Hôtel Lima Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 Connaissez-vous des enquêtes qui relatent des coûts d'une saison en planeur ? Question élargissable au vol libre ainsi qu'au vol motorisé. Citer
jeannot1 Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 En dépense je compte ABSOLUMENT tout (inscription, remorqués, cartes, bouffes, bob, t-shirt, etc..) 2005 - 2750€ - 145h soit 20€/h (300, st crépin, circuits sympa)2004 - 2600€ - 105h soit 25€/h (circuits sympa)2003 - 2700€ - 105h soit 26€/h (D, st crépin, circuits TRES sympa) finalement c'est pas plus chère qu'une bonne saison de ski à Courchevel ! mais j'ai toujours dit, que si l'on veut fédérer TOUT les jeunes, il faut descendre EN-DESSOUS des 15€/h Citer Bons vols, Bonnes pompes,A bientôt sur les ondes,Puissance et truculence,jeannot de Valence...
Etienne Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 mais j'ai toujours dit, que si l'on veut fédérer TOUT les jeunes, il faut descendre EN-DESSOUS des 15€/hSalutje vole entre 13 et 15€ de l'heure pour 130 à 150h/an. Donc c'est possible, voir possible de faire mieux car je vole principallement au reomorqueur et exceptionnellement au treuil.Bons volsEtienne Citer mes photos aéro sur EchoMike.free.fr Parceque le ciel est merveilleux Pour que voler soit toujours un plaisir
F-B Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 mais j'ai toujours dit, que si l'on veut fédérer TOUT les jeunes, il faut descendre EN-DESSOUS des 15€/hSalutje vole entre 13 et 15€ de l'heure pour 130 à 150h/an. Donc c'est possible, voir possible de faire mieux car je vole principallement au reomorqueur et exceptionnellement au treuil.Bons volsEtienne tu voles en plaine ou tu fais partie des clubs de montagnes qui ont la chance d'accrocher la pente qui longe la piste à tous les coups ? Citer 718
Etienne Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 Re'je vole en plaine, à Montaigu en Vendée, pas de pente dans le coin. Et cette année la seule "montagnette" fut St Rémy et qqs vols dans les "hautes collines" du sud ouest de l'Angleterre. Mais je vais me rattrapper cette année Mais bon, le budget de départ pousse à voler un max pour atteindre des moyennes aussi basses, avec une règle à respecter au maximum: ne pas partir pour 1/4 d'heure mais optimiser en restant 3 à 4 heures en l'air en moyenne afin de minimiser la prédominance du cout de lancé. Plus facile à faire une fois lâché, je l'avoue dernière chose pour minimiser encore ce cout: le forfait.Mon club n'en propose pas mais un tarif dégressif qui fini à 10% du prix nominal après 70hCeux qui font moins de 50h/an seront avantagés par un paiement à l'heure, ceux qui font plus de 100h/an par un forfait, et ceux qui sont entre les deux se font avoir. Ca c'est une moyenne faite à la très grosse louche sur ce que j'ai pu voir dans les tarifs des clubs que j'ai croisé de près ou de loin. Y aura forcément des exception pour confirmer la règle Le tarif dégressif est un compromis qui à pour énorme avantage d'être juge de paix financié entre ceux qui volent beaucoup et ceux qui font une petite saison.Conclusion: volez un max! Mais ça on le savait BVEtienne Citer mes photos aéro sur EchoMike.free.fr Parceque le ciel est merveilleux Pour que voler soit toujours un plaisir
jeannot1 Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 A Valence nous sommes à 12 kms du relief (exposé ouest). donc en été pas de départ avant 12h00/12h30, avec des remorqués allant jusqu'à 20mn...(par sud). nous n'avons pas de treuil, et les départs en plaine sont hypothétique... les départs + tôt se sont parfois soldés par des retours ''croustillants''...(la queue entre les jambes... )donc nous envions les clubs bien placés (Challes, le Versoult, St Crépin..., Aubenassons, voir même Romans)Après avoir eu des forfaits horaires (20h, 40h, 60h, 80h, et illimité) nous sommes passé au tarif horaire dégressif (<20h à 20€/h, 20-40h à 15€/h, 40-60h à 10 €/h, et gratuit au delà de 90h, après avoir passé au minimum 900€)C'est assez difficile à gérer (merci Michel notre Comptable), mais pas facile de trouver mieux sans léser quelqu'un. et l'adage vélivole est vraiment vrai : plus tu voles, moins c'est cher ! Citer Bons vols, Bonnes pompes,A bientôt sur les ondes,Puissance et truculence,jeannot de Valence...
