Bre901 Posté(e) mardi à 09:27 Signaler Posté(e) mardi à 09:27 (modifié) Il y a 2 heures, Administrateur a dit : https://www.stac.aviation-civile.gouv.fr/fr/zsm Ce document officiel (DGAC) précise bien que c'est 1000m et non 100m au dessus du point le plus haut Il y a quand même une grosse différence entre les cartes ("survol interdit") et ce document ("autant que possible", "recommandé") Citation En cas d’activation, il s’agit de zones à contourner autant que possible par les usagers de l’espace aérien. En cas d’impossibilité, il est recommandé de survoler la zone à plus de 1000m au-dessus du point le plus haut de la ZSM pour les survols motorisés et les planeurs. Pour les autres usagers, la hauteur de survol et l’étendue de la zone d’évitement sont variables : consultez votre fédération. Modifié mardi à 09:31 par Bre901 Citer Mon site d'utilitaires : https://condorutill.fr/index_fr.phpA partir de ce jour j´n´ai plus baissé les yeux / J´ai consacré mon temps à contempler les cieux / A regarder passer les nues[...] / A faire les yeux doux aux moindres cumulus... Georges Brassens (L'orage)
peter562 Posté(e) mercredi à 06:46 Signaler Posté(e) mercredi à 06:46 Les règles de survol des planeurs , c'est le problème de la DGAC la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC) dépend du Ministère de l'Aménagement du Territoire et de la Décentralisation. et le ministère de la Transition Ecologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche , c'est aussi la même adresse...... Alors , dès qu'il y a des écolos quelque part , .... tout de complique et devient flou ( pour ne pas dire fou).... quoi de plus normal ? Citer
JP;-) Posté(e) mercredi à 11:09 Signaler Posté(e) mercredi à 11:09 En tant que président de la commission Espace Aérien, je vous confirme que cette hauteur de 1000m puibliée sur le site du STAC depuis Novembre est une erreur d'interprétation de la DREAL en charge du dossier ZSM au niveau national. La commission a fait remonter cette erreur et rappelle que ces incohérences de publication non concertées avec la DGAC , autorité compétente pour les restrictions de survol, ne sauraient prévaloir un statut supérieur à la réglementation européenne SERA, surtout pour une "recommandation" de survol de zones non publiées par décrêt ministériel. Je vous tiendrai informé du retour aux 300m dès que possible, sachant que ces ZSM sont à éviter tant que possible sauf pour la sécurité des vols à une hauteur pour l'instant de 300m AGL, toute autre restriction pouvant faire l'objet d'un recours au tribunal administratif car non concertée par la DGAC et DIRCAM. Bons vols en attendant ! Citer
SVE Posté(e) mercredi à 13:53 Signaler Posté(e) mercredi à 13:53 On est bien d'accord que quand tu dis 300m AGL c'est 300m au dessus du point le plus haut de la ZSM. L'altitude de ce point le plus haut est maintenant indiqué dans le fichier STAC et donc le fichier France est conforme à cela. SVE Citer
Ludovic Launer Posté(e) mercredi à 14:52 Signaler Posté(e) mercredi à 14:52 (modifié) 58 minutes ago, SVE said: 300m au dessus du point le plus haut de la ZSM. L'altitude de ce point le plus haut est maintenant indiqué dans le fichier STAC et donc le fichier France est conforme à cela. Oui, c'est de cette façon que c'est implémenté dans l'import automatique du fichier du STAC. Dernière mise a jour des ZSM hier soir...après modification du programme d'import suite a un changement de format du fichier ... https://github.com/planeur-net/airspace Modifié mercredi à 14:52 par Ludovic Launer Citer Ludovic Launerwww.launer.fr
Centurion Posté(e) mercredi à 18:44 Signaler Posté(e) mercredi à 18:44 Bonjour, Je suis peut-être insistant, mais j'aimerais quand même savoir pourquoi en Suisse il n'y a aucune restriction et qu'il n'y a jamais eu autant de Gypaètes que ces dernières années (et pourtant ça vole également beaucoup) ? Parce que quand il s'agit d'interdire ou de réglementer, il y a beaucoup de créatifs ! Alors si on peut éviter de s'inventer des problèmes... Citer
Romeo Charlie Posté(e) il y a 20 heures Signaler Posté(e) il y a 20 heures Selon une étude de la Station ornithologique suisse de Sempach, de la Fondation Pro Gypaète barbu et de l'Université de Berne, davantage de gypaètes barbus adultes meurent dans les zones périphériques que dans la zone centrale. Les raisons sont multiples : l’empoisonnement est un facteur majeur. Les gypaètes barbus sont régulièrement victimes de poisons placés illégalement. Les personnes qui appliquent illégalement ces poisons ciblent en réalité de grands prédateurs comme les loups. De plus, les collisions avec les lignes électriques et les éoliennes constituent un danger majeur. Le braconnage demeure également un problème : les gypaètes barbus sont régulièrement abattus illégalement, alors qu'ils sont strictement protégés. De plus, le tourisme pourrait avoir un impact négatif sur la population, explique le biologiste de la conservation. Les grimpeurs, les parapentistes ou les drones peuvent perturber les oiseaux pendant leur reproduction. Citer Briefing-MTO par MicroClimat
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.