camus Posté(e) le 24 mars 2011 Signaler Posté(e) le 24 mars 2011 Qu'utilisez-vous, au quotidien, pour nettoyer les planeurs : gelcoat, planeurs peints (de plus en plus fréquents), verrières. Il y a encore peu on ne jurait que par la fée du logis (et exclusivement celle-ci) qui, maintenant, serait bonne à jeter aux orties!!! Qu'en est-il dans vos clubs? Faut-il revenir à l'eau, même très calcaire,et la peau de chamois? ou autre chose? Un ami allemand dont le planeur a été repeint cet hiver utilise, sur les conseils de l'atelier qui a fait le travail, un autre produit (je lui demanderai les références). Pour les verrières la fée du logis ou autre me semble très bien adaptée.....Je ne sais plus à quel saint me vouer et surtout quels conseils à donner aux élèves...et aux autres... Citer
LsFab Posté(e) le 24 mars 2011 Signaler Posté(e) le 24 mars 2011 Qu'utilisez-vous, au quotidien, pour nettoyer les planeurs : gelcoat, planeurs peints (de plus en plus fréquents), verrières. Il y a encore peu on ne jurait que par la fée du logis (et exclusivement celle-ci) qui, maintenant, serait bonne à jeter aux orties!!! Qu'en est-il dans vos clubs? Faut-il revenir à l'eau, même très calcaire,et la peau de chamois? ou autre chose? Un ami allemand dont le planeur a été repeint cet hiver utilise, sur les conseils de l'atelier qui a fait le travail, un autre produit (je lui demanderai les références). Pour les verrières la fée du logis ou autre me semble très bien adaptée.....Je ne sais plus à quel saint me vouer et surtout quels conseils à donner aux élèves...et aux autres...Au quotidien nos planeurs sont nettoyés à l'eau, car elle n'est pas trop calcaire chez nous (-10°F). Les verrières je ne me souvient plus de la bombe utilisée par contre. Citer
jp PETIT Posté(e) le 25 mars 2011 Signaler Posté(e) le 25 mars 2011 pour mon planeur gelcoaté, j'utilise une bombe de produit pour meuble à base de cirele minimum d'eau pour mon planeur; avis personnel, le nettoyage répété avec l'eau enlève la cire ou les crèmes (polisch) protectrices que l'on a mises l'hiver pour la verrière, un produit adapté au plexi (cleaner ???) et j'ai trouvé tout de suite une différence avec la fée du logis cordialement Citer
afro Posté(e) le 25 mars 2011 Signaler Posté(e) le 25 mars 2011 Qu'utilisez-vous, au quotidien, pour nettoyer les planeurs : planeurs peints (de plus en plus fréquents) Si t'es courageux tu peux aller sur un forum tuning (pas noté l'url mais google et tuning, ça doit le faire), les gus sont des fous de l'asticage. Et là tu vas voir 3 millions de produit kivonbien. Mais comme je le disais sur un autre topic, quelle sera la réaction du produit dans 10 ans sur le planeur ? Il y a un autre topic sur le polish ou des gars parlent du formula 1 et du Carlack68 mais on ne sait tjs pas quels effets à long terme sur le planeur. T'as aussi les produits 3M marine mais pour les trouver, bonjour. Par contre c'est hyper cher pour l'utilisation au quotidien Comme le dit Pitchoun JP, éviter l'eau autant que possible, ça je sais. Alors quand on laisse les planeurs sans housse la nuit dehors (lors des stages) et qu'il y a 3 tonnes de rosées (sans calcaire) sur le planeur. Je crois que l'on est nombreux à vouloir l'info... mais je me demande s'il y a une réponse Citer