Etienne Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 nous sommes passé au tarif horaire dégressif (<20h à 20€/h, 20-40h à 15€/h, 40-60h à 10 €/h, et gratuit au delà de 90h, après avoir passé au minimum 900€)C'est assez difficile à gérer (merci Michel notre Comptable) 35h à 15/22€/h fonction de la machine [du LS1-f au JanusC] et +-25anspuis 35h à 70h: -50% sur les heures de vols70h et + : 10% du prix nominal de l'heureet le comptable chargé du calcul s'appelle access, merci Michel pour le développement de la base Sinon je me suis refait mon carnet de vol sous excel, le calcul du cout de chaque vol est refait, la formule n'est pas compliquée et les stats sont tellement faciles et rapides. Rien que pour faire les totaux horraires en bas de chaque page la feuille excel est rentabilisée!Par contre calculer tout ça à la mano bon courage! BVEtienne Citer mes photos aéro sur EchoMike.free.fr Parceque le ciel est merveilleux Pour que voler soit toujours un plaisir
jeannot1 Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 oui, je l'ai fait aussi sous Excel, c'est facile, pas cher, et çà peut rapporter gros !! en plus je fais des statistiques par année, par type de machine, par mois, etc...mais néanmoins, je trouve que ce loisir reste cher, car, dès que l'on veut sortir des sentiers battus (nouveau lieu, nouvelle machine, opportunité d'être au bon endroit au bon moment) cela demande un certain investissement, pour de pas dire un investissement certain...j'en arrive à comprendre (mais pas à envier) les ulmistes et autres parapentistes... vive le vol à voile ! Citer Bons vols, Bonnes pompes,A bientôt sur les ondes,Puissance et truculence,jeannot de Valence...
Robert Ehrlich Posté(e) le 10 février 2006 Signaler Posté(e) le 10 février 2006 Quand je n'étais pas encore instructeur et qu'on comptait encore en francs, une saison à Beynes me coutait de 15000 F à 17000 F pour environ 200 h de vol, décomposé en 5000 F de frais fixes (cotisation, assurance, participation aux frais de fonctionnement), 5000 F de forfait heures de vol illimitées et 5000 à 7000 F de remorqués/treuillées/depannages (valeurs arrondies), ce qui me mettait l'heure de vol à quelque chose comme 75 à 85 F. Si j'avais eu moins de 25 ans ça aurait été encore moins cher, mais il est vrai qu'à moins de 25 ans il est difficile de trouver à la fois l'argent pour se payer 200 h devol et le temps de les faire, moi j'avais déjà atteint les 55 ans et donc je bossais à mi-temps.En me basant sur les tarifs de la saison dernière, l'équivalent maintenant devrait couter vers les 2300 à 2600 €, ce qui met l'heure de vol entre 11,50 et 13 €. Un moins de 25 ans payerait 540 € de moins, ce qui dans les mêmes hypothèses (200h de vol en forfait illimité) lui ferait une saison à 1760 à 2060 €, soit l'heure entre 8,80 et 10,30 €.Malheureusement pour un débutant, l'heure de vol lui reviendra nettement plus cher. S'il prend le forfait "Ecole de pilotage" à1718 € s'il a plus de 25 ans ou 1214 € s'il en a moins, pour 35 heures de vol et 55 décollages, l'heure de vol lui reviendra suivant son age à 44.17 € ou 34.69 €. Ce forfait n'existait pas en 1995 quand j'ai débuté et l'heure de vol de ma premiière saison m'a couté encore plus que ça. C'est sûrement pour ça que, radin comme je suis, j'ai persévéré les années suivantes pour voler moins cher Citer
jeannot1 Posté(e) le 11 février 2006 Signaler Posté(e) le 11 février 2006 Je reste fortement persuadé que l'heure de vol à prix très bas est la seule ''sauvegarde'' du vol à voile Français (en mettant les équipements nécesaire en face bien entendu...).malheureusement, sans vouloir faire dans le pessimisme, le prix du pétrole ne va pas arranger les choses.Et le clubs qui vont pouvoir mettre en oeuvre un treuil électrique ne seront pas nombreux...sauf si l'état est prêt à mettre la main à la bourse... Nous étudions cette option à Valence, mais l'environnement (CTR, classe D, politique, etc...) ne nous facilite pas l'avenir...(2kms de cable avec 20kts de vents, quel pieds !) C'est pas demain que les heures sont remboursées par la sécu !!! au fait, dans vos calcul, comptez-vous l'intégralité de vos dépenses ''planeur'' ??? :!!: Citer Bons vols, Bonnes pompes,A bientôt sur les ondes,Puissance et truculence,jeannot de Valence...
