pilouch Posté(e) le 16 avril 2013 Signaler Posté(e) le 16 avril 2013 d'accord pour les Alpes du Sud mais rajoute le lancement au treuil sinon ça te coutera un bras !ensuite evite les "usines" genre 4/5 biplaces sous-entendant 2 a 4 fois plus d'instructeurs ,avecun peu de "chance" tu voleras avec tous !privilégie le K13 comme biplace école c'est celui qui permet la progression la plus rapide (sain,facile)et la plus exhaustive (permet a la fois les circuits et les mises en garde a l'autorotation réglementairement ) après question d'affinités essaie un contact direct avec le chef pilote et le président pour "sentir" le clubcar géneralement aprés le brevet on rechigne a changer de club alors autant choisir le bon(a ton avis)bons vols...............en K13 !!! Citer
Apprenti Posté(e) le 6 décembre 2013 Auteur Signaler Posté(e) le 6 décembre 2013 (modifié) J'ai découvert le SF25 cet été en France, et c'est ce qu'il me faut. Un hasard, je voulais faire un tour de planeur, mais il n'y avait pas de remorqueur ce jour là dans le petit club que j'ai visité.Même en hiver par belles journées on peut faire du vol de pente, et on n'a pas besoin d'un environnement club. Ca me suffit amplement, je n'ai pas besoin de faire de la performance, réussir à faire un peu de vol de pente suffit à me faire rentrer heureux au terrain, ce qui me permet de voler régulièrement même en hiver.Je suis étonné que le motoplaneur ait si peu d'adeptes. Modifié le 6 décembre 2013 par Apprenti Citer
jme Posté(e) le 6 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 6 décembre 2013 (modifié) A Temploux (aérodrome de Namur) un des clubs possède un SF25 qui vole presque toute l'année.Pour le beau temps pendant l'hiver, voir les destinations : sud-est de la France, Italie, Espagne, ou plus exotiques Afrique du Sud, Argentine, Australie, NZ. Google ? Modifié le 6 décembre 2013 par jme Citer
pgv Posté(e) le 12 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 12 décembre 2013 Un club avec treuil, c'est l'assurance de décoller pour quelques euros (entre 5 et 8 euros).Le remorqueur est le point bloquant, en formation, pour le coût qu'il représente. Citer
Thierry Posté(e) le 12 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 12 décembre 2013 Voir jusqu'a 12-15 Euros au treuil dans le sud-est qui comprend les alpes du nordLe motoplaneur, prend de la place dans le hangar, et est bon en rien , mais fait un peu tout... Citer Ils ne savaient pas que c'était impossible, ils l'ont fait.....
EchoVictor Posté(e) le 12 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 12 décembre 2013 Le motoplaneur, ... et est bon en rien ,... 30 de finesse, croisière à 180 km/h 10h d'autonomie, c'est bon en rien ça ???Bon, d'accord, c'est pas un SF25 Eric Citer Un pigeon, c'est plus con qu'un dauphin, d'accord... mais ça vole... (Audiard)http://www.touraine-planeur.org
Neulat 31 Posté(e) le 12 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 12 décembre 2013 (modifié) Bonjour,J'ai commencé en 1969... depuis le vol à voile n'a pas trop changé, structure club => bénévolat de tous => Entraide, participation.Un vol à voile commercial a forcément des couts supérieurs, des risquesfinanciers importants : risque de ne plus pouvoir payer les instructeurs, ou les charges d'entretien (machines, locaux).La structure club et le bénévolat sont un plus indéniable.Chez "nous" à la Montagne noire, il y en a des membres qui sont dispo en semaine, d'autres le weekend. Le Max d'activité avec moniteurs à lieu surtout le weekend car ça correspond à la majorité des rythmes de travail de chacun.En semaine c'est surtout ceux qui travaillent hors rythme habituel, par exemple moi j'ai des repos en milieu de semaine et j'ai un weekend sur 2 de repos, il y a aussi les pilotes qui sont à la retraite, mais en semaine il y a aussi de l'instruction avec des élèves qui ont un contact rapproché avec leur instructeur, ils essaient de se donner RDV.Beaucoup de nos instructeurs essayent de monter des stages en saison, pour differents