didi Posté(e) le 25 mars 2011 Signaler Posté(e) le 25 mars 2011 En ce qui me concerne, j'ai toujours effectué le nettoyage du planeur avec la fée du logis, jusqu'à cet été...Après une semaine sous le Soleil et d'astiquage féerique du planeur, de petites tâches sont apparues (comme si la laque c'était incrustée)... Aucune idée si cela vient du produit et/ou du gelcoat du meilleur LS4 du monde, mais j'avais cru voir le même effet sur un autre planeur durant un précédant concours.Dorénavant, à chaque fois que je mange des patates, je garde le filet et y introduit l'éponge mouillée, j'ai jamais rien vu d'aussi efficace ^^. Pas besoin de forcer, pas besoin de repasser la peau de chinois, et en un passage c'est tout propre. Et puis, je ne pleure plus dès qu'un grain de poussière se dépose sur l'extrados Citer
Lionel Posté(e) le 25 mars 2011 Signaler Posté(e) le 25 mars 2011 Si maintenant on ne peut plus utiliser de l'eau comment laver Utiliser les shampoings cirant pour le lavage quotidien Ne jamais utiliser fee du logis ou pronto au quotidien Philippe Et tu peut donner une raison ??? Citer LionelLa vocation, c'est d'avoir pour métier sa passion,Une erreur peut devenir exacte. Il suffit que celui qui l'a commise se soit trompéJe ne râle pas, je m'indigne . Je ne juge pas, je dénonce. Je ne dénigre pas, je rouspète. http://planeur.phpnet.org/images/flarm_pixel.png http://planeur.phpnet.org/images/netcoupe.net_pixel.png
Thom Posté(e) le 26 mars 2011 Signaler Posté(e) le 26 mars 2011 Du coups quel est le produit pour nettoyer les planeurs? Car depuis que je vole j'ai toujours nettoyer le bords d'attaque avec une peau de chamois et de l'eau... Citer
JMC Posté(e) le 27 mars 2011 Signaler Posté(e) le 27 mars 2011 Ne pas laver son planeur avec de l'eau et du savon est une invention bien de chez nous qui fait le bonheur des regelcoateurs PhilippePhilippe, soyons sérieux ! Tu sais mieux que moi, puisque c’est ton métier, que :- l’eau est le pire ennemi du gelcoat, tout autant que certains solvants (en particulier les chlorés) et les acides, tous.- il n’ y a pas un gelcoat, mais des gelcoats. Le Schwabelack, utilisé à l’origine par Glasflugel (Libelle, etc..) est excellent et les tests ont montré une durée de vie de 5 à 10 fois plus élevée que le Vorgelat (T35 ?) qui est une merde absolue mais est utilisé par la plupart (pas tous !) des constructeurs, exclusivement parce que étant beaucoup moins dur, sa mise en œuvre est beaucoup moins coûteuse.- Les gelcoats absorbent jusqu’à 10% de leur poids en eau. Donc, s’il existe le moindre risque de voler à des températures négatives, il faut impérativement éviter de mettre de l’eau en contact avec le gelcoat. L’utilisation de l’eau pour nettoyer les bords d’attaque (moustiques) est une grave erreur, mais c’est l’habitude dans tous les clubs simplement parce qu’est la plus simple. Passer les bords d’attaque à la cire de caroubier (absolument parfaite, d’accord ?) avec lingette microfibres spéciale, chaque soir, demanderait une refonte totale des procédures dans les clubs. Et un peu de sous…. Mais le vrai problème est tout autre : pourquoi continue-t-on à re-gelcoater des planeurs alors que l’on sait aujourd’hui les peindre avec des produits totalement insensibles à l’eau et aux UV, dont la durée de vie est (x) fois plus élevée ? Je suis consterné par le fait que des personnes aussi compétentes que G. Herbaud continuent à préconiser le gelcoat (et si j’ai bien compris celui mauvais) ? Mais ceci est un autre débat. Toujours est-il qu’il n’y a plus beaucoup de privés (ceux là savent compter !) qui achètent des planeurs gelcoatés ! Bon ponçage !jm Citer