Yurek Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 Sur un terrain aussi grand qu'à Valence, vous avez assez de place pour tirer ces 2 km de câble, alors il serait vraiment dommage de s'en priver !Vous pourriez peut-être diviser le prix de l'heure de vol par deux... :!!: Je reste cependant bien plus prudent que toi en ce qui concerne l'influence du coût sur la condition du vol à voile... Tu as noté toi-même qu'une saison de vole à voile n'est pas plus chère qu'une saison de ski... or, il y a en France beaucoup plus de skieurs que de vélivoles ! Il est vrai que la pratique du ski n'a jamais été gratuite... Je crois que les raisons profondes de la crise actuelle, il faut les chercher ailleurs : notre sport est aujourd'hui très peu connu chez les jeunes, l'ambiance dans des nombreux clubs est... disons… peu accueillante, et surtout, c'est une pratique de plus en plus laborieuse de plus en plus hérissée des difficultés multiples, presque un parcours de combattant. Or, les sports tels que le parapente, le vol libre, le windsurfing, le kite, ou - justement - le ski permettent un accès rapide au plaisir, permettent aux gens de "s'éclater".Dans une culture de plus en plus tournée vers la consommation et le plaisir immédiat, l'idée de gravir lentement et péniblement les échelons repousse plutôt les jeunes qu'elle ne les attire. Bien sûr, comme toute les généralisations, celle-là aussi est facile à tourner en dérision, voire même à infirmer : il y a des clubs où l'ambiance est très bonne, où la progression est suffisamment rapide pour éviter l'ennui et qui - de surcroît - font parler d'eux dans leur entourage, et par conséquent attirent des nouvelles recrues. Il reste toujours cette question qui me paraît un peu dérangeante : pourquoi le nombre de pilotes ULM serait-il en augmentation et le nombre des vélivoles en diminution ? Je pense donc que si ce n'était QUE le problème de prix, on aurait en réalité aucune crise ... Citer Yurekhttp://www.yankee-romeo.comIf God meant man to fly, He'd have given him more money.Honni soit qui mal y pense ! http://informatiquefrance.free.fr/sms/sms_04.gif
JdeM Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 mais j'ai toujours dit, que si l'on veut fédérer TOUT les jeunes, il faut descendre EN-DESSOUS des 15€/h Ce n'est pas le taux horaire qui est déterminant chez les jeunes (et les moins jeunes qui n'ont pas nécessairement les poches qui éclatent sous le poids du fric), mais le total au bas de la facture. Bien des clubs ont établi des tarifs qui font en sorte que le premier vol va coûter 1000 €/h et que si on atteint les 300 heures, on pourra effectivement approcher les 15 € l'heure. Sauf que 300 heures à 15 €. ça fait 4500 € au bas de la facture, ce qui dépasse les capacités financières de plusieurs. Après avoir eu des forfaits horaires (20h, 40h, 60h, 80h, et illimité) nous sommes passé au tarif horaire dégressif (<20h à 20€/h, 20-40h à 15€/h, 40-60h à 10 €/h, et gratuit au delà de 90h, après avoir passé au minimum 900€)C'est assez difficile à gérer (merci Michel notre Comptable), mais pas facile de trouver mieux sans léser quelqu'un. :!!: et l'adage vélivole est vraiment vrai : plus tu voles, moins c'est cher ! Bravo Valence ! Je crois que c'est la formule du meilleur compromis. Difficile à gérer ? Pas du tout, depuis l'invention de l'ordinateur Citer
JdeM Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 Je reste fortement persuadé que l'heure de vol à prix très bas est la seule ''sauvegarde'' du vol à voile Français (en mettant les équipements nécesaire en face bien entendu...). Il faut beaucoup plus regarder du côté du coût des lancers car c'est là que les débutants voient leur facture gonfler (avec l'avion remorqueur, évidemment). malheureusement, sans vouloir faire dans le pessimisme, le prix du pétrole ne va pas arranger les choses.Il faut donc apprendre à en consommer moins. Si le treuil est impossible, il reste l'ULM. Ça coupe les factures d'entretien et de pétrole en deux. C'est déjà ça... Et le clubs qui vont pouvoir mettre en oeuvre un treuil électrique ne seront pas nombreux...sauf si l'état est prêt à mettre la main à la bourse... :!!: Mais pour les clubs ayant déjà un remorqueur et voulant passer au treuil, la renvente du remorqueur vient déjà de payer une bonne partie du treuil. Citer