objectifs : instruction de base, perfectionnement, campagne, montagne (St Crépin, Jaca), etc..Finalement pour une personne particulière, rien n'est sans doute jamais parfait, il est nécessaire que tout le monde essaie d'y mettre du sien. En France, on a encore la chance de pouvoir fonctionner en club, avec du bénévolat. Mais le bénévolat du mécano, des instructeurs, des remorqueurs, de ceux qui refont la cantine ou l'entoilage, ou encore.. engendre focément que chacun y mette du sien si on souhaite un vol à voile accessible à tous, et ne pas exiger du bénévolat plus qu'il ne peut donner.Chacun de nous, en bossant pour le club bénévolement pendant les jours non volables permet de faire avancer le club et de conserver des tarifs accessibles.Enfin si il faut aussi regarder le parc machines : à la Montagne noire par exemple ont dispose en club d'un quinzaine de machines pour voler. Bon il n'y a pas toutes les ferrari du vol à voile mais ça nous permet largement de faire de l'école ou le vol à voile de chacun sans problème, rarement on est coincé par le nombre de planeurs. Finalement, le vol à voile,nécessite d'avoir envie de voler et de se donner les moyens de le faire :là ce n'est pas forcément une question d'argent:il est nécéssaire d' arriver suffisament tôt pour mettre en piste et être disponible, voler régulièrement (pas une fois par mois...), et si on n'est pas arrvé tôt on participera au moins à la rentrée des planeurs.Si on ne peut pas voler pour cause météo, il faut participer au fonctionnement du club, on y apprend beaucoup de choses utiles :-)Ecouter les anciens : ça m'a permit souvent de rentrer en fin de journée au lieu de se vacher bétement à 10 bornes du terrain. Accepter la différence des uns et des autres : souvent on a du mal à accepter l'autre, sa "manière d'être" , pourtant c'est sans doute celui qui va nous tenir l'aile le jour où il n'y a pas grand monde en piste ou a sortir la machine du fond du hangar. Le vol à voile n'est pas qu'une question de budget, mais c'est avant tout une question de mentalité et de motivation.Comme une auberge espagnole, on y trouve ce qu'on y apporte ou plutôt ce qu'on y sème. Modifié le 12 décembre 2013 par Neulat 31 Citer en piste !
TXII Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 Un club avec treuil, c'est l'assurance de décoller pour quelques euros (entre 5 et 8 euros).Le remorqueur est le point bloquant, en formation, pour le coût qu'il représente.Avec un ulm 20 euros le remorquer. Citer
Tatave Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 J'ai commencé en 1969... depuis le vol à voile n'a pas trop changé,structure club => bénévolat de tous => Entraide, participation.Les bras m'en tombent ! Quel optimisme ! certainement justifié dans certains endroits, mais à mon sens de plus en plus rares.(pour info, j'ai commencé le vol à voile encore 10 ans plus tôt). Avec un ulm 20 euros le remorquer.Dans l'état actuel de la réglementation, hélas, un pilote avion autorisé remorquage et titulaire d'une licence ULM, quelle que soit son expérience dans ces 2 catégories d'aéronefs, n'a pas le droit de remorquer en ULM sans passer par la case test, voire complément d'instruction-tiroir caisse, avec un instructeur ULM agréé à cet effet, personnage très difficile à trouver par ailleurs. C'est une entrave au développement de cette pratique. Citer
cboulenguez Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 Dans l'état actuel de la réglementation, hélas, un pilote avion autorisé remorquage et titulaire d'une licence ULM, quelle que soit son expérience dans ces 2 catégories d'aéronefs, n'a pas le droit de remorquer en ULM sans passer par la case test, voire complément d'instruction-tiroir caisse, avec un instructeur ULM agréé à cet effet, personnage très difficile à trouver par ailleurs. C'est une entrave au développement de cette pratique.Difficile de concilier des réglementations différentes et aussi des façons de penser légèrement opposées.La note fédérale déjà ancienne qui précise la possibilité de faire de l'instruction vol à voile en ULM est un sommet du genre : c'est peut être (et même certainement) une entrave au développement de la pratique, mais c'est surtout un monument d'humour involontaire. L'exégèse attentive révèle des sommets qui confinent à la farce. Personnellement, je suis heureux que le brain-trust de nos dirigeants (de l'époque) ait conduit à ce texte, preuve d'une hauteur d'esprit incomparable. Citer
