dans les autres cas. Un constructeur qui produit en grande série présente ses prototypes au CNRV pour obtenir une réception par type et chaque véhicule produit én série est vendu avec un certificat de conformité au type réceptionné mentionnant le numéro dans la série du type de chaque véhicule. Quand un véhicule "isolé" est importé en France depuis un pays membre de l'UE, il passe en réception à titre isolé à la DREAL s'il n'a pas fait l'objet d'une réception européenne et ne dispose pas d'un certificat de conformité (COC). Dans le cas particulier, je comprends que ce véhicule n'est pas conforme à un proto ayant bénéficié d'une réception européenne. Donc il doit passer à la DREAL pour vérifier sa conformité au code de la route. Si ok il sera "réceptionné" ou "homologué". 2 - L'immatriculation : L'acte qui valide la réception est le procès verbal de réception à titre isolé délivré par la DREAL qui atteste de la conformité aux normes qui lui sont applicables. A partir du PV de réception, le véhicule doit disposer d'un titre l'autorisant à circuler et d'une immatriculation (quand la réglementation le requiert). L'autorité compétente devient le ministère de l'intérieur. Il y a encore quelques années on obtenait ce titre (la carte grise) au guichet de la préfecture qui recevait directement de la DREAL le PV de réception. La réforme des administrations territoriales de l'Etat est passé par là : suppression des services cartes grises dans les pref et création d'une Agence Nationale des Titres Sécurisés. En clair réforme des préfectures avec spécialisations de certaines d'entres elles par réglementation (les véhicules, les armes, les permis de conduire ...), suppression du contact guichet, et numérisation du service ... Donc en gros avec le PV de réception, de la patience, un peu de paperasse supplémentaire et un petit chèque de plus, on obtient si tout va bien un certificat d'immatriculation ... et l'on doit alors apposer la plaque correspondante qui donne le droit de circuler (point 3). 3 - les conditons de circulation : Chaque pays définit ses conditions de circulation (les vitesses à respecter, le bruit, les périodes jour/ nuit/jours féries ...). L'autorité compétente devient le service assurant la sécurité publique (police gendarmerie en France). La question du 100km/h relève de la réglementation allemande de la circulation. Rien à voir avec les conditions de réception (1) ou d'immatriculation (2). Sauf si un accord bilatéral a été passé sur ce point, par exemple au titre d'accords transfrontaliers, je ne pense pas qu'une DREAL ait compétence en France pour délivrer un tel certificat ou vignette. https://fr.humbaur.com/fr/a-savoir/reglementation-a-100-kmh/ Donc pour répondre à la question et pour résumer, selon les éléments exposés, je pense que : ce véhicule doit être réceptionné en France par la DREAL compétente, immatriculé via l'ANTS et obtenir s'il remplit les conditions ci-dessus de l'autorité de circulation allemande une vignette pour déroger à la régle générale allemande qui prévoit qu'un véhicule remorqué circule à 50 ou 80km/h selon les cas. PS : j'ai un dossier en cours de réception auprès de la DREAL Occitanie d'une remorque SPINDELBERGER, acheté (deuxième main) à un propriétaire suisse, réceptionnée initialement européen en allemagne et pour laquelle on demande une RTI afin dans le but de réduire la masse max (ex PTAC) et élargir ainsi le nombre de véhicules/conducteurs aptes à la tracter (la question sous jacente est celle des permis B/B96/E ... je ne détaille pas) . Dispo pour en discuter par téléphone si besoin de précision. Me contacter par mp le cas échéant. Topo un peu long sans doute ... désolé, mais la réglementation est un peu complexe.

L'étude accessible par ce lien permet d'appréhender le sujet d'un point de vue théorique. Une biblio détaillée est mentionnée. Le champ retenu par l'auteur pour la résolution numérique des équations de mécanique des fluides invoquées donne une bonne idée de l'enveloppe et de la forme/profil de la masse d'air perturbée (figures 7 et suivantes). Peut être utile pour approcher l'impact d'un projet de parc sur l'alimentation des pentes avoisinantes.