JdeM Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 Je reste cependant bien plus prudent que toi en ce qui concerne l'influence du coût sur la condition du vol à voile... Le problème du coût en est un parmi tant d'autres, mais il est assez haut dans la liste. Dans cette fourchette de prix (2000 à 3000 € par an), diviser les coûts par deux multiplie probablement par dix le nombre de personnes à qui l'activité devient accessible. Tu as noté toi-même qu'une saison de vole à voile n'est pas plus chère qu'une saison de ski... or, il y a en France beaucoup plus de skieurs que de vélivoles !Mais se pourrait-il que la proportion gens-qui-font-l'activité/gens-qui-s'en-privent (faute de moyens) soit la même dans les deux cas ? Je crois que les raisons profondes de la crise actuelle, il faut les chercher ailleurs : notre sport est aujourd'hui très peu connu chez les jeunes, L'était-il plus il y a trente ans ? Sûrement pas. l'ambiance dans des nombreux clubs est... disons… peu accueillante, et surtout, c'est une pratique de plus en plus laborieuse de plus en plus hérissée des difficultés multiples, presque un parcours de combattant. Or, les sports tels que le parapente, le vol libre, le windsurfing, le kite, ou - justement - le ski permettent un accès rapide au plaisir, permettent aux gens de "s'éclater".Pas tout-à-fait d'accord (mais que ceux qui aiment semer des embûches ne le prennent pas pour une bénédiction) : je ne vois pas en quoi les difficultés se seraient ajoutées au fil du temps. D'autre part, cette notion d'accès rapide au plaisir est fort discutable. C'est comme si on devenait très rapidement pilote de drap (pardon, de parapente) et très lentement pilote de planeur, et surtout, c'est comme si les gens prenaient l'apprentissage comme un purgatoire et l'aboutissement (le brevet) comme le début du plaisir - alors que c'est trop souvent le contraire (pour bien des gens, l'ennui s'installe quand cesse l'apprentissage). Bien sûr, comme toute les généralisations, celle-là aussi est facile à tourner en dérision, voire même à infirmer : il y a des clubs où l'ambiance est très bonne, où la progression est suffisamment rapide pour éviter l'ennui et qui - de surcroît - font parler d'eux dans leur entourage, et par conséquent attirent des nouvelles recrues. C'était comme ça à Challes en 1997. Est-ce que ça a changé ? Il reste toujours cette question qui me paraît un peu dérangeante : pourquoi le nombre de pilotes ULM serait-il en augmentation et le nombre des vélivoles en diminution ? Je pense donc que si ce n'était QUE le problème de prix, on aurait en réalité aucune crise ... :!!: Au Québec, le nombre de pilotes d'ULM a déjà commencé à diminuer. Côté avion conventionnel, c'est en piqué. Côté vol à voile, on talonne, mais on garde espoir. Citer
Invité Invité Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 La solution du prix de l'heure dégressif avec zéro Euro à partir d'un certain seuil, n'est pas bon pour le Club. J'ai connu un petit club qui n'avait que quelques planeurs (2 ou 3 monoplaces) mais qui avait un membre assidu qui en monopolisait un à lui tout seul: c'était SA machine dédiée! Au bout de 200h de vol, c'était une perte sèche pour le Club, indépendamment de la gène occasionnée. Il faut aussi se placer des 2 cotés pour voir l'équilibre des choses. Citer
Invité Invité Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 c'est vrai que l'activité vélivole est une activité qui demande un réel investissement financierje la pratique actuellement dans le cadre de l'école des débutsen comptant tout elle me revient à environ 110€ l'heuremon club ne possède pas de treuil mais moffre la possibilité de voler parfois sur motoplaneurla question du prix est importante pour moimais c'est un choix que nous avons fait au niveau des finances familialesvoilà pour le coût en ce qui concerne la pratique c'est une formation longue et exigeante la patience , la rigueur, les procedures mises en place pour acquerir la pssibilité de voler sont des valeurs qui ne sont plus celles de la majorité des gens actuellement qui recherchent un plaisir rapide et un retour quasi immediat de leur investissement temps-argent j'ai fait du parapente il y a une vingtaine d'année on m'a mis un parapente sur le dos et on m' a dit court, court , court !!! ..... c'était en effet un peu court comme cours et je l'ai payé par la suite (ici