Tatave Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 Et on peut le trouver où, ce monument de la pensée contemporaine, histoire de rigoler ? Citer
FrMz Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 Bonjour,J'ai commencé en 1969... depuis le vol à voile n'a pas trop changé, structure club => bénévolat de tous => Entraide, participation.Salut, Je fais du vol à voile depuis beaucoup moins longtemps que toi, mais je n'ai pas trop cette impression. Attention, c'est juste mon point de vue, et il s'applique sûrement plus aux "gros" clubs qu'aux petits. Je trouve que dans le vol à voile comme dans l'aviation en général, il y a un gros côté égo, à pratiquer une activité "hors normes". Ça a peut-être toujours été le cas, je ne sais pas, je suis trop jeune pour avoir le recul là dessus.u coup, d'autant que le club est gros, il va y avoir des gens qui vont chercher un poste "important", entre autres pour s'afficher. Bien sur, c'est pas la seule raison ! Il peut y avoir aussi une réelle passion pour la gestion, l'ennui de la retraite après une vie professionnelle plus active, etc. Toujours de mon point de vue, quand tous ces aspects prennent une part trop importante par rapport à la passion du vol à voile (qui était surement là à l'origine pour tout le monde), ça pourrit le système et c'est au final contre productif. L'exemple type, même si on est plus dans les clubs, c'est ce qui se passe en ce moment au niveau fédéral. Il y a une vraie guerre civile pour les postes de dirigeants, et au final je trouve pas ça productif ! Si la passion du vol à voile passait en premier, cette guerre n'aurait pas de raison d'être, les compétences des différents membres des "listes" seraient mises en communs pour aboutir au meilleur résultat final, chacun reconnaîtrait les compétences des autres, etc. Mais au niveau club comme fédéral, le statut de membre de l'équipe dirigeante est mis en valeur, et du coup ça attire les convoitises (le côté égo). Côté clubs, les structures grossissent, avec salariés dont la priorité n'est pas forcément développer le vol à voile, mais gagner leur croûte et rentrer à l'heure pour le dîner (ce qui est compréhensible aussi !).Par contre, ils ont pour la plupart probablement commencé ce taf par passion, et si c'est normal que ça évolue au fil du temps avec la part passion qui diminue (voir le nombre de salariés qui font plus de VaV pour eux), la structure qui emploie reste en statut asso. Je connais (hors planeur hélas) une association aéronautique moins importante, composée juste de passionnés, c'est impressionnant de voir ce qu'elle arrive à obtenir... Pas un salarié et pas de querelle interne, les objectifs passent encore en premier. Pour moi le vol à voile idéal, dans 10 ans, ça serait: 1) Arrêter les subventions publiques aux clubs (vous les payez tous aussi via vos impôts!), au global c'est forcément plus rentable. 2) La formation, par des écoles, plus des associations mais des entreprises. Peut-être un poil plus cher. Arrêter les subventions, ou la reconnaissance d'une structure au nombre de brevets qu'elle à fait (ça évite entre autre de viser à faire des brevets plutôt que faire de la formation)... 3) Une nouvelle forme de "club", qui soit plus axé sur une simple mise en commun de moyens. En gros, pas de machines club, la possibilité de déclarer sa machine de privé au parc, un remorqueur mis en commun, éventuellement un atelier, de l'outillage et un hangar. Pas de poste mis en valeur dans ces structures, de manière à ce que prendre des responsabilités engendre plus de contraintes que de reconnaissance / notoriété. Ça fait peut-être "égoïste", mais à mes yeux au final c'est beaucoup plus efficace, entre autre d'un point de vue financier.Aussi, un club où tu n'as que des privés, il faut avoir sa machine, c'est la garantie de n'avoir que des membres qui soient un minimum passionnés par le vol à voile. Citer
