Monsieur bobote Posté(e) le 21 janvier 2011 Signaler Posté(e) le 21 janvier 2011 Merci Robert d'étayer indirectement mes affirmations .Au club, il n'y a pas eu de procés (et heureusement d'ailleurs), mais en cas d'accident j'aurais été capable de me porter "partie civile"...Je suis perplexe que l'on doute encore de ce genre de situation, (autant débile d'ailleurs que d'avoir un CM pour faire voler une maquette)A chacun d'avoir sa responsabilité. Et l'âge n'autorise en aucune manière de déroger. même si on est un -vieux- chibane avec 20000h de vol ou +.A+vieux chiban est un pléonasme chibani=cheveux blancs et si en plus il est frisé à moustaches ! Citer Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
Régis Posté(e) le 21 janvier 2011 Signaler Posté(e) le 21 janvier 2011 (modifié) Je pense pour ma part qu'un responsable de club peut (doit ?) juger et décider qu'un pilote médicalement apte ne doit pas voler, mais sans exciper d'une raison médicale (il sortirait de son rôle et de ses compétences). C'est d'ailleurs ce qui se passe généralement pour les pilotes VI : Derrière les exigences de compétence technique et d'aptitude médicale, il y a l'agrément de la structure dirigeante. On peut alors comprendre que je ne puisse souscrire à une phrase réductrice telle que "là, le médecin c'est le Président du Club,..." Bonsoir Charles, je ne souhaite en aucun cas que mes propos puissent être interprétés avec ambiguïté :- le médecin doit faire son travail de médecin (et il ne m'appartient pas d'en juger, ce n'est pas mon métier)- l'instructeur doit faire son boulot d'instructeur (là, c'est mon métier et mon domaine de compétence) je ne souhaite pas polémiquer ici sur les normes médicales, on pourrait y passer des heures au coin du feu.... Par contre, dans les clubs de vol à voile, les Présidents ont leur responsabilités et les instructeurs aussi. Chacun, à son niveau, doit assumer pleinement son rôle vis à vis de la sécurité. A l'heure ou le principe de précaution s'américanise de plus en plus en France, il ne faut pas se mettre la tête dans le sable et ne rien voir venir. Un pilote "médicalement apte" et "techniquement inapte" ne doit pas voler tout seul si la sécurité des personnes et des biens peut être engagée (d'accord, c'est plus facile à dire qu'à faire ...) S'agissant du CMAC, je n'ai rien pour et rien contre. je souhaiterais simplement que cette "brillante et honorable" institution réponde un peu plus vite aux pilotes en attente d'une dérogation. L'administration, c'est parfois un peu lourd en France et personne ne pense "démarche qualité" c'est dommage ! Modifié le 21 janvier 2011 par Régis Citer
cboulenguez Posté(e) le 22 janvier 2011 Auteur Signaler Posté(e) le 22 janvier 2011 Par contre, dans les clubs de vol à voile, les Présidents ont leur responsabilités et les instructeurs aussi. Chacun, à son niveau, doit assumer pleinement son rôle vis à vis de la sécurité.Un pilote "médicalement apte" et "techniquement inapte" ne doit pas voler tout seul si la sécurité des personnes et des biens peut être engagée (d'accord, c'est plus facile à dire qu'à faire ...) C'est exactement ce que je cherchais à préciser, probablement pas assez clairement dans la phrase "Derrière les exigences de compétence technique et d'aptitude médicale, il y a l'agrément de la structure dirigeante."Quant au CMAC, la question de sa nécessité et de ses performances, c'est un vaste débat... Je faisais remarquer qu'il est difficile à critiquer (la réfutation est facile, il suffit de dire "vous n'êtes pas médecin !"), je le déplore, mais effectivement, la démarche qualité pourrait être une bonne approche pour saper cette tour d'ivoire.En attendant, la visite aéronautique a encore de beaux jours devant elle, et je le regrette. Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.