il manque un Smiley avec des bandages....)c'était il y a 20 ans, cela a du changé, il n'empêche que le plaisir fut immédiat personnellement c'est ce serieux et ce " professionnalisme" que j'apprécie dans vol à voilemais on ne devient pas pilote du jour au lendemainles images du vol à voile font rêvermais très vite on comprend que le pilote possède un savoir faire, une experience que seul le temps pourra permettre d'acquerir un exemple:mon carnet de vol indique que je suis élève j'ai un instructeur, un carnet de progression, je passe des examens, subi une visite médicale on a signalé le début de ma formation au niveau de la dgac etc et de plus je sais que le jour où je serai laché cela ne sera qu'une petite étapeencore une fois je suis satisfait de voir que telles précautions entourent ma préparation mais il faut reconnaitre que cette formation (qui est la formation de base pour le vol à voile) n'est comparable à aucune autre formation sportive du reste ce n'est pas une formation : c'est un apprentissageun apprentissage des sens, de l'esprit, de la logique, de l'ordre, de la capacité à décider etc tant de choses qui pour un pilote confirmé sont naturelles mais que le débutant doit apprendreet apprendre quoiqu'on en dise prend du temps et hélas notre société ne laisse plus au temps le temps de faire son ouvrage à la prochaine ne promettant de faire moins long :!!: hoplà Citer
Invité françois hache Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 Excellent argumentaire pour défendre la qualité qui doit être celle de nos formation...Je m'en servirai, si tu le veux bien ....Les 110 euros de l'heure sont aussi un bon point de repère.( au regard des 15 euros pour un pilote confirmé..)FH Citer
hopla Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 Excellent argumentaire pour défendre la qualité qui doit être celle de nos formation...Je m'en servirai, si tu le veux bien ....c'est fait pour Citer là où la réalité se mêle aux rêves
jeannot1 Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 Il est vrai qu'entre 110€/h et 15€/h il y a un sacré fossé...! Et je trouve regrettable qu'un élève ai de telles factures à payer. J'ai été trésorier du Comité Départementale Drôme/Ardèche de Volà Voile pendant quelques années, et si les - de 25 sont encore aidés (par pour longtemps à mon humble avis) les + de 25 paient le prix fort (combien coûte une formation PTP/ITP et PTV/ITV sans réduction ?...cela laisse rêveur ! Je resterai sur ma position au niveau du prix de l'heure trop fort. Les exemples sont trop nombreux pour être cités ici. Mais il est vrai aussi que les remorqués sont une grosse part des dépenses.Hà ! si tout le monde pouvez avoir un club situé comme Challes ! on doublerait les licenciés ! (et désolé, mais au club de Valence, nous ne sommes pas encore prêt d'avoir un treuil électrique, même si on a la possibilité d'avoir 2 kms de cable !) :rolleyes: :rolleyes: on parle d'ULM...personnellement j'y suis un peu réticent....restons puriste ! mais pour les entrainements d'hiver, cela est quand même un bon compromis. Citer Bons vols, Bonnes pompes,A bientôt sur les ondes,Puissance et truculence,jeannot de Valence...
Invité Invité Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 Je pense qu'il est possible de voler pas cher : Club = Chalons en champagne Tarif :inscription = 150€forfait base = 277€ (377/+25ans)forfait complémentaire = 240€ (278/+25ans)Treuillée = 6€remorqué = 18€ Donc pour 667€ + 6€ du décollage vous volez (heures de vols illimitées!!) sur :Nimbus 3D , Duo-Discus , LS8-18 , Nimbus2 , ASW20 , LS3 , DG400 , Pegase (x3)LS1 , ASK13 , ASK21 , K6 (x2) , K8 , Astir (x2) , et le C25S Pour les debutants , il y a au mini 1 monit tous les WE (permanence sur 8 monit) de mars à Septembre Pour les autres , il y a 2 "CES" tous les jours sauf le Dimanche pour gérer le treuil et donc décoller la semaine et/ou de bonne heure . Qui dit mieux ??? Citer
Invité Invité Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 Hà ! si tout le monde pouvez avoir un club situé comme Challes ! on doublerait les licenciés ! malheureusement non car on a beau faire 25 lache et brevet par ans on perd quand meme des menbres Citer
youpi-delta Posté(e) le 12 février 2006 Signaler Posté(e) le 12 février 2006 oups ct moi au dessus ! Citer deboutonné votre cerveau aussi souvent que votre braguette !