TXII Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 J'ai commencé en 1969... depuis le vol à voile n'a pas trop changé,structure club => bénévolat de tous => Entraide, participation.Les bras m'en tombent ! Quel optimisme ! certainement justifié dans certains endroits, mais à mon sens de plus en plus rares.(pour info, j'ai commencé le vol à voile encore 10 ans plus tôt). Avec un ulm 20 euros le remorquer.Dans l'état actuel de la réglementation, hélas, un pilote avion autorisé remorquage et titulaire d'une licence ULM, quelle que soit son expérience dans ces 2 catégories d'aéronefs, n'a pas le droit de remorquer en ULM sans passer par la case test, voire complément d'instruction-tiroir caisse, avec un instructeur ULM agréé à cet effet, personnage très difficile à trouver par ailleurs. C'est une entrave au développement de cette pratique.En lorraine nous avons cette instructeur ,il a déjà laché tous les pilotes de mon club. Citer
Renaud Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 C'est vrai qu'en termes de temps de formation (et donc de coût), c'est plus avantageux de devenir remorqueur ULM que remorqueur avion!Imaginons un pilote ab-initio, en avion il faudrait un PPL (35h en déduisant les 10h exp planeur) + 50hdv en CDB, y a pas photo!Les membres d'un club seront certainement plus fana de se faire former remorqueur ULM que treuillard... Citer Ce n'est qu'en essayant continuellement, que l'on finit par réussir. Ou, en d'autres termes : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche ...
Michel Klich Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 (modifié) Faisons simple!!Tu debutes et tu veux avoir une progression vers le laché puis + alors il faut choisir en 1er un club qui forme ! 1)1er critere : aller dans un club qui formeVoici 3 liens qui sont les classements des associations en fonction de nombreux parametresSaison 2012Saison 2011saison 2010Le classement en lui meme ne reflete pas grand chose au niveau de la formation. Il faut comptabiliser club par club la somme lachés+BPP (-25 et +25 ans)Pour la suite il faudra faire la moyenne sur les 3 années.Si le total laché +BPP >5 et <8, le club fait de la formation sans aucun doute.Une valeur sure. C'est en general des petits clubs qui marchent bien en formation et Ils sont dans cette fourchetteSi le total >10 : c'est un club qui forme et en general une "grosse structure". 2eme critereFonctionnement du club et ta disponnibilité.Il faut bien s'assurer que tes journées de repos soient en phase avec le fonctionnement du club. Certains clubs fonctionnement tres bien le week-end et jour fériés et peu pendant la semaine pendant la basse saison ( mars -mi-juin et debut septembre - fin d'automne).Certains Club en Provence et Alpes du Sud fonctionnent quasiment toute l'année. 3eme critereTon budget. Il faut demander au club qu'il te fasse "une estimation pour un objectif" comme par exemple le laché:Si tu as <40ans et des aptitudes à apprendre "normales" donc on peut caluler ainsi:-La cotisation club-la licence federale FFVV-40 remorqués ou 50 treuillées-15h de vols-Le carnet de vol-Le livre bleu pour apprendre la théorieSi tu as >60ans, et aussi des aptitudes normales pour apprendre, il n'y a pas de probleme, mais ça sera beaucoup plus long, c'est ainsi!!60 ans c'est environ >30H de vol et >60 remorqués ou >90 treuillées Entre 40 et 60 ans , c'est variable mais le temps de formation s'allonge inexorablement.C'est une constatation Qu'on soit laché à 15ans, à 25ans , à 40ans ou à 65 ans , c'est pareil. Cela veut dire que le niveau de competences requises a été atteint!! Clubs de Planeurs en France En esperant que cela vous aideraBons vols Modifié le 13 décembre 2013 par Michel Klich Citer site web ; Facebook ;
