Invité Edwin Posté(e) le 6 février 2006 Signaler Posté(e) le 6 février 2006 Chers Mrs. Je suis Edwin Auz, nous avons un groupe d´amis qui nous intéresse le vole a voile sur planeur, actuellement nous faisons du parapente, en Equateur Amerique du Sud, il y a beaucoup d´endroits pour faire du vole libre, sur la cote ou la Cordillera de los Antes, Ibarra, Otavalo, Salinas, etc ; le vole en planeur ça n´existe pas ici ; est ce que vous pourriez nous donner des conseils pour commencer a organiser et peut être avoir en appuy pour ce la, louer, acheter, faire venir des instructeurs, organiser un club ici, ?. Merci A bien tôtEdwin AuzTel. 593 2 2484298Quito - Ecuador Citer
Invité Jacques Noel Posté(e) le 6 février 2006 Signaler Posté(e) le 6 février 2006 Bonjour l'Ami Edwin et tous tes amis, Défricher un site de vol à voile ne s'improvise vraiment . C'est pourquoi je vous félicite pour votre démarche. Je reviens de 5 semaines au Chili dans une région bien au nord de Santiago. Nous avons prospecté avec un motoplaneur. Le moins que l'on puisse dire, c'est du travail mais çà je le savais! Une quelconque approche se fera rapidement en cherchant des zones vachables afin de pouvoir prospecter par toutes conditions météorologiques. Essayer d'abord l'aérologie locale. Puis élargir la prospection en revolant là oû vous avez voler les fois précédentes afin d'avoir des références et puis découvrir une nouvelle zone. Ceci sera effectué à toutes heures de la journée. Un instrument fabuleux est l'enregistreur des vols qui permet d'analyser le vol et de vous aider à comprendre ce qui vous est arrivé en vol ( type d'ascendance, taux de montée, intensité et variations du vent ). L'idéal est de faire régulièrement plusieurs virage de 360 degré afin de bien voir le vent lors du dépouillement du vol. Il vous faudra également plusieurs type de cartes différentes et aussi travailler sur des cartes satellites. Le site Google earth peut être d'une grande utilité. Il vous faudra être trés humbles et trés curieux: ne rien accepter sans avoir vérifié. Exemple: un de mes amis avait trés étudié beaucoup de facteur notamment les sondages atmosphériques calculés par un site américain. D'aprés eux, il ne devait pas avoir d'instabilité entre la côte et un peu à l'est du terrain oû nous volions ( Presque à mi-chemin avec la frontière argentine). Hors, j'avais vu du sol des matérialisations qui me laissaient supposer certains phénomènes qui pouvaient aussi être de la confluence de brise ou autre. Finalement, nous avons trouvé des thermiques pas toujours faciles et même plutôt bien hachés au fur et à mesure que les heures passaient. Nous avons trouvé des confluences de brises certains jours. Evidemment plus facile à comprendre les jours oû elles étaient un peu matérialisées. En utilisant régulièrement les 360 degrés, nous avons mis en évidence qu'il y avait effectivement une couche convective d'environ 1000 mètres mais qu'au dessus il y avait une bonne couche stable et le plkus souvent avec du vent extrèmement faible. Puis, grace au moteur du motoplaneur, nous avons trouvé un peu d'instabilité au-dessus de 1600 à 2000mètres selon les jours. NOus n'avons pas pu aller au-dessus de 2900 mètres car les ascendances étaient trés difficiles et qu'il fallait rester en local d'un terrain vachable. Nous avons passés pas mal de temps à chercher des terrains vachables ( terrainjs privés, anciennes pistes abandonnées qui avec un peu de nettoyage de cailloux pouvaient sauver la mise, extrémitées de las en amont sous certaines conditions,...) . Ne faites jamais d'impasse en comptant sur