HBD G Posté(e) le 27 mars 2011 Signaler Posté(e) le 27 mars 2011 Mais le vrai problème est tout autre : pourquoi continue-t-on à re-gelcoater des planeurs alors que l’on sait aujourd’hui les peindre avec des produits totalement insensibles à l’eau et aux UV, dont la durée de vie est (x) fois plus élevée ? Je suis consterné par le fait que des personnes aussi compétentes que G. Herbaud continuent à préconiser le gelcoat (et si j’ai bien compris celui mauvais) ? OH! la! Jean Marie tu as fumé la moquette ? Tu me cites sans avoir une seule fois abordé ce sujet avec moi...A mon tour d'être consterné : Si je pense avoir quelques compétences en aéronautique ce n'est certainement pas en "Maintenance".Oui je profite du temps libre que me procure ma retraite pour participer aux travaux de réfection de gelcoat des planeurs de mon club, je devrais dire de notre club mais il faut dire que je ne t'ai jamais vu à l'atelier.Mon travail s'effectue toujours sous la tutelle du chef d'atelier de Vinon (G VIAL) ou de l'ARAPA (P CHANTOUX)Ce sont eux qui m'ont appris à refaire un gelcoat et l'économie réalisée pour le club est considérable.L'obtention de ma LNMA m'a permis de savoir qu'il n'est pas possible de mettre n'importe quoi comme revêtement mais qu'il est d'abord nécessaire de lire le manuel d'entretien.Je suis consterné que tu puisses donner un conseil qui pourrait amener la machine en situation "R"Chaque constructeur définit le type de revêtement : Spra, Scwabellak ou compatibleAlors s'il te plait arrète de laisser penser que je mets le mauvais "Gelcoat"Tu devrais venir nous aider pour voir qu'une finition Polyuréthane demande un travail beaucoup plus long et c'est pourquoi les propriétaires privés que tu mentionnes paient 2000 à 3000€ de suppléments.Je ne porte pas de jugement sur le reste de ton post n'étant pas suffisamment compétent mais un conseil quand tu cites quelq'un vérifie tes sources.G HERBAUD Citer
camus Posté(e) le 28 mars 2011 Auteur Signaler Posté(e) le 28 mars 2011 Un ami allemand dont le planeur a été repeint cet hiver utilise, sur les conseils de l'atelier qui a fait le travail, un autre produit (je lui demanderai les références). Après consultation de notre ami allemand qui a fait repeindre son planeur en acrylique, M Lindner lui recommande le Poly Lak distribué et fabriqué(??) par Car-Lak à Konstanz en Allemagne. Citer
Stéphane Posté(e) le 28 mars 2011 Signaler Posté(e) le 28 mars 2011 Absorption d'eau par le gelcoat: pas besoin de mouiller son aile pour ça, l'humidité de l'air y suffit. Petit exercice amusant: effectuer une pesée du planeur par temps humide (hangar non chauffé dans le Nord après une période de pluie) ou sec (dans le Midi en pleine canicule). Les différences peuvent être appréciables. Gelcoat versus peinture: si mes souvenirs sont bons (je m'étais documenté chez les constructeurs voici quelques années), on met du gelcoat dans les deux cas. Simplement, après ponçage pour obtenir l'état de surface voulu, on peint. La peinture empêche alors l'humidité de pénétrer dans le gelcoat. Mais il est difficile de corriger les défauts de peinture, facile de corriger ceux du gelcoat. Autre problème de la peinture: soit on laisse la peinture durcir, et elle se craquelle au bout d'un temps, soit on met de l'assouplisseur et la peinture masque les criques qui indiquent des dégâts structuraux. A une certaine époque, il était interdit d'employer ce genre de peinture souple sur les planeurs. Pour finir, une anecdote au sujet d'un planeur qui était peint d'origine, un Pik 20D: la peinture acrylique était appliquée sur je ne sais combien de couches (j'en ai compté sept de couleurs différentes à un certain endroit, mais ça variait) de filler, d'apprêt, de micro-ballons. Tant qu'elle était intacte, parfait! Mais cette surface composite avait tendance à ne pas bien tenir sur l'époxy lisse tel que sortant du moule (pas de couche de gelcoat lors de la