Fred Posté(e) le 27 novembre 2013 Signaler Posté(e) le 27 novembre 2013 L'armée Suisse réorganise son déploient sur son territoire : fermeture de l'aérodrome militaire de Sion http://www.tdg.ch/suisse/La-fermeture-de-l-aerodrome-militaire-de-Sion-est-confirmee/story/21266496 https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/aux-autorit%C3%A9s-comp%C3%A9tentes-annuler-la-d%C3%A9cision-concernant-l-a%C3%A9rodrome-de-sion Citer Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve
Thierry Posté(e) le 27 novembre 2013 Signaler Posté(e) le 27 novembre 2013 Est-ce que ça ne concerne que la partie militaire ou c'est tout l'aérodrome qui ferme???? Citer Ils ne savaient pas que c'était impossible, ils l'ont fait.....
Bert Posté(e) le 27 novembre 2013 Signaler Posté(e) le 27 novembre 2013 A priori cela ne concerne que les activités militaires. Mais comme c'est l'armée qui paye l'entretien de l'aérodrome, faudrait que la ville ou le canton mettent la main à la poche... Citer Bert
Tatave Posté(e) le 27 novembre 2013 Signaler Posté(e) le 27 novembre 2013 (modifié) Bon, il n'y a pas que l'Armée de l'Air française qui est en déflation ! Sur 12 bases dans le quart nord-est il y a moins de 30 ans, il en reste 4, si je ne me trompe pas.Exit pour les bases radars : Drachenbronn, Romilly et Contrexéville.Exit pour les bases avions : Strasbourg, Colmar, Toul, Metz (également état-major) et Reims.Beaucoup de suppression aussi dans les autres régions. Correction : après vérification, la BA de Drachenbronn existerait toujours, ce qui fait 5 bases restantes dans le nord-est. Ce qui me surprend dans l'article de la tribune de Genève, c'est le nombre de 300 avions de combat dans les années 90 ; ça parait énorme pour un pays de cette dimension. Ne s'agirait-il pas plutôt du nombre total d'aéronefs militaires (y compris école, transport, hélicos, etc) ? Modifié le 27 novembre 2013 par Tatave Citer
Bert Posté(e) le 27 novembre 2013 Signaler Posté(e) le 27 novembre 2013 Il y avait une centaine de F5 et une trentaine de F/A18 (pas à Sion, mais en Suisse). Citer Bert
YOP Posté(e) le 27 novembre 2013 Signaler Posté(e) le 27 novembre 2013 (modifié) Sion fermerait la partie base militaire permanente, qui représentai récemment 17% de l'activité nationale, tout en la gardant comme aérodrome de dégagement. Donc pour ce qui est de pouvoir s'y poser en planeur, on est encore tranquille bien des années. 300 avions c'était avec- hunter- vampire- venom- f-5 tiger- mirage 3 chasses et recos Modifié le 27 novembre 2013 par YOP Citer Daniel Rossier, RD, GVV Yverdon (Suisse) ... et le véritable Gruyère n'a pas de trous
Fred Posté(e) le 27 novembre 2013 Auteur Signaler Posté(e) le 27 novembre 2013 Sion fermerait la partie base militaire permanente, qui représentai récemment 17% de l'activité nationale, tout en la gardant comme aérodrome de dégagement. Donc pour ce qui est de pouvoir s'y poser en planeur, on est encore tranquille bien des années. Merci .... réponse claire .... j'ai donc toujours la possibilité de m'y vacher un jour ... ouf ! ;-) Citer Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve
gregv Posté(e) le 28 novembre 2013 Signaler Posté(e) le 28 novembre 2013 ça risque même d'être plus simple pour l'activité vélivole après la cessation des activités aéronautiques militaires car actuellement les militaires imposent des restrictions sur les décollages en semaine (décos uniquement entre 12h et 13h30 ou après 17h) Citer
VASCO Posté(e) le 4 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 4 décembre 2013 Bon, il n'y a pas que l'Armée de l'Air française qui est en déflation ! Sur 12 bases dans le quart nord-est il y a moins de 30 ans, il en reste 4, si je ne me trompe pas.Exit pour les bases radars : Drachenbronn, Romilly et Contrexéville.Exit pour les bases avions : Strasbourg, Colmar, Toul, Metz (également état-major) et Reims.Beaucoup de suppression aussi dans les autres régions. Correction : après vérification, la BA de Drachenbronn existerait toujours, ce qui fait 5 bases restantes dans le nord-est. Ce qui me surprend dans l'article de la tribune de Genève, c'est le nombre de 300 avions de combat dans les années 90 ; ça parait énorme pour un pays de cette dimension. Ne s'agirait-il pas plutôt du nombre total d'aéronefs militaires (y compris école, transport, hélicos, etc) ?Tu as oublié Cambrais qui aussi a fermé Citer
Tatave Posté(e) le 4 décembre 2013 Signaler Posté(e) le 4 décembre 2013 Bon, il n'y a pas que l'Armée de l'Air française qui est en déflation ! Sur 12 bases dans le quart nord-est il y a moins de 30 ans, il en reste 4, si je ne me trompe pas.Exit pour les bases radars : Drachenbronn, Romilly et Contrexéville.Exit pour les bases avions : Strasbourg, Colmar, Toul, Metz (également état-major) et Reims.Beaucoup de suppression aussi dans les autres régions. Correction : après vérification, la BA de Drachenbronn existerait toujours, ce qui fait 5 bases restantes dans le nord-est. Ce qui me surprend dans l'article de la tribune de Genève, c'est le nombre de 300 avions de combat dans les années 90 ; ça parait énorme pour un pays de cette dimension. Ne s'agirait-il pas plutôt du nombre total d'aéronefs militaires (y compris école, transport, hélicos, etc) ?Tu as oublié Cambrais qui aussi a fermé Quand je parlais du quart nord-est, c'était pour moi feue la FATAC/1ère RA. Cambrai était dans feue la 2ème RA. et donc concernée par la phrase "Beaucoup de suppression aussi dans les autres régions" (trop pour être toutes citées). Citer
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