J'avais noté ça en changeant de smartphone il y a quelques semaines. Explication ci-dessous. En résumé, je comprends que le(s) développeur(s) historique(s) a(ont) "lâché l'affaire" et qu'un "repreneur" la fait repartir sous une version suffixée "JET". https://apkpure.com/xcsoar-jet/com.zinuzoid.xcsoar_jet#google_vignette

Bonjour, sujet majeur en effet et qui va bien au delà du cas des parcs et réserves, nationaux ou régionaux : enjeux biodiversité vs impacts (réels) du vol en planeur qui reste à objectiver (je n'ai jamais eu l'impression de stresser ou menacer outre mesure les rapaces avec lesquels nous partageons les pompes cévenoles ... ce serait même plutôt l'inverse). Voir par exemple la question des PNA qui monte en puissance (PNA = plan national d'action (pour protéger les espèces menacés)) : https://www.stac.aviation-civile.gouv.fr/fr/zsm. Les plans nationaux d'action ont une portée générale et se déploient ou sont susceptibles d'être déployés en tout point du territoire national. La défense de nos interets ne peut s'envisager en la matière que de manière coordonnée par le niveau national (FFVP), en y impliquant en bon ordre les niveaux régionaux (comité régionaux) pour négocier les conditions locales (couloirs, passages, périodes d'autorisation ...) et les clubs au niveau infra pour faire de la pédagogie auprès des pilotes, participer aux évaluations environnementales locales en se faisant connaître et reconnaitre et veiller, club par club au respect des éventuels engagements qui ont été ou seront pris. Sans doute aussi des actions à développer en partenariat avec la FFVL qui se confronte aux mêmes enjeux avec juste une légère différence d'échelle. Pas simple tout ça et coup de chapeau à ceux qui mouillent ou mouilleront la chemise sur ce genre de sujet ... quelle que soit leur liste d'appartenance dans le cadre de la présente élection. Cordialement, PhF (retraité DREAL/Dir des Risques Industriels)

Merci aux lecteurs et contributeurs en réponse à ce post qui, ce faisant, marquent leur intérêt pour un sujet qui le mérite car au coeur des politiques publiques de l'Etat, de ses opérateurs et de nos collectivités territoriales, qu'il s'agisse d'aménagement, d'économie régionale, de sport, de transport ou encore d'intervention financière. Autant de sujets clés pour la pérennité et le développement du vol en planeur. D'où les précautions dont il doit faire l'objet sur le fond et sur la forme. Sur le fond, il s'agit évidemment, comme certains l'ont souligné, de conduire des évaluations cohérentes, techniquement justifiables, transposables et surtout transparentes et partagées. Agir ensemble ou placer les clubs au coeur du projet, pour les listes en lice, c'est se départir rapidement, dès leur élection, d'une posture consistant, de manière très critiquable à "distribuer les bons points" rouges, verts ou jaunes. C'est enfin afficher des objectifs de décarbonation qui auront été évalués en terme de faisabilité et d'impact sur l'activité et convenir d'indicateurs en les plaçant au bon niveau (au niveau de chaque club, au niveau régional, au niveau fédéral ???). En effet, une fois qu'on a affiché un objectif, les partenaires s'attendent en général à ce que l'on en rende compte. Tout ceci est donc ni trivial, ni sans conséquences. Sur la forme, une fois cet épisode passé, il s'agira de bien réfléchir aux interférences d'affichage entre le niveau fédéral et ses satellites et les clubs, qui doivent rester maîtres ce qu'ils publient ou de ce qui est publié pour leur compte. Aujourd'hui à la retraite, je peux témoigner en tant qu'ancien fonctionnaire d'une administration déconcentrée de l'Etat, que ce genre de sujet faisait l'objet d'une très grande attention en termes de communication. "Ensemble pour agir" a rapidement pris position avec bon sens et j'en remercie Jean-Pierre. Pour ma part, je m'en tiendrai là, rien à rajouter désormais, sinon vous inviter à vous déplacer nombreux pour venir voler dans nos clubs. Pour les plus vertueux qui se déplacent en voiture électrique ou et les chanceux utilisateurs des Front Electric Sustainer notez au passage que l'électricité française reste encore carbonée à hauteur de 60g de CO2 par kWh. Décidément, on n'est jamais parfait !!! et comme disait le Grand Georges : "Mourrons pour des idées ... d'accord ... mais de mort lente"