fabrication, avant de déposer la fibre) et de former des cloques. Solution préconisée: forer un petit trou dans la cloque (sans toucher la fibre sous-jacente), injecter un produit adhésif (la composition m'échappe) et recoller la cloque. Mais on finissait toujours par avoir des plaques de peinture qui fichaient le camp. Et pour refaire la surface après ça, tintin! Un jour, le fuselage ayant été cassé, on l'a fait refaire (sous assurance) par un réparateur allemand, en lui demandant de le gelcoater. Après coup, le gars nous a dit: si vous voulez faire gelcoater les ailes, allez voir ailleurs! Non, la peinture n'est pas la panacée... Citer Stéphane Vander Veken
La Globule Posté(e) le 28 mars 2011 Signaler Posté(e) le 28 mars 2011 (modifié) Mais le vrai problème est tout autre : pourquoi continue-t-on à re-gelcoater des planeurs alors que l’on sait aujourd’hui les peindre avec des produits totalement insensibles à l’eau et aux UV, dont la durée de vie est (x) fois plus élevée ? jm Le problème ne concerne pas les heureux ponceurs chargés des regelcoatages , mais les constructeurs et l'utilisation de produits "autorisés".Malgré un dossier technique bien argumenté déposé auprès des autorités compétentes qui étaient sur le principe d'accord, Centrair a refusé l'autorisation de refaire cet hiver un Pégase en peinture Polyuréthane.L'argument n °1 étant que comme indiqué par ailleurs : le gelcoat permet de mieux détecter les criques.Quand on connait la résistance aux UV et aux contraintes du Gelcoat imposé par Centrair,on peut se poser des questions!!! et là on ne dit pas si c'est du bon ou du mauvais! Modifié le 28 mars 2011 par La Globule Citer Challes c'est de la balle !!!
JMC Posté(e) le 29 mars 2011 Signaler Posté(e) le 29 mars 2011 OH! la! Jean Marie tu as fumé la moquette ? Tu me cites sans avoir une seule fois abordé ce sujet avec moi..................Ce sont eux qui m'ont appris à refaire un gelcoat et l'économie réalisée pour le club est considérable. Bonjour Gérard! Tu sais bien que je ne fume pas, mais je lis la revue Vol à Voile, en particulier le N°132, un article de 6 pages intitulé GELCOAT OU PEINTURE? pour lequel tu as collaboré, et qui prend nettement position pour la solution « gelcoat ». Si j’ai cité ton nom, c’est parce que j’ai trop d’estime pour toi et pour le travail que tu fais dans le club ! Article téléchargeable sur: http//topfly.free.fr/GELCOAT_OU_PEINTURE_VVM132.pdf Pour une machine de propriétaire, je n’approuve pas les conclusions de cet article (et d’ailleurs il suffit d’observer le marché) mais elle pourrait par contre être techniquement justifiée dans le cadre d’un travail réalisé en milieu associatif, que ce soit l’atelier du club ou l’ARAPA (ponçage au bleu, gelcoatage et ponçage final). Si la première partie, celle de l’enlèvement de l’ancien revêtement, est envisageable dans ce cadre, la seconde, en cas de peinture PU : pose de l’apprêt, ponçage de l’apprêt, peinture au pistolet et ponçage de la PU sont l’affaire de professionnels. C’est vrai qu’en fin du compte cela coûte plus cher, mais pour un privé qui calcule différemment par rapport à une association (c’est un investissement à long terme alors que pour l’association c’est une dépense courante), le choix est vite fait. Cet article part de l’hypothèse (que j’estime fausse) que l’espérance de vie d’un gelcoat serait de 15 à 20 ans, alors que celle de la peinture PU de 7 à 10 ans. Tout le monde sait que cela dépend de l’utilisation que l’on en fait, des heures passées en onde par temps très froid, de l’humidité avant le vol et pendant le stockage en hiver. Mon expérience personnelle