bflo Posté(e) le 24 janvier 2016 Signaler Posté(e) le 24 janvier 2016 (modifié) Bonjour, J'ai un planeur, un Ls3a, avec beaucoup de tuyaux, vraiment beaucoup. D’après le carnet de route les premiers proprio avaient fait des expérimentations sur la variométrie au début de années 80... Là je me pose des questions sur un montage bizarre sur la ligne de pression totale. La prise de pression totale est un tube se trouvant au milieu du tube d'aération du nez, la ligne de pression totale est branchée au bout de ce tube, normal... Mais en plus de cela, sur le tube de la prise il y a un deuxième tube qui part en dérivation et qui court au fond du fuselage sur environ 3~4m et est bouchée à son extrémité (environ au niveau du train). J'ai essayé de faire une photo du montage au niveau de la prise. http://img11.hostingpics.net/pics/853931TotaleLS32.jpg Des idées sur l'utilité de cette dérivation ? Pourquoi se sont-ils embêtés à faire partir cette dérivation au niveau de la prise plutôt que depuis un T placé dans une région plus accessible? Concrètement la question de fond est que j'ai remarqué que la fameuse dérivation est fendue à sa base et je pense bien m'en séparer. Merci Modifié le 24 janvier 2016 par bflo Citer
Monsieur bobote Posté(e) le 25 janvier 2016 Signaler Posté(e) le 25 janvier 2016 (modifié) Il est possible qu'il y ait eu un type 100 avec système de compensation externe (cylindre en bakélite avec membranes internes) branché sur la totale, comme ce système"respire", il a tendance à perturber les autres instruments d'ou la tentation de l'isoler. Il était à Chérence ? Modifié le 25 janvier 2016 par Monsieur bobote Citer Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
Bob Posté(e) le 25 janvier 2016 Signaler Posté(e) le 25 janvier 2016 Pourquoi un tube qui irait dans le fuselage ? La compensation dont tu parles était au tableau de bord... Citer
bflo Posté(e) le 25 janvier 2016 Auteur Signaler Posté(e) le 25 janvier 2016 Un mystère je vous disais! Le planeur était en Autriche au début des année 80. Perso, je m'imaginais peut-être que c'était pour une sorte d’enregistreur d'époque trop gros pour loger à l'avant (un truc style barographe, ou pire un gros truc à bandes ). Matthieu suggérait aussi un système de compensation qui se serait trouvé avec les bouteilles de varios... Citer
Stéphane Posté(e) le 25 janvier 2016 Signaler Posté(e) le 25 janvier 2016 S'ils ont fait des tests de calibration de leurs instruments, ils y ont peut-être branché un anémomètre supplémentaire, simplement emporté en cabine, et branché aussi sur une "bombe" ou un cône remorqué pour avoir une pression statique correcte. Johnson calibrait toujours les instruments des planeurs qu'il testait avec une "bombe". Les orifices statiques de nez (surtout) ou de fuselage arrière sont rarement exacts. Voici comment Bede voyait un cône statique... http://www.bd5.com/BedeDesign28.jpg Citer Stéphane Vander Veken
bflo Posté(e) le 26 janvier 2016 Auteur Signaler Posté(e) le 26 janvier 2016 C'est possible que ce soit pour une application de ce style Stéphane. D'autant que le planeur a été équipe de prises statiques supplémentaires par rapport aux Ls3a normaux. Citer
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