www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

jambeau

Membres
  • Compteur de contenus

    266
  • Inscription

  • Dernière visite

À propos de jambeau

  • Date de naissance 10/01/1932

Contact Methods

Profile Information

  • Genre
    Homme
  • Localisation
    Fayence
  • Intérêt(s)
    > les avions et planeurs oldtimer, les planeurs biplace grandes plumes et la photo, aérienne de préférence

Profil pilote

  • NetCoupeur
    Non
  • Badge FAI
    Badge 3 Diamants
  • Région de vol
    Fayence
  • Instructeur
    Non
  • Voltige
    Non
  • Planeurs préférés
    ASH 25

Visiteurs récents du profil

2 028 visualisations du profil
  1. En ce qui me concerne sans vouloir donner aucune leçon ma raison d’utiliser les pleins volets se justifie par la nécessité de connaître parfaitement la machine afin utiliser au mieux ses extraordinaires performances permettant des atterrissages courts indispensables pour les champs vachables en montagne. Effectivement en plaine la nécessité n’est pas la même vue leurs dimensions en général. Donc contrôle régulier par un instructeur de ta capacité à te poser sur des distances précisément courtes, ce que l’ASH 25 permet avec les full landing.
  2. L’ASH 25, toutes versions confondues, est une grande plume extraordinaire à nul autre pareil qui a pour moi une longue histoire vécue durant des années mais dont je ne voudrais pas passer sous silence ce REC perso qui pourrait être utile ne serait-ce qu’une seule fois. Les faits : Volant régulièrement sur cette machine où je me trouve à l’étroit en place avant, je fais appel à un instructeur expérimenté pour me familiariser avec un vol en place arrière et m’assurer ainsi de cette nouvelle position. Donc vol local classique mais par vent fort d’au moins 50km/h pour un atterrissage en piste 28 à Fayence. Base très rapprochée adaptée au grand vent à une vitesse d’environ 120 km/h et courte finale avec tous les volets sortis. Je me sens un peu court et rentre les aérofreins . . . mais rien ou presque ne se passe jusqu’à voir arriver très près la clôture basse du terrain que je saute de justesse en tirant un peu sur le manche et finalement effectuer un atterrissage hyper court. Je ne me sens pas du tout satisfait pour ne pas dire mal à l’aise. Aucun commentaire de l Instructeur et je n’en dis pas mot. Merci à mes anges gardiens mais je ne me rendrai vraiment compte que plus tard, après mes recherches, des conséquences que cela aurait pu avoir. En effet j’ai constaté durant quelques années dans notre région les faits suivants : 1- Un ASH 25 se crash en touchant une ligne téléphonique en entrée de champ et détruit une aile. (Pilote très expérimenté) 2- Un ASH 25 se crash avant le terrain et la piste d’un aérodrome de montagne et casse une aile. (Pilote avec co pilote très expérimenté) 3- Un ASH 25 se crash avant le terrain et la piste d’un aérodrome de plaine et casse les deux ailes. (Pilote expérimenté) 4- Mon vol ASH 25 : crash évité hors du terrain et de la piste d’un aérodrome avec instructeur très expérimenté. Cela fait quand même beaucoup ! ! Donc je me suis longtemps posé la question Pourquoi ? Toujours les mêmes circonstances en découvrant par les analyses que 4 ASH25 cassés sur 5 l’ont été à l’atterrissage sur des aérodromes. Quelle peut être la cause d’une telle similitude d’accidents avec pourtant à bord des pilotes tous expérimentés ! A bien éplucher le manuel de vol je n’ai relevé à ce sujet que cette ligne fort discrète : NE SORTIR TOUS LES VOLETS QUE SI VOUS CERTAIN D’AVOIR LA PISTE. En effet quand vous étudiez la cinématique des commandes des pleins volets vous constatez que l’ensemble de l’aile se déforme fortement tout relevant les ailerons pour donner, vue de face, un aspect d’aile de mouette creusée au milieu et relevée aux extrémités. C’est top pour avoir une vitesse d’atterrissage faible et surtout un taux de chute fort dû à une traînée considérable mais en toute sécurité . Merci monsieur H de la maison À.Schleicher qui a su réaliser une telle performance pour cette magnifique machine. Mais j’ai constaté aussi : Dans le cas d’une approche tout sorti, les aérofreins deviennent peu efficaces comparés à la forte traînée générée par les pleins volets et sans commune mesure avec ce que l’on pourrait en attendre pour modifier la trajectoire de la courte finale. Rentrer classiquement les aérofreins est une manœuvre insuffisante pour espérer modifier la trajectoire finale car il est trop tard compte tenu de la configuration figée de l’aile de l’ASH 25 qui ne pourrait être modifiée en enlevant un cran qu’avec une perte de hauteur sensiblement forte et le temps nécessaire à établir les nouveaux écoulements aérodynamiques. Mais cela n’est que le résultat de mon analyse n’ayant à ma connaissance ni entendu ou ni lu quoi que ce soit à ce sujet.