en 40 ans de co-propriété (3 planeurs gelcoatés : Nimbus 2, Ventus B et ASH25 et 2 planeurs peints PU : Calif et Nimbus 4DM) m’ont démontré exactement le contraire, la PU dure au moins deux fois plus longtemps que le gelcoat. Toutes mes machines ayant eu la même utilisation, c'est-à-dire la majeure partie du temps en onde, le dernier ayant passé plus de 2000 heures en onde en 12 ans dont 9 dans la très rude Patagonie. Et si j’ai du refaire la peinture du seul extrados des ailes et du fuselage de ce dernier, c’est seulement parce que le constructeur avait laissé une quantité excessive de gelcoat au ponçage en sortie de moule. Et pourtant j’avais payé ces heures supplémentaires ! C’était le premier N4D à sortir en PU. Maintenant c’est le standard, ils ont appris ! Je suis consterné que tu puisses donner un conseil qui pourrait amener la machine en situation "R"Chaque constructeur définit le type de revêtement : Spra, Scwabellak ou compatibleAlors s'il te plait arrète de laisser penser que je mets le mauvais "Gelcoat"Non, je pense que aucun planeur ne sera mis en situation R parce que l’on aura utilisé un Schwabelack à la place d’un Vorgelat ! Quand au remplacement du gelcoat par de la peinture PU ou acrylique, il faut évidemment l’approbation du constructeur, mais l’investissement est tel et la technologie tellement spécialisée que l’atelier chargé du travail s’en chargera ou ne fera pas le travail si pas d’autorisation ! A part les planeurs « orphelins », je ne connais pas de constructeur qui ne propose la peinture PU ! D’ailleurs l’article de VVM donne son opinion à ce sujet. Quant au type de gelcoat utilisé, j’ai simplement posé la question. Pourquoi ne pas donner la réponse ? Je sais que c’est un sujet délicat, ce n’est pas du tout une question de personnes, mais de choix stratégique entre le coût et la durée de vie. Choix normalement laissé à la responsabilité du CD du club. Je me garderai bien de formuler un quelconque avis, n’étant pas compétent en matière associative (ayant toujours vécu à l’étranger où le VV est exclusivement privé, sans pour cela que cela coûte beaucoup plus cher). Amicalement,jm Jean Marie le gelcoat n'est pas une éponge un lavage à l'eau même pas une douche n'est pas un bain de faire croire que laver à l'eau tue le gelcoat est un mensonge Le sujet du post étant le lavage journalier des bords d’attaque, tu devrais admettre que le lavage à l’eau avant un vol d’onde est une très mauvaise idée. Le gelcoat, comme toute résine, absorbe un énorme % de son poids en eau. Et le gel (le froid, ce n'est pas un jeu de mots!) fait ensuite son travail. J’ai vu des gelcoats détruits en très peu de temps suite à ce type de traitement. Surtout des T35. De plus les gelcoat sont poncés à l'eau quelle différenceLa différence est qu’entre le ponçage et le premier vol à température négative, l’eau a tout le temps de s’évaporer ! Les bateaux sont dans l'eau et ne coulent pas je crois de plus les gelcoat tiennent la aussiLà, tu te trompes. C’est d’ailleurs le point faible des coques en plastique polyester. Le gelcoat étant poreux, et s’il n’est pas traité chaque année (et même s’il l’est, c’est juste un peu plus long), l’eau finit par pénétrer par osmose et le bateau est foutu. J’ai failli couler en mer Egée suite à une délamination par osmose de la coque d’un bateau de location. Les vrais marins utilisent le bois ou le métal, par le plastique. Ce type de coque n’est rien d’autre qu’un produit de consommation, on n’est pas près de voir des vieux gréements en plastique ! Amicalement,JM Citer
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