le moteur, la chance ne pourra pas toujours vous sourire. Néanmoins un motoplaneur fait gagner beaucoup de temps. J'oserai dire qu'il faut être au moins deux pilotes ou plus et que le grand luxe serait d'avoir deux motoplaneurs et si c'est possible, plutôt, des planeurs à dispositif d'envol incorporé.Nous avons jusque là travaillé sur seulement le mois de Janvier. Peut-être que c'est le plus mauvais mois de l'année. Aussi, il faudra renouveler tout ce travail tout au long de l'année, avant de pouvoir conclure. C'est pationnant de défricher malgré que ce soit parfois frustrant. Vous n'avait pas besoin de champion pour celà mais de gens pationnés. Il faut avoir en tête une histoire connue:Tout le monde savait que celà était impossible. Mais il s'est trouvé une personne qui ne le savait pas. Elle a essayé et a réussi!Il faut partir du principe que toutes les hypothèses sont possibles même et surout si elles mènent à l'opposé de vos connaissances ou expériences. Bon courage et vive le vol à voile Equatorien. Jacques Noel Citer
Invité Jacques Noel Posté(e) le 6 février 2006 Signaler Posté(e) le 6 février 2006 Re-Bonjour Edwin, J'ai oublié comme d'habitude quelque chose. Si tu veux me contacter directement, voici mon e.mail:jacques.noel54@wanadoo.fr Jacques Noel Citer
Denis F Posté(e) le 7 février 2006 Signaler Posté(e) le 7 février 2006 Un instrument fabuleux est l'enregistreur des vols qui permet d'analyser le vol et de vous aider à comprendre ce qui vous est arrivé en vol ( type d'ascendance, taux de montée, intensité et variations du vent ). L'idéal est de faire régulièrement plusieurs virage de 360 degré afin de bien voir le vent lors du dépouillement du vol.Il y a un certain nombre de fichiers de vols là :http://tinyurl.com/aj63y Certains au Brésil, d'autres au Costa Rica ou en Colombie (pas encore en Equateur mais ça ne saurait tarder ) Citer
Denis de Chivré Posté(e) le 7 février 2006 Signaler Posté(e) le 7 février 2006 Je crois qu'un pilote d'hélicoptères ayant une socièté basée à Quito, avait fait du vol à voile à Fayence. Peut être que le club à encore ses coordonnées (http://www.aapca.net/) ? Citer http://planeur.phpnet.org/images/flarm_pixel.png
Invité Edwin Posté(e) le 13 février 2006 Signaler Posté(e) le 13 février 2006 Bonjour Mr. Noel Merci de vôtres réponses, maintenant j´ai une meilleur idée de ce qui faut pour commencer a étudie la possibilité, je suis un pilote hélicoptère actif, je voudrais savoir s´il y a les cordonnés du pilot équatorien qui a fais les vols en planeur á Fayence . Nous avons des endroits par exemple Ibarra, Otavalo, au nord de Quito c´est une vallée a 2.500 mt. QNH, température moyenne pendant la journée 22°C, ou Salinas, Santa Elena, Guayaquil, au sud west de l´équateur, si vous avez une carte, vous pourriez nous aider a faire une analyse sommaire. Juste pour avoir une idée, pour acheter un biplace d´occasion pour commencer un entraînement, combien ça peut coûter?. Quelle sorte d´avion il faut pour remorquer?. Pour faire une étude de la zone de vole, qui peut nous aide?. Mercie, a bien tôt. Edwin AuzTelf. 593-2-2484298 Citer
Philippe de Péchy Posté(e) le 13 février 2006 Signaler Posté(e) le 13 février 2006 Nous avons des endroits par exemple Ibarra, Otavalo, au nord de Quito c´est une vallée a 2.500 mt. QNH, température moyenne pendant la journée 22°C, ou Salinas, Santa Elena, Guayaquil, au sud west de l´équateur, si vous avez une carte, vous pourriez nous aider a faire une analyse sommaire. Dans GoogleEarth, les cumulus sont prometteurs Citer
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