  3. son commentaire : Conditions exceptionnelles. Très turbulent en sous-ondulatoire dans tous les massifs. Merci à Nice, Milan, Marseille, Provence, Montpellier et Orange ctrl. le mien : en somme machine à laver en dessous et sèche-linge au dessus !
  4. Le monde de l’aéronautique a encore de beaux jours devant lui et les constructeurs l’ont bien compris quand on additionne les commandes en carnets. Empreinte carbone ou pas, la caravane passe et heureusement car le bourrage médiatique n’est pas perçu par tout le monde de la même façon. Pour seul exemple si vous comparez la production de CO2 de tout le trafic aérien à celui de la respiration humaine mondiale vous constaterez qu’il en est bien inférieur. . . Rien que ça ! Alors ? Alors ? Donc si on veut être cohérent avec ce que l’on raconte et prédit, il faudrait, pour réduire cette fameuse empreinte supposée, commencer aussi par ne respirer qu’une fois sur deux et c’est faisable sans coût supplémentaire. J’ai essayé et on peut y arriver à condition de ne pas trop cogiter et encore moins de courir. Résultat 50% de gagné. Sans parler des animaux et autres organisme vivants. Seul sport praticable : l’apnée et donc plus de jeux olympiques ni de Tour de France avec par contre l’embauche de prof de plongée en nombre. Mais vous n’êtes pas obligé de me croire.
  5. C’est moche avec un CX déplorable. Je serais curieux de voir les résultats en soufflerie !
  6. Cela fait aussi des photos exceptionnelles
  7. Effectivement cela n’a aucun sens ni d’intérêt sauf pour celui qui signe son vol. donc Bof . .Bof . . ! Tant mieux s’ils se sont fait plaisir. se souvenir de ce genre de vol aux Alpilles de Provence où des socles de projecteurs existent encore pour voler de nuit pat temps de Mistral et battre des records de durée qui n’ont pas duré tant ils ont été considérés sans intérêt comme noté ci dessous Records de duréeLa FAI n'homologuant plus ce type de record, le dernier homologué est celui battu par Jacques Lebeau et Claude Fronteau du 30 décembre 1953 au premier janvier 1954 , avec 56 h 11 min, lui aussi à Romanin-les-Alpilles, sur un planeur Castel-Mauboussin CM7 N° 2. no comment
  8. En juin dernier Jim Payne, pilote du Perlan mais sur son Nixus, pulvérise à Minden, le long de la Sierra Nevada, le record de vitesse en planeur avec une moyenne de 239 km/h Deja Juan Pablo Verdura, pilote argentin, avait parcouru en mars 2022 sur les Andes la distance de 1774 km la tête dans le guidon à 222 km/h . . Ca décoiffe | voici un aperçu de ce vol extrait de « WeGlide.org » Incroyable ! c’est à dire des vols utilisant les ondes orographiques entre les niveaux 200 et 300 pratiquement sans spiraler en frôlant la VNE avec le risque de rencontrer un cisaillement de vent pouvant exploser la machine. Si j’ai bon souvenir en 1995 Gérard Lherm avait ainsi explosé le sien en Nouvelle Zélande pour se retrouver accroché aux suspentes de son parachute. Ouhaouu ! voici un extrait de « aerovfr.com »
  9. Voir le compte rendu de son vol extrait de : Magazine.weglide.org très interessant. Baptiste Innocent l'a encore fait. Voler des Alpes françaises vers la Corse et la Sardaigne. Nous étions intéressés d'entendre ce qu'il avait à partager avec nous par la suite. Joshua Rieger · 04/05/2023
  10. Et un maillon de plus aujourd’hui 25 avril que je présumais un peu car je l’ai entendu décoller ce matin avant le lever du jour . Je reconnais bien le bruit de son ASH31. Encore un super vol original de 1400 Km dans cette zone très particulière Corse Continent.. Bravo Baptise Quelle maîtrise !