JdeM Posté(e) le 13 février 2006 Signaler Posté(e) le 13 février 2006 La solution du prix de l'heure dégressif avec zéro Euro à partir d'un certain seuil, n'est pas bon pour le Club. J'ai connu un petit club qui n'avait que quelques planeurs (2 ou 3 monoplaces) mais qui avait un membre assidu qui en monopolisait un à lui tout seul: c'était SA machine dédiée! Au bout de 200h de vol, c'était une perte sèche pour le Club, indépendamment de la gène occasionnée. Il faut aussi se placer des 2 cotés pour voir l'équilibre des choses. Ouais ! Les membres qui croient que les planeurs du club leur appartiennent en exclusivité, ça existe... Ça ne doit pas dissuader le club d'offrir des tarifs dégressifs, mais l'erreur à ne pas faire, c'est de descendre à zéro (à moins que la marche soit très haute). Citer
Robert Ehrlich Posté(e) le 13 février 2006 Signaler Posté(e) le 13 février 2006 (modifié) La solution du prix de l'heure dégressif avec zéro Euro à partir d'un certain seuil, n'est pas bon pour le Club. J'ai connu un petit club qui n'avait que quelques planeurs (2 ou 3 monoplaces) mais qui avait un membre assidu qui en monopolisait un à lui tout seul: c'était SA machine dédiée! Au bout de 200h de vol, c'était une perte sèche pour le Club, indépendamment de la gène occasionnée. Il faut aussi se placer des 2 cotés pour voir l'équilibre des choses. Pas d 'accord. Cette politique est celle de mon club, elle a été initiée il y a plus de dix ans par notre ancien président Jacky Lacheny. Dans son esprit cette décision était bonne pour le club et je pense qu'il avait raison. Il l'a prise en réaction a des casses de planeur qu'il jugeait excessives et pensant qu'un des facteurs était que les pilotes ne volaient pas assez. Question équilibre financier, la dégressivité est compensée par des coûts fixe relativement élevés qui permettent d'assurer le salaire des salariés relativement indépendamment du nombre d'heures de vol. Peu importe qu'un planeur ne rapporte rien au club au dela d'un certain nombre d'heures, si l'équilibre financier est néanmons obtenu. Si on revenait sur cette politique aujourd'hui, je crois que certains de ceux qui volent le plus voleraient moins, mais sans contrepartie du coté de ceux qui volent peu, parce que pour eux le problème n'est pas l'argent mais la disponibilité, donc résultat net moins d'heures de vol pour un même résultat financier. Quant au problème du pilote qui monopolise une machine, c'est une question de politique d'attribution et non de tarification. Chez nous en cas d'affluence, le chef pilote veille à attribuer les planeurs en priorité à ceux qui n'en ont pas profité récemment. Modifié le 13 février 2006 par Robert Ehrlich Citer
JdeM Posté(e) le 13 février 2006 Signaler Posté(e) le 13 février 2006 La solution du prix de l'heure dégressif avec zéro Euro à partir d'un certain seuil, n'est pas bon pour le Club. J'ai connu un petit club qui n'avait que quelques planeurs (2 ou 3 monoplaces) mais qui avait un membre assidu qui en monopolisait un à lui tout seul: c'était SA machine dédiée! Au bout de 200h de vol, c'était une perte sèche pour le Club, indépendamment de la gène occasionnée. Il faut aussi se placer des 2 cotés pour voir l'équilibre des choses. Pas d 'accord. Cette politique est celle de mon club, elle a été initiée il y a plus de dix ans par notre ancien président Jacky Lacheny. Dans son esprit cette décision était bonne pour le club et je pense qu'il avait raison. Il l'a prise en réaction a des casses de planeur qu'il jugeait excessives et pensant qu'un des facteurs était que les pilotes ne volaient pas assez. Il y a des gens qui volent trop... Regardez les statistiques des accidents dans les Alpes - du style « le pilote en stage avait fait 60 heures de vols au cours des 10 derniers jours... » Les accidents de ceux qui ne volent pas assez sont surtout des accidents de prise de terrain et d'atterrissage. Ce ne sont pas les heures de vol qui coûtent trop cher, mais les lancers (avions remorqueurs). Enfin, les politiques de tarif régressif ou pire, les forfaits, font en sorte qu'un petit nombre vole beaucoup plus et non la majorité. L'argument de la sécurité me semble un peu facile. Citer
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