Bonjour, Depuis quelques mois, la page d'accueil de GESASSO s'est "enrichie" d'une "jauge tricolore d'émission de gaz à effet de serre". Bingo ... au Pic on est dans le rouge avec une contribution majoritaire des déplacements de nos adhérents à cette belle performance environnementale. Zéro discussion sur la pertinence de cet affichage, sur son impact, sur notre adhésion aux objectifs, sur notre capacité technique à revenir dans le vert. Zéro réponse à notre courrier demandant sa suppression. Zéro prise en compte des efforts consentis ces dernières années, sur fonds propre et sans aucune subvention pour améliorer notre bilan carbone et notre intégration environnementale : achat d'un ULM remorqueur avec un objectif de substitution de 200h avion par an, achat de deux golfettes électriques, optimisation des trajectoire de remorquage pour réduire les nuisances sonores ... Présenté au départ comme un outil de gestion de l'activité, de la formation, des pilotes et du matériel des clubs, cette évolution de l'outil appelle à mon sens quelques remarques que j'ai essayé de synthétiser ci-dessous. Ainsi j'ai repris : - en vert le texte publié par la FFVP sur GESASSO en commentaire des "jauges GES" ; - en bleu les remarques, observations, questions qu'appelle à mon sens cette publication. J'espère que Dynamique 2028, qui met les clubs au coeur de son projet, saura s'en saisir et corriger cet affichage délétère. « La société humaine est aujourd’hui confrontée à un double défi, énergétique et climatique. D’un côté, les ressources énergétiques (et minières) s’épuisent, ce qui va rendre extrêmement vulnérables, dans un avenir probablement rapproché, les activités ou entreprises qui en sont les plus dépendantes. » [ndlr : certes, mais le lent déclin que m’apparait subir notre activité devrait nous conduire à focaliser notre attention sur des facteurs de vulnérabilité bien plus prioritaires : la complexité de la formation initiale ; le poids croissant de la gestion des clubs, de l’administratif et des réglementations ; notre pyramide des âges … par ailleurs, ces éléments de langage n’ont pas à mon sens nécessairement leur place ici, dans une application dédiée à la gestion des clubs] « De l’autre, il est aujourd’hui prouvé que nos émissions de gaz à effet de serre (GES) sont en grande partie responsables des changements climatiques en cours et que nous observons au cours de nos vols parce qu'ils modulent non seulement les conditions aérologiques, mais aussi les paysages (glaciers alpins, sécheresses/inondations). Évolution qui risque de s’aggraver si rien n’est fait. » [ndlr : soit et même remarque quant à la pertinence de relayer ici ces éléments de langage, martelés par ailleurs à longueur de journée par la sphère politico-médiatique.] « Aujourd’hui, le plus grand consensus scientifique au monde alerte sur les conséquences de cette perturbation du climat. D’après les experts, une réduction la plus rapide possible de 50% des émissions mondiales de GES est indispensable pour contenir la dérive climatique et ses effets. Cela suppose une division des émissions de GES par 5 dans les pays développés comme le nôtre. Cet objectif est inscrit dans la loi de programme du 13 juillet 2005 fixant les orientations de la politique énergétique de la France : c'est la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC). » [même remarque étant précisé que la SNBC a été révisée au moins deux fois, notamment suite à la loi de transition énergétique de 2015. Pour le secteur des transports, les objectifs de réduction de GES sont de - 28 % entre 2015 et 2023 et la décarbonation complète en 2050 à l’exception du transport aérien domestique.] « La FFVP se veut proactive sur ce sujet et nous sommes la première fédération française à avoir calculé les émissions générées par notre activité en 2021. » [J’avoue ne pas comprendre un tel zèle compte tenu de ce que nous pesons dans les émissions de GES … sans doute un interêt stratégique dont la pertinence m’échappe] Le plan mis en place dans la foulée par notre fédération vise à suivre la SNBC [question : la FFVP a-t-elle évalué l’impact d’un tel objectif sur l’activité ? Sommes nous réellement en capacité de réduire de -28 % nos émissions entre 2015 et 2030 puis d’atteindre la décarbonation en 2050 ? J’en doute … et le cas échéant, si cette évaluation existe, le minimum serait de la publier] « Pour y parvenir, il est indispensable qu’une très large majorité d’entre vous, clubs, licenciés, pilotes, dirigeants, instructeurs... adhère à cet objectif commun. » [Je ne suis pas un rebelle et veux bien adhérer à des objectifs mais un objectif n’est pas une simple orientation. Un objectif est un but que l’on se fixe une fois acquise la conviction qu’il est raisonnablement atteignable moyennant quelques efforts à consentir. Je voudrais être donc sûr de la faisabilité technique et disposer d’une évaluation à peu près réaliste de l’impact sur l’activité des clubs et en particulier de mon club] C’est une question d’efficacité économique et de pérennité pour notre activité : réduction de notre vulnérabilité face au renchérissement inéluctable du coût des énergies fossiles (montée du prix des matières premières et taxe carbone) ; réponse aux attentes ou demandes de nos licenciés et pouvoirs publics ; mais c’est aussi et surtout un véritable engagement citoyen et même un devoir de solidarité avec les générations futures, que l’on retrouve à la base de la définition du développement durable » Il ne s’agit évidemment pas de culpabiliser mais d’agir ! [ Loupé en ce qui me concerne !!! : la publication de jauges d’émissions de GES en page d’accueil de GESASSO, en utilisant des couleurs (vert, orange, rouge) symboliquement connotées, est une réelle stigmatisation pour les clubs qui se retrouvent affichés en rouge et qui ont consenti ces dernières années de gros efforts environnementaux, sur fonds propres, sans aucune subvention. Nous avons demandé sans succès à ce jour à la FFVP de retirer cet affichage potentiellement délétère pour nos relations avec nos partenaires publics. Appel du pied à Dynamique 2028 qui met les clubs « au coeur de son projet » pour supprimer rapidement cet affichage). Ok pour participer à des évaluations d’émissions à conditions de disposer des hypothèses et régles de calcul. Pas d’accord à ce stade pour afficher une jauge qui se retournera forcément contre les clubs affichés en zone rouge.] Cordialement Philippe Fricou / Instructeur, remorqueur, CLEA, RGS, CVVM