  11. Je suppute que notre champion Baptise Innocent lorgne sur ce projet de traversée de la Méditerranée en planeur comme l’avait fait Roland Garros il y a une centaine d’années en 1913 avec son monomoteur Morane G3.Vieux rêve que, dans les années 90, mijotait déjà Fédérico Blatter, coach de l’équipe suisse de vol à voile et qui l’envisageait avec son Nimbus3M. En effet il m’avait chargé d’activer, auprès du contrôle de Nice, son plan de vol Fayence-Bizerte s’il jugeait les conditions de vol d’onde favorables au dessus de point de départ de Fayence, ce qui ne s’est jamais produit. Les prévisions MTO n’avaient d’ailleurs rien à voir avec celles d’aujourd’hui. J’imagine la tête du dépanneur chargé du rapatriement de l’oiseau après un appel ne serait-ce que de . . . Solenzara ou Cagliari ! Depuis la triste disparition de Federico, le projet est resté dans le cloud jusqu’à ce que le récent vol de Baptiste, au Sud Sardaigne, en mars dernier ressemble bien à une prospection dans ce sens, mais cela n’engage que moi. (On y note une altitude de près de 5000m au centre Sardaigne, insuffisante) Voici ce vol de 1134km en Stemme Pour le plan B vers Bizerte il est nécessaire en Sud Sardaigne d’y exploiter un ressaut d’onde de 6000m pour franchir le grand pas vers la Tunisie. . . rien que ça ! ! . . . 230 km séparent Cagliari de Bizerte et nécessitent un potentiel d’altitude de minimum 5000 m pour les franchir à finesse 50, ce que le Stemme peut offrir. (C’est autant que le passage Frejus - Corse) Donc 6000m à Cagliari est jouable en espérant un bonus de vent arrière favorable et fort possible au départ de la Sardaigne. Dans la négative le plan A assure le retour vers la Corse et l’Italie du Nord déjà pratiqué par Baptiste. C’est déjà une .magnifique performance. A surveiller ce grand champion qu’est Baptise, fort capable de réaliser ce record et entrer ainsi dans la légende des pionniers comme l’avait fait Roland Garros en septembre 1913 en reliant Frejus à Bizerte en. . . . 13h30 de vol sur son Morane G3 avec . . .5 litres de carburant seulement dans le réservoir et pas de filet. Ouhaaoou ! A noter l’extraordinaire performance au dessus de l’Espagne des frères Herbaud qui avaient déjà réalisé l’exploit de relier Vinon à Fez au Maroc par ce vol de 1383km en avril 1992 avec un ASH25 survolant la Méditerranée entre Malaga et Tetuan
  12. Extrait de la Revue Vol à Voile du 6 avril 2023 Si Klaus Ohlmann a régulièrement affirmé qu’un vol de 2000 kilomètres était possible en Europe, après des paroles toujours plus faciles, voilà un premier acte. Le dimanche 2 avril au petit matin, Klaus décolle aux commandes de son Antares 20m électrique depuis l’aérodrome de Serres-La Bâtie pour un circuit triangulaire déclaré de 1262km, avec deux points de virage dans les Pyrénées. Comme rapidement il doit se rendre à l’évidence que son premier point de virage est encore sous la pluie et les nuages, il passe alors au « plan B », un vol avec trois points de virage dans les Pyrénées. Aussi, après avoir pris le cap au sud, il passe par Vialas, puis à l’ouest de Besiers et enfin La Llagonne pour ce qui sera un premier aller-retour sur son point le plus à l’ouest (au Nord du Santa Cruz – 596 m). En effet, arrivant déjà vers midi sur le troisième point de virage de son « plan B » en bord de Méditerranée au sud du El Peni (607m) et à 5700 mètres d’altitude, il hésite entre rentrer à Serres ou alors essayer de dépasser la barre des 2000km en Europe, ce en refaisant un aller-retour sur son point le plus à l’ouest. Quand on connait l’homme, la décision est vite prise surtout qu’il connait les excellentes conditions sur le parcours de cet aller-retour qu’il termine à l’est à plus de 5000 mètres près du Puig de l’Aliga (527 m) avant un dernier point à l’ouest (au nord de Serradet de les Comes – 1377 m) pour finalement terminer son vol sur l’aérodrome de La Cardanya et s’y poser après 12 heures 47 de vol et 2013,79 kilomètres parcourus à une vitesse moyenne de 157.49 km/h. Dans sa quête de performance, on peut être certain que l’on n’en a pas terminé avec ses exploits. Encore Bravo Klaus https: Incroyable et magnifique et en solo. Quelle énergie et quelle pugnacité ! Bravo Klaus.
×
×
  • Créer...