cboulenguez Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 (modifié) Et on peut le trouver où, ce monument de la pensée contemporaine, histoire de rigoler ?Pour autant que je m'en souvienne, c'est une note fédérale permanente (accessible aux responsables de club, sinon au vulgum pecus...).Je viens de vérifier, il y a un mot de passe (comme dit l'autre, "il est permis de rire de tout, mais pas avec n'importe qui"). Si je retrouve ma copie, je la publie (sans mot de passe !). Modifié le 13 décembre 2013 par cboulenguez Citer
astirman Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 (modifié) Où pratiquer?Croire d'avantage à la vertu bénévole qu'à la conscience professionnelle? Amis débutants, bien se référer au contrat que représentent le tarif et le planning annuel d'activité, ainsi que toutedécision particulière prise par le Conseil d’Administration quant à son application. Car une fois engagé, il sera difficile de faire savoir son mécontentement sans provoquer l’hostilité et la subir. Le contrat écrit sera utile en cas de pertes de mémoire ou de changements d'avis.Les petits clubs mourants, sans activité, sans dynamisme, sont à éviter pour débuter. Modifié le 13 décembre 2013 par astirman Citer
V17 Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 Les petits clubs mourants, sans activité, sans dynamisme, sont à éviter pour débuter. C'est pas avec de tels propos que les petits clubs vont redémarrer.... Citer Sylvain
pilouch Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 (modifié) "Les petits clubs mourants, sans activité, sans dynamisme, sont à éviter pour débuter". quand un groupe ,une organisation ,une entité sociologique en arrive à se balencer à la figure de tels propos ,mal rassasiée des maigres restes d'un passé plus riche et pas si lointain c'est que la fin est inéluctable Mr ASTIRMAN j'ai bien lr plaisir de ne pas vous saluer Modifié le 13 décembre 2013 par pilouch Citer
Monsieur bobote Posté(e) le 13 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 13 décembre 2013 sans cafter d'excellent club formateur et mixte (avion planeur) aux tarifs très raisonnable dans le sud ouestcerise sur le gâteaux hébergement pas cher en gite rural avec cependant caveat, centrage avant à surveiller à l'issue du stage. Citer Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
Godzilla Posté(e) le 14 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 14 décembre 2013 "Les petits clubs mourants, sans activité, sans dynamisme, sont à éviter pour débuter". quand un groupe ,une organisation ,une entité sociologique en arrive à se balencer à la figure de tels propos ,mal rassasiée des maigres restes d'un passé plus riche etpas si lointain c'est que la fin est inéluctable Mr ASTIRMAN j'ai bien lr plaisir de ne pas vous saluer TTT, il en faut pour tous goûts : laissons aux gros clubs le le soin de rédiger des contrats, contentons nous de voler ... Citer Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à se tromper qu'ils ont raison.
Bob Posté(e) le 14 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 14 décembre 2013 Dans mon petit club où je suis (pour l'instant) seul instructeur, mes 3 élèves semblent très contents d'avoir un suivi très très personnalisé... Citer
MikeLima Posté(e) le 14 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 14 décembre 2013 Le problème pour astirman, c'est que tu n'es pas mourant...Quand on mettra les c... sur orbite, il a pas fini de tourner (le pacha). Bon, faut l'excuser. Pour glorifier à ce point l'astir, ça démontre ses grandes compétences en vol à voile :speeeeed: Citer
Godzilla Posté(e) le 14 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 14 décembre 2013 Encore une réputation usurpée.L'Astir est un super planeur. Citer Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à se tromper qu'ils ont raison.
MikeLima Posté(e) le 15 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 15 décembre 2013 Tu parles de quel modèle? Citer
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