Bonjour Vincent, A toutes fins utiles, Photo d'un "préau planeur" prise lors d'une visite à Franconia Soaring Association dans les White Mountains (Nord Est USA). Le climat est plutot rude dans le quartier, et l'état de surface du planeur ainsi "abrité" n'était franchement pas terrible. https://drive.google.com/file/d/1_iqrupdmVGokE6FG1voSzzGwnV0eputH/view?usp=share_link Des abris planeurs individuels en forme de T juxtaposés, montés tête-bêche, fermés, vus sur sur la plateforme de Séminole Lake Glider Port à l'ouest d'Orlando en Floride. Je n'ai pas de photos mais ils peuvent peut être t'en faire passer. Bonne réception.

Bravo pour cet outil qui facilite bien le décodage. Simple suggestion : distinguer par exemple par un code couleur les zones "actives" des zones "activables par notam". Si je prends le cas de la ZRT Florac activable par notam par exemple, elle apparait avec la même couleur qu'Aubrac qui est active en permanence du 16/9 au 6/10. Je me suis peut être loupé mais je n'ai pas trouvé le notam d'activation de ZRT Florac qui aurait dû être publié hier pour une activation le 16/9. Merci en tous cas pour le boulot ...

Evidemment qu'on a été consultés sur la réalité de notre activité, sur la vraisemblance du scénario à sa conception ... Lors de la réalisation on a posé toutes les limites au plan sécurité, exploitation .. On a mis à disposition diverses ressources : locaux, matériels, savoir-faire, figurants ... mais la réalité n'est pas la fiction et c'est bien d'une fiction qu'il s'agit. Comme dans toutes les productions cinématographiques la fiction s'éloigne, plus ou moins, de la réalité. Moi j'ai plus de 60 ans et je vais aller voir Top Gun Maverick plus de 30 ans après avoir vu le premier "épisode". Je me fous pas mal de savoir si c'est exactement la réalité que ça reflète et je me réjouis même pour tout dire de sortir de la réalité pendant deux heures. Je remercie enfin tous ceux qui dans le club ont apporté leur pierre à la réalisation de ce projet qui, je l'espère, suscitera plus d'envies de nous rejoindre que de zapper sur une autre chaine au moment de sa diffusion. Sachons saisir toutes les occasions de promouvoir notre belle activité qui à la fois le mérite et en a bien besoin. Bons vols EV ...

Un épisode de la série policière "Tandem" a été tourné au Pic en juillet 2021. Il sera normalement diffusé le 7 juin 2022 et a pour titre "Dernier vol". https://tv-programme.com/tandem_serie/s06e06-dernier-vol_e836048 Quelques infos et images de ce tournage prises dans les coulisses sur le forum du club https://forums.cvvm.fr/viewtopic.php?t=9341 à quelques semaines de sa diffusion.

Vérifié pour le Pic. Le document publié dans le post précédent est une version projet de 2007, validée le 31 mars 2008, annulée et remplacée le 1er mai 2014 par le document suivant, actuellement en vigueur : https://www.dropbox.com/s/uv3u7uhf7jbooy3/Protocole TMA FJR Mai 2014.pdf?dl=0 . Bonne continuité entre les deux versions.